Et nous aggravons les choses de deux manières
Chers amis,
Il se produit depuis plusieurs années un phénomène planétaire qui affecte directement nos capacités cognitives.
Notre cerveau, sous son effet :
- A tendance à être plus somnolent;
- Est plus enclin à développer des symptômes dépressifs;
- Est moins apte à prendre des décisions… et tout simplement à penser.
Ce phénomène, c’est l’augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l’air.
Une étude publiée cette année dans GeoHealth[1] nous alerte qu’à l’horizon de la fin du siècle, le cerveau humain rejoindra la liste des espèces mises en danger par ce CO2 surabondant.
Le réchauffement climatique n’est « que » la partie émergée de l’iceberg
Mais d’abord un chiffre : une comparaison entre les taux de CO2 présents de nos jours dans l’air et ceux du milieu du XIXè siècle, permise par des carottes de glace en Antarctique, a montré que la présence du dioxyde de carbone a augmenté de 42% en 1 siècle et demi seulement [2].
La conséquence la plus médiatisée, vous la connaissez : le réchauffement climatique. Avec, à la clé : la fonte des pôles, la montée du niveau des océans, la disparition de nombreuses villes côtières, la désertification de plusieurs milieux habités…
L’augmentation de la concentration de CO2 dans l’atmosphère a d’autres conséquences, comme l’acidification des océans et la disparition probable, avant la fin de notre siècle, de nombreux coquillages[3], de la majorité des coraux[4] et de très nombreux poissons, parmi lesquels le poisson-clown[5], popularisé par le dessin animé Le Monde de Nemo.
Mais personne n’avait, à ce jour, encore parlé de l’impact sur le cerveau humain…
Comment trop de CO2 nous empêche de penser « normalement »
Pour bien fonctionner, notre cerveau a besoin d’oxygène.
C’est notre sang qui, en l’irriguant, le lui apporte.
Or, lorsque l’air que nous respirons est trop chargé en dioxyde de carbone, notre sang aussi devient plus pauvre en oxygène… et notre cerveau « respire » moins bien.
Avec des conséquences à court et long terme. La façon dont le dioxyde de carbone altère nos capacités cérébrales fait l’objet d’études depuis la fin des années 1960.
Une concentration plus forte que d’habitude de CO2 dans un espace confiné, comme celui d’un sous-marin ou de l’habitacle d’un avion de ligne, réduit :
- Notre temps de réaction à un stimulus[6];
- Notre capacité de raisonnement[7];
- Et même notre acuité visuelle[8].
Depuis moins de dix ans, ce sujet est devenu une source de préoccupation pour les chercheurs en neurosciences.
En 2012, une étude glaçante établissait la nette corrélation entre la ventilation des classes d’école en Angleterre et… les résultats scolaires des élèves[9] : plus la concentration de CO2
dans les classes était élevée, pires étaient la vigilance, la mémoire et la concentration des élèves.
Ouvrir la fenêtre ne nous sera bientôt plus d’aucune aide
Le problème de la concentration en CO2 de l’air et de ses méfaits sur le cerveau n’avait jusqu’ici été étudié que dans les espaces confinés.
Pour une raison simple : dans un espace clos, le taux de dioxyde de carbone augmente progressivement puisque nous inspirons de l’oxygène, et expirons du CO2 : si aucune ventilation n’est assurée, l’air, trop chargé en dioxyde de carbone, devient littéralement irrespirable.
Plus nous sommes nombreux dans une pièce, et donc plus nous sommes nombreux à expirer du dioxyde de carbone, plus il est indispensable d’ouvrir fréquemment les fenêtre, ou d’avoir un système de ventilation efficace.
La « solution » paraît donc simple comme bonjour : il suffit d’aérer !
Mais les choses sont en train de se compliquer d’après les auteurs de l’étude de GeoHealth, du fait que l’air extérieur est lui-même en train de devenir beaucoup trop chargé en CO2.
L’émission de gaz à effets de serre dans l’atmosphère est en train de transformer la planète elle-même en un endroit « clos », à la concentration trop élevée en CO2 !
