Chers amis
J’aborde aujourd’hui le sujet très sensible de l’interprétation de la proportion entre vaccinés et non-vaccinés dans les hospitalisations Covid.
C’est un sujet important et, bien que compliqué, il me paraît impératif que nous nous y attardions ensemble, vous et moi.
Suite à mes dernières lettres consacrées à la situation sanitaire, vous êtes quelques-uns à m’écrire, en substance : « oui, mais on voit malgré tout que seuls les vaccins protègent des formes graves car il y a proportionnellement moins de vaccinés en soins intensifs. »
Pierre, par exemple, m’a écrit ce commentaire mercredi :
« Les statistiques des admissions en réanimation montrent clairement que les non vaccinés sont majoritaires. Et citer des chiffres inverses sans rentrer dans le détail qui montrent qu’il s’agit de chiffres bruts sans préciser les proportions est encore une fois une tromperie pour ceux qui ne possèdent pas ces analyses. »
Pierre, vous avez raison : si l’on compare les « populations » de vaccinés et de non-vaccinés de la population totale, les non-vaccinés sont proportionnellement davantage représentés en soins intensifs que les vaccinés.
Je vais revenir plus précisément sur les chiffres dans un instant, graphiques à l’appui.
Et je vais m’efforcer de vous expliquer pourquoi, si les mathématiques semblent vous donner raison… la science et l’épidémiologie nous disent que nous faisons une erreur historique avec la politique vaccinale en cours.
Mon explication tient en trois étapes.
C’est un peu technique, mais de grâce, lisez-moi jusqu’au bout.
Étape n°1 : comment lire la progression des hospitalisations des « vaccinés » en France ?
Comme vous le savez, les chiffres des hospitalisations et du « statut vaccinal » de chaque patient sont publics, et disponibles en France sur le site de la DREES[1].
En revanche, ces données sont livrées brutes, et ne sont guère lisibles par les néophytes.
Thibaut Masco, que je remercie encore au passage de me laisser utiliser ses travaux, s’est justement attelé à la tâche titanesque de rendre lisibles ces chiffres[2].
Voici pour commencer les données des hospitalisations pour cause de covid-19 :
Comment lire ce graphique, et les deux suivants ?
Chaque bâton représente une semaine : les données commencent à la semaine 22, c’est-à-dire à celle du 31 mai 2021. La dernière semaine pour laquelle nous avons des données complètes est la semaine 45, soit celle du 8 novembre dernier.
Les « non-vaccinés » sont en bleu foncé. Toutes les autres couleurs indiquent des patients vaccinés, mais représentés différemment selon le nombre d’injections et la date de leur dernière injection.
Ce qui saute immédiatement aux yeux, c’est la progression nette des hospitalisations et des décès des « vaccinés » en 6 mois, au point de dépasser, il y a un mois, ceux des non-vaccinés.
Depuis un mois, donc, moins de 45 % seulement des hospitalisations pour Covid concernent des patients non-vaccinés.
Autrement dit : plus de la moitié des hospitalisés sont vaccinés.
Cette proportion et cette progression se retrouvent pour les entrées en soins critiques, avec un léger décalage dans le temps (ce qui est normal puisque l’hospitalisation précède dans la plupart des cas l’admission en soins intensifs) :
Mais aussi pour les décès attribués au Covid :
On peut retourner les chiffres dans tous les sens, ils sont clairs : peu à peu les patients vaccinés deviennent majoritaires parmi les victimes de formes graves du Covid.
Cette progression suit de très près, en réalité, la courbe de la campagne de vaccination en France. Début juin, Emmanuel Macron n’avait pas fait sa fameuse annonce du 13 juillet et la vaccination de masse n’avait pas atteint les proportions homériques d’aujourd’hui.
Il est donc tout à fait logique de retrouver de plus en plus de vaccinés parmi les hospitalisés et les morts du Covid, tout simplement parce qu’ils sont de plus en plus nombreux en France.
Première conclusion, donc : en valeur absolue, il y a plus de personnes vaccinées aujourd’hui à souffrir de formes graves du Covid, que de personnes non-vaccinées.
Et, quoi qu’on en dise, ces hospitalisations et ces morts nous enseignent que le vaccin a échoué à protéger ces patients des formes graves.
Étape n°2 : comment comprendre que les non-vaccinés, représentant 25% de la population française, représentent encore plus de 40% des formes graves ?