Le « record » de concentration de dioxyde de carbone dans l’atmosphère a été enregistré en mai 2019 sur le site de Mauna Loa à Hawaii, aux États-Unis : il s’établissait à 415 ppm (parts per million). En 1813, nous en étions à 280 ppm.
Ces chercheurs ont cherché à évaluer l’impact, sur notre cerveau, de cette hausse continue de CO2 dans l’atmosphère.
Pour ce faire, ils se sont basés sur les projections du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) qui prévoit que ce taux monte à 930 ppm à l’horizon 2100. Soit plus de deux fois qu’aujourd’hui.
Leur conclusion fait froid dans le dos. Un taux de 930 ppm de dioxyde de carbone dans l’air extérieur est considérable et rendrait parfaitement inutile le fait d’ouvrir les fenêtres pour aérer…
Mais ce taux dans l’air extérieur signifie également que, dans les espaces intérieurs, il s’élèverait à 1400 ppm !
C’est énorme.
Et l’impact sur nos capacités cognitives serait tout aussi spectaculaire.
50% de capacités cognitives en moins ?!
Cette augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère est susceptible de généraliser les effets secondaires dont je vous parlais au début de ce message : un état de somnolence généralisé, un développement des troubles anxiogènes…
… Mais aussi tout simplement notre capacité à penser.
Pour ce qui concerne la « pensée linéaire » (ce que l’on appelle d’un point de vue cognitif le basic activity level, soit le « niveau d’activité basique »), nos capacités cérébrales pourraient se voir réduites de 25% à cet horizon 2100.
Notre aptitude à prendre des décisions simples, comme le fait de se faire un œuf à la coque le matin, serait altérée, ralentie.
Pour ce qui concerne la « pensée non-linéaire », également appelée « pensée stratégique », c’est une baisse de 50% que prédisent les auteurs.
Cela signifie que planifier nos vacances, effectuer une partie de scrabble ou aider nos enfants et petits-enfants à faire leurs devoirs, deviendra deux fois plus difficile.
Que pouvons-nous faire ?
Plusieurs autres études ont déjà émis l’hypothèse que l’épidémie de dépression dans notre société pourrait en partie être expliquée par la hausse croissante du dioxyde de carbone dans l’atmosphère.
À ce stade, il y a donc de sérieuses raisons de craindre qu’à l’horizon 2100, si l’émission de gaz à effet de serre continue sur sa lancée présente, nous produisions une génération d’hommes et de femmes stupides, endormis et dépressifs !
Joyeux programme…
Pouvons-nous éviter cette perspective démoralisante ?
Oui et non.
La première mesure est collective et individuelle, et nous la connaissons tous : elle consiste à réduire notre contribution à l’émission des gaz à effet de serre.
Préférer les transports en commun à la voiture, préférer le train à l’avion, mais aussi abandonner le diesel, investir dans des filtres pour les pots d’échappement, etc.
Tout cela est connu et il est inutile que je revienne dessus. Il en va de la responsabilité de chacun.
La seconde série de mesures n’est pas non plus une nouveauté : c’est, en attendant que l’atmosphère atteigne des taux encore plus inquiétants de CO2 :
- Passer le plus de temps possible dehors, dans des endroits loin de toute pollution, afin, littéralement, de vous « réoxygéner » ;
- Lorsque vous êtes chez vous ou au travail, ouvrir le plus souvent vos fenêtres, aérer, encore et toujours, même et surtout en hiver !
Les masques nous rendent-ils bêtes ?
Tout cela serait un tantinet moins déprimant… si une mesure récente n’aggravait ce phénomène : je veux parler du port du masque.
Vous savez que je suis critique, études scientifiques à l’appui, quant à l’efficacité du port du masque pour lutter contre le Covid-19.
Mais surtout le port prolongé du masque pose des problèmes sanitaires.
Bien des médecins avaient déjà reproché à ces masques, au moment où leur port est devenu obligatoire, de réduire l’apport en oxygène et d’augmenter notre inhalation de CO2, provoquant une hypoxémie (diminution du taux d’oxygène dans le sang).
Accusation que certains « fact-checkers » des grands médias se sont empressés de démentir.
La vérité est… qu’on n’en sait rien.
Oui, certains personnels médicaux portent ces masques toute la journée sans que leurs capacités cognitives semblent en être altérées.
Mais ils le font dans des conditions stériles, et les hôpitaux sont des lieux particulièrement bien ventilés.
Il n’y a pas encore d’étude fiable depuis le début de l’épidémie de Covid pointant le problème d’oxygénation provoqué par ces masques.
Mais il y en a eu… avant.
En 2004, au moment de l’épidémie de SRAS : une étude menée par des médecins de Taïwan révélait que le port de masques N95 durant 4 heures d’affilée développait une hypoxémie chez un patient sur cinq, et de la détresse respiratoire chez 1 patient sur 17[10].
Pour rappel, les masques N95 sont ceux de ce modèle :

La plupart des gens que je connais ne se sentent pas bien après l’avoir longtemps porté.
Sans aller jusqu’à l’un des cas d’hypoxémie ou de détresse respiratoire évoqués par les chercheurs taïwanais, il n’y a pas besoin d’être grand devin pour constater que le port du masque reproduit, à l’échelle de l’appareil respiratoire d’un individu, cet « effet confiné ».
C’est-à-dire qu’elle augmente lentement mais sûrement la charge de CO2 dont l’étude de GeoHealth listait tous les effets délétères : somnolence, anxiété, baisse des capacités cognitives…
Le port prolongé du masque à l’extérieur est une aberration sanitaire, quel que soit le point de vue que l’on adopte :
- Il ne protège pas du Covid-19 (ce qu’a récemment démontré une étude danoise[11]) ;
- La gêne respiratoire et « mentale » qu’il provoque est évidente ;
Mais il y a pire : dans certains cas le masque augmenterait même la mortalité. L’information a été révélée en fin de semaine dernière par Le Figaro.
129% de décès en plus dans les départements « masqués »
Certains départements français, comme l’Île-de-France, ont en effet décidé d’imposer le port du masque à l’extérieur, et d’autres non.
Les départements masquant leurs administrés dans la rue s’en sont-ils mieux sortis que ceux qui n’ont pas pris cette mesure ?
La réponse est non. C’est même l’inverse :
« Les départements où le masque a été imposé en extérieur fin août ont vu leurs décès accroître de 129.2% contre pile +100% dans les départements périphériques de la région », observent les professeurs ayant signé cette tribune dans Le Figaro[12].
Les raisons de cette spectaculaire mortalité ne sont pas données : il s’agit de chiffres bruts.
Mais l’écart vous paraîtra, j’imagine, suffisamment éloquent…
Portez-vous bien,
Rodolphe
[1] Karnauskas, K. B., Miller, S. L., Schapiro, A. C. (2020). Fossil fuel combustion is driving indoor CO2 toward levels harmful to human cognition. GeoHealth 4(5). Doi: https://doi.org/10.1029/2019GH000237
[2] Laurence Pepin. Variations de la teneur en CO2 de l’atmosphère au cours des 4 derniers cycles glaciaire-interglaciaires, à partir de l’analyse de la carotte de Vostok (Antarctique) : implications sur l’évolution du climat et du cycle du carbone. Glaciologie. Université Joseph-Fourier – Grenoble I, 2000 Français. tel-00701284f. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00701284/document
[3] Talmage, S. C. & Gobler, C. J. (2010). Effects of past, present, and future ocean carbon dioxide concentrations on the growth and survival of larval shellfish. Proceedings of the National Academy of Sciences 200913804 ; Doi: 10.1073/pnas.0913804107. https://www.pnas.org/content/early/2010/09/17/0913804107
[4] Fabricius, K., Langdon, C., Uthicke, S. et al. (2011). Losers and winners in coral reefs acclimatized to elevated carbon dioxide concentrations. Nature Clim Change 1, 165–169. https://doi.org/10.1038/nclimate1122