En ce début décembre, plus des trois quarts de la population française est considérée comme ayant un « schéma vaccinal complet »[3].
Mais les patients vaccinés en soins intensifs ne sont pas à 75% ! Ils sont actuellement un peu moins de 60%.
C’est le fameux argument « à population égale ».
Et c’est vrai : « à population égale », il y a proportionnellement plus de patients non-vaccinés victimes de formes graves du Covid, que de patients vaccinés.
Aussi, je vous l’accorde, c’est notre deuxième conclusion : en valeur relative, la population non-vaccinée reste plus exposée à des formes graves que la population vaccinée.
Mais si nous entrons dans le domaine du « relatif » et de la « proportion » comme le font celles et ceux qui brandissent immanquablement cet argument, que voyons-nous ?
Nous voyons que nous prenons le problème à l’envers : nous accusons les non-vaccinés d’être responsables de la saturation des hôpitaux parce qu’ils ne sont pas vaccinés… au lieu d’interroger le taux d’efficacité des vaccins à protéger les vaccinés des formes graves !!!
Autrement dit : si les vaccins à ARN messager avaient l’efficacité qu’ils prétendent avoir – et je parle ici uniquement de leur effet protecteur contre les formes graves, même pas de leur efficacité concernant la contamination et la propagation, car j’y reviendrai – la proportion de vaccinés à l’hôpital devrait rester basse et minoritaire… et ne pas participer à la hausse en valeur absolue des hospitalisations.
Vous me suivez ?
Or, ce n’est pas le cas.
À la question : ces vaccins arrivent-ils à protéger des formes graves ? Je réponds donc : oui, c’est vrai.
Mais à la question : cette protection est-elle suffisante ? Je réponds : non, de toute évidence.
Mais une fois que nous avons dit cela, nous n’avons traité qu’une partie du problème.
Car, je vous le rappelle, la « protection des formes graves » n’est qu’une dimension par laquelle on peut juger de l’efficacité vaccinale.
Et c’est là, à mon sens, que la logique de la lutte du « tout-vaccinal » s’effondre.
Étape n°3 : étudions le « coût » de cette efficacité relative
Un vaccin classique, bien conçu, reçoit normalement son autorisation de mise sur le marché parce qu’il remplit plusieurs critères :
- Il empêche la personne vaccinée de contracter une maladie s’il celle-ci est exposée au virus provoquant cette maladie ;
- Empêchant la contamination des individus, il limite donc la propagation du virus dans la population ;
- Si malgré tout, la personne vaccinée contracte la maladie, elle en développe une forme plus légère ;
- Le bénéfice de cette protection est supérieur au risque inhérent du produit vaccinal lui-même.
Sous le rapport des critères 1 et 2, les vaccins anti-Covid sont un échec cuisant. La cinquième vague qui sévit actuellement démontre que ces produits n’ont ni empêché Delta de circuler, ni empêché de nombreux vaccinés de développer des formes moyennes à sévères du Covid.
Pire, le pass sanitaire a probablement aggravé la situation en faisant se côtoyer étroitement :
- d’une part des personnes vaccinées, possiblement porteuses du virus et donc contaminantes,
- et d’autre part des personnes non-vaccinées dont on était sûr qu’elles n’étaient pas porteuses du virus puisqu’elles ont dû effectuer un test pour bénéficier du pass.
Le critère n°3 est « a priori » rempli, bien que nous ayons vu, au cours des deux étapes précédentes, que cette protection est lacunaire.
Nous en arrivons au problème spécifique de ces vaccins… que nous n’avions jamais rencontré avec aucun autre vaccin.
Et qui est celui, en plus de l’efficacité très partielle du vaccin, de l’efficacité temporaire.
Je vous en ai parlé dans une précédente lettre : quand vous étiez petit, votre médecin vous vaccinait une fois, effectuait une dose de rappel X temps plus tard, et vous aviez des anticorps à vie.
La « 3ème dose » existe dans des cas très particuliers, mais elle est rare. Et plutôt 10 ans après la dernière dose…
Dans le cas des vaccins anti-Covid, elle est systématique 6 mois maximum après la précédente. Pourquoi ?
Parce que ces vaccins ne confèrent une protection jugée « optimale » (et nous avons vu que cette protection est en réalité très lacunaire) qu’à coups de doses « booster » répétées.