[5] Romm, J. (2012). Carbon dioxide is « driving fish crazy » and threatening their survival, study finds. Think Progress. https://thinkprogress.org/carbon-dioxide-is-driving-fish-crazy-and-threatening-their-survival-study-finds-1cb5bb3cdc57/
[6] Harter, M. (1967). Effects of carbon dioxide on the alpha frequency and reaction time in humans. Electroencephalography and Clinical Neurophysiology, 23(6), 561–563. https://doi.org/10.1016/0013‐4694(67)90023‐5
[7] Sayers, J. A., Smith, R. E., Holland, R. L., & Keatinge, W. R. (1987). Effects of carbon dioxide on mental performance. Journal of Applied Physiology, 63(1), 25–30. https://doi.org/10.1152/jappl.1987.63.1.25
[8] Yang, Y., Sun, C., & Sun, M. (1997). The effect of moderately increased CO2 concentration on perception of coherent motion. Aviation, Space, and Environmental Medicine, 68, 187–191
[9] Bakó‐Biró, Z., Clements‐Croome, D. J., Kochhar, N., Awbi, H. B., & Williams, M. J. (2012). Ventilation rates in schools and pupils’ performance. Building and Environment, 48, 215–223
[10] Kao TW, Huang KC, Huang YL, Tsai TJ, Hsieh BS, Wu MS (2004). The physiological impact of wearing an N95 mask during hemodialysis as a precaution against SARS in patients with end-stage renal disease. J Formos Med Assoc. 103(8):624-8. PMID: 15340662. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15340662/#affiliation-1
[11] Bundgaard, H., Bundgaard, J. S., Tadeusz Raaschou-Pedersen, D. E. et al. (2020). Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers. Annals of Internal Medicine. Doi: https://doi.org/10.7326/M20-6817
[12] Blondel, S. & Bouazza, S. (2020). Le masque en extérieur est-il un moyen de lutte efficace contre l’épidémie ? Le Figaro. https://www.lefigaro.fr/vox/societe/le-masque-en-exterieur-est-il-un-moyen-de-lutte-efficace-contre-l-epidemie-20201211?fbclid=IwAR1QeoWVK_rdspv00LlOw1Vjaqy0OVXf1DNAVlRPUx0r7vMLEHytwk5l9Ks
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Je suis retraitée et j’ai travaillé toute ma vie au bloc opératoire avec le port du masque 12 heures par jour. Je n’ai pas remarqué de somnolence, anxiété ou baisse des capacités cognitives, heureusement car ce serait dramatique pour tous les gens qui travaillent avec le masque comme au bloc opératoire. Je peux vous dire que le travail y est parfois très physique et je ne vois pas la différence avec mettre un masque dehors pour marcher et faire mes emplettes.
Merci

La lecture des commentaires est peut-être plus intéressante encore que la lecture de l’article seul, non pas pas pour critiquer votre texte, mais parce que cela permet de mettre en perspective l’importance de confronter les avis et de prendre conscience de ses propres biais. Une chaine youtube que j’affectionne particulièrement pour la qualité de leur travail de réflexion et d’analyse notamment retrospective, LE CANARD REFRACTAIRE https://www.youtube.com/channel/UCWGsN59FON3vOtXCozQPsZQ
Je le conseil à toute personne qui s’intéresse à l’analyse des informations qui nous inondent par des personnes conscientes de leur point d’énonciation et qui tente de ne pas tomber dans le piège des déformer les information pour les faire correspondre à leur discours.
Je suis Dr. d’Etat ès Sciences, j’ai lu votre article et j’en suis tout à fait d’accord
Vous êtes sans conscient doute que vos propos, notamment « Il nous rend plus anxieux, plus somnolent, et… plus bête » accentue le doute et l’anxiété.
On n’est pas loin des théories conspirationnistes.
Soyez conscient de votre responsabilité en tant que diffuseur d’information.