Cette faible efficacité tient à mon avis à deux raisons simples :
- la précipitation de la création de ces vaccins et le manque de recul sur la technologie à ARN messager utilisée ;
- le fait que ces vaccins aient nécessairement un train de retard sur les variants : le virus évolue plus vite que la recherche, et ses mutations sont elles-mêmes accélérées par cette pression vaccinale.
Cette immunité partielle et vite périssable des vaccins, qui nécessitent de sempiternelles doses de rappels, est du jamais vu dans l’histoire de l’épidémiologie.
Ainsi, le vaccin anti-Covid de Pfizer/BioNTech pourrait, selon un communiqué de l’industriel, être efficace contre Omicron… après trois doses (et non deux comme c’était jusqu’ici le cas)[4].
La campagne « 3ème dose » est par ailleurs à peine entamée que Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique, a d’ores et déjà annoncé devant la Commission des affaires sociales du Sénat qu’une injection de « 4ème dose » serait probable « à un moment donné »[5].
Le plus beau, c’est que cette faiblesse intrinsèque de la protection immunitaire apportée par ces vaccins fait évidemment les affaires de leurs concepteurs : en septembre dernier, le patron de Moderna a déclaré travailler sur un modèle de vaccins avec des mises à jour annuelles « comme un Iphone[6] » !
Cela m’avait fait rire, à l’époque… mais nous y arrivons : il est tout à fait vraisemblable que si l’on continue à effrayer la population avec le SARS-CoV-2, toute « mise à jour » de vaccin motivée par chaque nouveau variant sera présentée comme nécessaire… et déclarée obligatoire pour conserver le bénéfice du pass sanitaire.
Conclusion n°3 : l’immunité relative des vaccins se fait au prix d’une escalade insensée et jamais vue en termes de quantité et de régularité des injections.
Conclusion générale : on nous vend des béquilles à vie, obligatoires… et dangereuses
Résumons-nous.
Les vaccins actuellement employés n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni le virus de circuler.
Leur seul « bénéfice » affiché : empêcher de développer des formes graves du Covid-19.
Mais cette efficacité est :
- très partielle (d’où le fait que plus de la moitié des formes graves sont malgré tout contractées par des patients vaccinés) ;
- conditionnée à des doses de rappel tous les 6 mois.
Notre société est donc lancée dans une course en avant visant à maintenir une immunité vaccinale fragile, et limitée dans le temps.
Tout se passe comme si, ayant une jambe cassée, on nous demandait de marcher ad vitam avec des béquilles, plutôt que d’aider notre organisme à réparer la fracture puis à se rééduquer.
Mais ce n’est pas tout.
Si vous avez bien suivi mon raisonnement plus haut, vous avez dû remarquer qu’il restait un quatrième critère de l’efficacité d’un vaccin en suspens : c’est celui de la balance bénéfice-risques.
Ces « béquilles » immunitaires que l’on est en train de nous imposer, et qui seront remplacées tous les 6 mois, n’ont pas seulement pour défaut de nous empêcher d’éduquer notre système immunitaire naturel afin qu’il développe des anticorps naturels : elles augmentent considérablement notre risque de trébucher.
Autrement dit, de développer d’autres problèmes de santé.
Or ces problèmes de santé, ils sont désormais identifiés et (en partie) répertoriés.
En France, c’est l’ANSM qui s’occupe de ce travail de pharmacovigilance, et plus de 115 000 cas ont été recensés au 25 novembre, dont un quart sont graves[7] :
Je rappelle qu’il s’agit là des cas officiellement recensés, et que (je ne m’en cache pas, c’est mon opinion) ces chiffres sont vraisemblablement en-dessous de la vérité.
Nous savons par ailleurs que les cas de maladies cardiaques inflammatoires (myocardites et péricardites) ont bondi depuis moins d’un an, pour atteindre des niveaux inouïs. Là encore, je partagerai bientôt avec vous le remarquable travail d’enquête de Thibaut Masco.
À présent, je vous invite à multiplier toutes ces incidences d’effets secondaires par nombre de doses et par an si, comme nous en prenons la direction, une dose de rappel tous les 6 mois est imposée à l’ensemble de la population.
C’est glaçant, n’est-ce pas ?
Au final, la politique du « tout-vaccinal » :
- n’empêche pas les vaccinés d’attraper le virus ;
- n’empêche pas le virus de circuler ;
- n’empêche pas le virus de muter (au contraire) ;
- n’empêche que partiellement les vaccinés de développer des formes graves ;
- nous fait baisser la garde sous le rapport de l’immunité naturelle ;
- bloque la recherche pour des traitements adaptés aux formes de covid graves ;
- démultiplie les occurrences d’effets secondaires dans la population vaccinée.
Pour finir, je réponds à Pierre, et à celles et ceux qui me reprochent de ne pas remettre « en perspective » les chiffres de la répartition vaccinés/non-vaccinés des hospitalisations pour cause de Covid.
La perspective, elle est là.
Il s’agit de prendre acte de la protection non seulement incomplète mais dramatiquement temporaire de ces vaccins, et de questionner cette faible efficacité sous le rapport :
- de son coût humain (les effets secondaires, les morts),
- de son coût sanitaire (explosion des dépressions, circulation persistante du virus, accélération de ses mutations),
- de son coût social (l’inquiétante polarisation de notre société) ;
- de son coût économique (les milliards distribués aux labos qui développent ces vaccins – milliards qui sont, évidemment, de l’argent public, donc notre argent).
Persister de façon obstinée dans cette vaccination de masse en pleine épidémie en vaut-il la chandelle ?
Je vous laisse me répondre.
Portez-vous bien,
Rodolphe
Sources :
[1] République française, Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques. https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/
[2] Pour obtenir les rapports de la Lettre « Santé non censurée », vous pouvez vous inscrire à cette lettre en cliquant ici
[3] Manon C (01.12.2021). Vaccination covid : 77,5% des français primo-vaccinés, 10,3% ont reçu la dose de rappel. Sortir à Paris. https://www.sortiraparis.com/actualites/coronavirus/articles/257532-vaccination-covid-77-5-des-francais-primo-vaccines-10-3-ont-recu-la-dose-de-rappel
[4] France24 (08.12.2021). Pfizer-BioNTech assure que son vaccin est « efficace » contre Omicron après trois doses. https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211208-pfizer-biontech-assure-que-son-vaccin-est-efficace-contre-omicron-apr%C3%A8s-trois-doses
[5] La rédaction avec AFP (08.12.2021). Covid-19 : ce qu’il faut retenir de la journée de mercredi. DNA.fr https://www.dna.fr/sante/2021/12/08/covid-19-rien-n-indique-qu-omicron-provoque-des-formes-plus-severes-selon-l-oms
[6] L’Indépendant. (23.09.2021). Covid-19 – Le patron de Moderna veut proposer des vaccins avec des mises à jour annuelles « comme un Iphone ». https://www.lindependant.fr/2021/09/23/covid-19-le-patron-de-moderna-veut-proposer-des-vaccins-avec-des-mises-a-jour-annuelles-comme-un-iphone-9808199.php
[7] ANSM, Agence nationale de la sécurité du médicament et des produits de santé. (03.12.2021). Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la Covid-19 – Période du 12/11/2021 au 25/11/2021. https://ansm.sante.fr/actualites/point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-la-covid-19-periode-du-12-11-2021-au-25-11-2021
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
ACCIDENTS DE LA ROUTE
« Lors de choc violent sur la route, 45% seulement des personnes éjectées de leur véhicule étaient porteurs de la ceinture de sécurité. »
Quelle pourrait bien être la conclusion de la Sécurité Routière ?
Trés bonne analyse, et encore vous êtes gentil. En effet vous ne tenez pas compte du biais qu’il y a pour évaluer la positivité ou le covid chez un non vax. Même parfois négatif, on les catalogue covid et on s’acharne à les tester alors qu’un vax on le teste moins souvent et on est plus réticent à le cataloguer covid. La seconde chose c’est que les tests sont bidons ( c’est pour cela que je dis cataloguer et non diagnostiquer) pour connaitre la vérité il faudrait faire un analyse toutes causes. Vax et non vax mortalité et hospi toutes causes et voir si le vax protége ou affaibli, on risque d’avoir des surprises…..
Vacciné ou non vacciné , chacun fait son choix . Personnellement je considère que ce vaccin mis en servie début janvier est une une grâce du ciel . Ce n’est plus en millier de morts que la France compterait ses mort , pas en millier . Mais en millions de morts surtout chez les personnes à risques ou les personnes de plus de 65 ans . trois doses et je me porte très bien voir même en super forme à 69 ans . Des opposants à l’ordre établit ils y en aura toujours . Mon instinct de survie et de protection pour autrui m’a conduit à me faire vacciner ! Une solidarité naturelle voir même spirituelle . Cordialement
Si on ajoute aux chiffres présentés dans l’article, les données qui décrivent l’évolution du taux des vaccinés dans la population, on pourrait calculer précisément l’efficacité de la protection contre les formes graves. Qu’est-ce que vous attendez pour le faire, ou de demander à un statisticien de le faire ?