Heureuse de lire le passage sur le port du masque qui, pour moi, est une souffrance, je ne réspire pas dessous, il m’est inssuportable et d’ailleurs je le soulève souvent dans la rue ! Malheureusement ds les bus je le garde…Enfin l’hiver arrive donc il fait moins chaud sous ce masque mais dès que l’on entre ds un magasin je hâte d’en sortir…
Tout à fait d’accord avec vous. Et de voir cette population de moutons soumis, muselée à l’air libre, m’attriste et me met en colère .Mais je crois qu’ils finissent par aimer leur « nid à microbes « ‘il est devenu pour eux ,une sorte de « doudou »; infantilisés et mal oxygènés,ils seront ainsi prêts pour le vaccin……
Sur le point des masques et des conséquences sur le cerveau , je suis la première à mal supporter ce masque.Toutefois j’aimerais qu’on m’explique comment font les Japonais ou d’autres pays asiatiques pour qui le masque fait partie du quotidien depuis des décennies? Ils ne sont surement pas plus bêtes et somnolents » que nous.
D’accord, la teneur en dioxyde de carbone augmente dans l’atmosphère, mais elle est très inférieure à celle d’une pièce avec plusieurs présents et elle le restera. Les concentrations pour l’effet de serre et pour l’action sur les êtres vivants ne sont absolument pas du même ordre de grandeur.
Quand je lis ce que vous écrivez, je reste dubitatif : « abandonner le diesel, investir dans des filtres pour les pots d’échappement, etc ». Veuillez m’excuser mais si il y a une techno qui limite les émissions de CO2, c’est bien le diesel, dont le SEUL PROBLÈME SONT LES PARTICULES. Ensuite, les filtres servent à retenir les dites particules, donc on ne voit pas le rapport avec le CO2. Vous devriez savoir que le diesel bashing n’a rien à voir avec l’environnement et tout avec une magouille politique facile à expliquer mais il serait trop long de le faire ici.
Cordialement
certains masques provoquent peut-être un supplément de CO2 à respirer mais certaines personnes, pour avoir baisser le masque 1/2h pour prendre un repas rapide en famille, ont contracté le Covid, ne sachant pas que la maman qui les recevait en était porteuse. Alors, quelle est la solution ? Rester chez soi, ne jamais voir ses parents âgés, ne pas manger en leur compagnie si on n’est pas sûr qu’ils sont sains et porter plutôt un masque FFP2 qui filtre le virus mais laisse respirer dés que l’on est en atmosphère confinée ou même en marchant dans les grandes villes où les gens ne respectent pas la distanciation et où il y a beaucoup de passage.
Je pense, comme les conseils qui nous sont donnés par mon organisation cultuelle, qu’il faut être vigilant pour nous-même et pour les autres car la vie est un don sacré et inestimable que nous n’avons pas le droit de brader !
Prenez bien soin de vous et des autres .
L’augmentation du CO2 est dans l’atmosphère est annonciatrice d’un refroidissement ( ice age) par l’arrivée du grand solaire minimum.
Je vais me désabonner de votre lettre dont je trouve les arguments totalement orientés. Je suis attérrée par votre logique. En effet, dire qu’il y a plus de morts dans les départements où la population porte le masque, cela me fait penser à cette blague de la puce : on lui coupe une patte, elle saute. On lui en coupe 2, elle saute. A la 3ème, elle saute encore. Mais à la 4ème elle ne saute plus. Moralité : quand on coupe 4 pattes à une puce, elle devient sourde ! C’est prouvé !
Bonne journée.
Chère Madame,
Ce ne sont ni ma logique, ni ma conclusion, mais celles de l’article du Figaro que vous trouverez dans les sources de cette lettre. Je trouve pour ma part cette observation édifiante ; ensuite, on peut ne pas partager leurs conclusions, dans ce type d’affaire chacun voit midi à sa porte…
Ceci ayant été dit, merci pour la blague de la puce, elle m’a fait sourire.
Bien à vous,
RB
Le Figaro est-il vraiment une source fiable ? Le fait que je viens de citer vient de se produire et est on ne peut plus fiable car rapporté par des personnes qui les connaissent. Donc, il faut arrêter de dire tout et son contraire car quand on lit vos lettres les unes après les autres, c’est vraiment cette impression qui ressort. On verra après les fêtes si le non respect des distanciations pendant plusieurs jours aura déclenché une 3ème vague.