Encore une fois merci pour ces informations précieuses !
Dans ma réflexion liée à cet acharnement vaccinal ,je me suis demandée pourquoi l’immunité n’était pas au rendez vous alors qu’il yavait une grande majorité de Français vaccinés ??
Ma famille se fait vacciner ,mon conjoint (TRAVAIL OBLIGE)mes enfants pour les mêmes raisons et surtout comme ils sont jeunes pour pouvoir bouger comme ils disent..Je comprends bien tout cela .Je ne veux toujours pas me faire vacciner car j’ai peur des effets secondaires . Je ne comprends pas très bien pourquoi ce besoin absolue d’obéir ?pourquoi se plier et se résoudre à des conditions de vie qui ne nous garantissent pas de résultat ?
La raison est elle de se protéger ou de garder son passe sanitaire?
Aucune prévention ,aucun mots rassurants pour les personnes vaccinées et de bonne volonté si ce n’est vous avez obéi et pour ça vous êtes de bons citoyens mais obeir ou guérir ??
Bonjour je lis vos articles avec beaucoup de plaisir
J’ ai eu la Covid en Janvier ainsi que mon mari et la moitié de ma famille ( réunion pour Noël :12 personnes ) sans conséquences graves heureusement mes parents étant très âgés : récemment j’ ai fait une prise de sang pour savoir si j’ avais des anticorps mais la réponse est négative .Je ne veux pas me faire vacciner : Ma question est : existe-il des études fiables qui démontrent si oui ou non on peut faire une récidive ? Est-ce que nous avons un réservoir d’ anticorps dans les plasmacellules de la moelle osseuse comme j’ ai pu le lire … Merci de m’ éclairer sur ce sujet qui je pense pourra intéresser d’autres personnes :
Excellente information et travail de mise à la portée de tous.
Comment informer massivement les français ?
Peut être en contactant Élise Ducet qui pourrait en faire une émission ayant un immense impact et obligeant nos gouvernants à parler vrai
Bonjour, je vous rejoins sur un point car il n’est pas étonnant que les vaccinés se retrouvent à l’hôpital. Tous les jours j’entends des personnes vaccinées dire « moi je ne risque rien, je suis vaccinée ». Ces personnes là prennent donc moins de précautions que les non vaccinés qui eux, conscients de leurs faiblesses, font très attention. C’est cela aussi qui explique la montée en flèche des vaccinés avec des formes plus ou moins sérieuses.
c’est tout a fait exact Marie-Pierre. Les vaccinés sont sans doute plus protégés des formes graves, mais parmi les vaccinés il y a aussi les personnes fragiles vaccinées, avec deficit immunitaire du fait d’une maladie chronique, sur lesquelles , nous le savons le vaccin n’a pas efficacité attendue ; ceux ci devraient être sortis du pourcentages de vaccinés et hospitalisés, voire malheureusement décédées pour obtenir une appréciation plus juste de la protection de ces vaccins ARN ; cette nouvelle technologie est malgré tout porteuse d’espoir pour d’autres traitements à venir, qui rend des perspectives d’avenir meilleur aux plus fragiles , en situation de handicap…mais c’est un autre débat. ce virus est bien réel, il tue parfois, même en excellente santé….personne ne devrait se sentir à l’abri…vacciné ou non la prudence reste de mise.
Ok je suis entièrement d’accord avec vous. Mais ce qui est injuste c Est de nous obliger à ce vacciner si on veut vivre ou participer à une vie en groupe. Même si on fait attention .naturellement ce n est pas reconnu . Comme homéopathie qui a mis lgts . Comment faire sans être vacciner pour vivre?
Un grand merci pour ces analyses et ces recherches.
Tout d’abord ce produit n’est pas un vaccin, mais une thérapie génique et ne peut donc fonctionner comme un vaccin. Pourquoi autant d’acharnement à vouloir inoculer ce poison à tout le monde ? Il y a bien un motif derrière cela. Un génocide contre l’humanité ? Et maintenant on s’attaque aux enfants ! Que peut-on faire alors que la majorité des gens se comportent en moutons et ne savent plus réfléchir ? A cause d’eux, nous allons tous devenir des humanoïdes robotisés et ces gens stupides courent recevoir la 3e dose, puis la 4e, puis… puis….
Encore une fois : merci !
Bravo, c’est clair. Merci pour tout ce travail de recherche et d’analyse des informations !
Merci pour cette analyse remarquable…Mais s’il vous plait, dites moi comment vous faites pour assumer ce pass qui ne dure que 24 h?…Mon mari est vacciné depuis le premier jour ,et me respecte non vaccinée, malheureusement notre gouvernement veut nous faire céder à tout prix et par tous les moyens…Tous les jours depuis deux ans je prends tout ce que vous recommandez pour booster les défenses naturelles, tellement convaincue que ce « vaccin »n’est pas la solution…Bien qu’ayant 81 ans, je n’ai pas peur du virus.Néanmoins les non vaccinés que nous sommes font peur aux vaccinés…Certains nous fuient comme si nous étions porteurs de la peste😠…Comment les rassurer, et comment avoir une vie a peu près normale et rester proches de ceux qui ont besoin d’aide,…
Bonjour,
Merci pour votre étude détaillée. C’est, sans prétention, ce que je disais (et dis encore)depuis le début et de la pandémie et de la « vaccination ». Terme qu’on (les politiques comme les fabriquants/marchands) n’aurait jamais dû utiliser car cela a véhiculé dans l’esprit des gens la notion de, effectivement, protection à vie ou presque comme pratiquement tous les autres vaccins : on n’attrappe pas, on ne transmet pas, on ne développe pas la maladie. Le même « on » aurait dû honnêtement parler d’une protection supplémentaire au port du masque et règles d’hygiène et distance physique (et non sociale).. protection sur la forme grave en principe et surtout protection du système santaire, ne pas engorger les hopitaux…. je vois bien les vaccinés autour de moi, ils estiment ne plus devoir porter de masque au nom de leur liberté chérie et surtout du sacrifice auquel ils ont consenti en se faisant piquer, ni de se tenir à distance raisonnable. J’ai 72 ans, ne suis pas « vaccinée » non que je sois anti vacc pas du tout, j’ai tous les autres vaccins… en 2014 je fais celui contre la grippe, très mauvaise réaction immédiate, et je développe un syndrome, pas le Guillain Barré mais une forme de myopathie (dixit toubib) plus d’avant bras, plus de jambe, à la question combien de temps cela va durer et quoi faire la réponse fut « ho! un certain temps, quelques mois si ça se remet en tout cas, Vous (moi donc) plus jamais de vaccin ».. ancienne sportive, naturopathe de formation et de ligne de vie je cherche des pistes pour m’aider, il m’a fallut près de 4 mois pour oser aller remarcher dehors (avec aide + canne) épuisée épuisant mais je m’en suis sortie… je n’ose imaginer si je n’avais pas eu ces petites connaissances !! Il m’en reste une forme d’insensibilité sous la plante des pieds comme du carton et en même temps douloureux, ai dû apprendre mon corps à accepter ces nouvelles sensations ou manque et je remarche vraiment depuis 2018 mais plus jamais de talons, me faut avoir les pieds bien à plat… ça c’était pour une injection anti Influenzinum … ça fait quand même 100 ans la grippe espagnole,( et les autres qui ont suivi et suivent encore), il a fallut quand même attendre les années 70 pour obtenir un vaccin digne de ce nom, à renouveler ts les ans à cause des mutations et variants…. pourquoi en serait-il autrement avec les conoras ? Depuis février 2020 je n’ai plus quitté le masque, suis isolée par la force des choses, je fais mon ravitaillement tous les 10 jours environ, je me teste régulièrement. Quand je propose à une amie (vaccinée) qu’on se teste mutuellement avant de nous rencontrer pour partager un moment (chez moi) c’est mal pris donc on m’isole et là on peut parler de distanciation sociale…j’ai à la suite d’accidents de santé par erreurs de soins ou réactions médicales 3 syndrômes auto immunes : Hashimoto, fibromyalgie et cette sorte de myopathie….. alors ce type de « vaccin » qui consiste en réalité, si je ne me trompe pas, à surtout booster le système immunitaire moi qui dois éviter les boosters naturels (genre échinacéa, spiruline, etc) vais sûrement pas prendre le risque de surboostage de mon système déjà bien assez agressif….. Alors peut être avec un vrai vaccin, à quand le spray nasal ? Qui vise la muqueuse lui, la porte d’entrée en toute logique…. ces « vaccins » actuels qui n’ont pas une visée spécifiquement mucosale vont nécessairement dans le mur… toute cette population vaccinée mais qui vivent comme avant, voire pire car en réponse à certaines frustrations un grand nombre vit en compulsant, comme des crises de boulimie de rencontres, d’activités, qu’ils ne faisaient pas nécessairement avant… je disais donc avec toute cette population vaccinée mais sans avoir gardé tous les autres ingrédients de protections supplémentaires cela favorise la mutation des Covids, l’apparition des variants certes, mais surtout (et là je trouve qu’on n’en parle pas assez) des RECOMBINANTS qui « peuvent » être issus de personnes vaccinéesj qui sont ou seront quand même contaminées chez qui le virus va fabriquer une nouvelle combinaison (cela a été très succinctement évoqué au début de la vaccination)… oui votre article devrait être distribué, placardé … le toujours même « on » a préféré manipuler en utilisant la terreur, le chantage, le non sens, le rapport de force…. ça par contre, ça fonctionne et il n’y a pas d’anti dote ni de vaccin contre la mauvaise foi, l’égoisme, le profit etc ….. sans fin… merci pour votre site et infos que je dévore (pas aveuglément)… excusez ce long message et merci de l’avoir peut être lu…continuons nos combats même si parfois ils peuvent ressembler à des coups d’épée dans l’eau…. d’ailleurs, ne sommes nous pas Homo erectus le pire virus de la Planète ? Très cordialement, RénA
Je suis d’accord sur l’ensemble de votre article mais, étant de formation statistique à la base, je le renforcerai en développant le point suivant : même si les non-vaccinés semblent un peu moins protégés des formes graves, il faudrait distinguer dans cette population 2 catégories: ceux qui prennent des moyens de prévention naturelle pour entretenir leur terrain immunitaire : vitamine D3, zinc, vitamine C, etc… et ceux qui ne prennent rien. Et là, les statistiques sur lesquelles vous vous appuyez ne le précisent pas mais pourraient donner une tendance complètement différente entre vaccinés et non-vaccinés qui prennent soin de leur terrain. Un peu comme pour les incendies de forêts, on peut appeler les pompiers et les Canadair en urgence ( vaccin) ou préférer entretenir son terrain par le débroussaillement…
je suis d’accord avec vous Gilles; je prends soin de moi, ma D3, magnésium et autres homéopathie pour entretenir mon terrain ; mais la reprise du travail sur site, et non plus en teletravail m’a conduite à la vaccination, car j’ai constaté que les autres ne prennent pas soin de leur personne et en l’occurence de leur vie , et par conséquence de la mienne éventuellement; on ne sait jamais qui on côtoie c’est tout le problème ; certains se permettent de venir travailler se sachant positifs…comment s’en sortir ???
Monsieur,
J’ai lu votre article avec attention. Malheureusement, je regrette de constater que l’utilisation que vous faites des données et les commentaires que vous en faites induisent votre lectorat en erreur. Je m’explique brièvement ci-dessous en me limitant à la première partie de l’article.
Le titre de votre premier graphique utilise le terme de « taux d’hospitalisation par statut vaccinal » alors que le graphique concerné n’utilise et ne représente en aucune manière la notion de « taux d’hospitalisation » ( rapport entre le nombre de personnes hospitalisées avec un statut vaccinal donné et le nombre total de personnes appartenant à ce statut vaccinal dans la semaine considérée par exemple). Votre graphique ne fait que représenter , pour une semaine donnée, la répartition des personnes hospitalisées selon leur statut vaccinal exprimée en %, ce qui est fondamentalement différent.
Je vous invite donc , par honnêteté intellectuelle, à publier une bonne fois les taux d’hospitalisation ( cf ci-dessus) selon le statut vaccinal et leur évolution temporelle. Et, cerise sur le gâteau, pour une semaine donnée ( la plus récente par exemple), de publier les taux d’hospitalisation par classe d’âge selon le statut vaccinal. J’ai pu voir ces données pour mon pays, la Suisse : éclairant et édifiant! Je ne doute pas que ces taux d’hospitalisation existent en France dont les principaux instituts de statistique sont renommés.
En vous remerciant de l’attention que vous porterez à ce qui précède, je vous adresse, Monsieur, mes cordiaux messages.
Marc-E. Diserens