Mais c’est aussi le genre de masque que l’on nous oblige à porter qui peut être la cause du problème.
Cependant, on n’a jamais remarqué au Japon où les gens ont l’habitude de porter des masques dans les villes surpeuplées et polluées, qu’ils étaient devenus séniles ou que la mortalité y était plus forte !
Donc, je pense qu’il n’y a pas de solution miracle et qu’il faut faire attention et probablement s’isoler régulièrement pour pouvoir respirer librement, dans un lieu aéré et non pollué, ce qui n’est évidemment pas évident.
Je dis toujours « de deux maux il faut choisir le moindre » pour limiter les dégâts de cette pandémie et respecter, dans toute la mesure du possible, notre vie et celle des autres !
Ce n’est que quand la terre sera débarrassée de toute maladie et pollution qu’on pourra enfin vivre libre et sans crante ni contrainte du genre que nous vivons actuellement.
Le 4ème cavalier de l’Apocalypse (v.8) sera alors mis hors d’état de nuire par le 1er que l’on oublie toujours et qui, lui, ramènera la santé et la paix sur la terre. (Description dans le ch 6 d’Apocalypse ou Révélation v. 1 et 2).
Il n’y a peut-être pas beaucoup de croyants parmi vous mais sachez que la solution fiable à tous ces problèmes viendra de là, de ce Royaume pour lequel certains d’entre vous ont prié.
Encore une fois, prenez bien soin de vous et des autres dans toute la mesure du possible en attendant des jours meilleurs car « prudence est mère de sagesse » et « l’homme inexpérimenté ajoute foi à toute parole ». Alors, essayons tous de faire preuve de discernement !
Peut-être avons-nous déjà perdu une bonne part de nos capacités cognitives sans le remarquer? Cela paraîtrait d’ailleurs cohérent…
Nos enfants scolarisés sont dorénavant masqués. Ne s’intoxiquent-ils pas ce faisant, en plus de nombre de désagréments aussi variés qu’improbables et pourtant endurés dans une sorte de candide incompréhension ? Je vous invite à regarder ce film réalisé par des parents d’élèves. Il ne dure que 7 minutes: https://youtu.be/4HWuWEDh9Zw
Mais au-delà de ces faits quasi anecdotiques rapportés au phénomène global en cours d’évolution à savoir, la mise en péril allant s’accélérant du milieu garant de notre propre survie, à qui et à quoi nos enfants, petits-enfants, pourraient-ils encore se remettre pour que leur droit élémentaire à « vivre » soit préservé? Serait-ce là une réalité que nous aurions subrepticement perdue de vue?
Quel est donc ce démon intérieur qui sape nos profondeurs, jusqu’à endosser le plus magistral des dénis? Car si l’innocence est dans le cœur de l’enfant, il en va de même de la confiance qu’il porte à ses parents. La confiance trompée, c’est l’innocence bafouée!
Factuel et accablant.
Mais, quelque puissant soient les conditionnements qui l’accable et que notre éducation entretient, l’humanité recèle malgré-tout des potentialités de régénération, qu’il reviendra à la jeunesse de faire valoir.
D’où ce « Manifeste pour la Jeunesse » http://dl.free.fr/nzJ96DLnQ
que je vous invite à parcourir.
Un avis de votre part me serait précieux.
A l’heure actuelle, le moteur diesel émet moins de co2 que le moteur à essence. Vérifier dans les catalogues des constructeurs!!! Donc du point de vue CO2, il serait mieux de s’attaquer aux véhicules à essence plutôt que les diesels.
Je suis étonné des résultats que vous présentez. Il y a 21% d’Oxygène dans l’air et le taux de co2 est de 0.0415%. L’augmentation du co2 de 280ppm à 415ppm soit 135 ppm a diminué la concentration en oxygène de 0,064%. (0,0135/21).
Lorsque nous respirons nous ne rejetons pas que du co2 et de l’azote mais aussi une grande partie de d’oxygène qui n’a pas été absorbé. Et la teneur en oxygène dans l’air intérieur rien que par la respiration varie beaucoup plus que l’effet de la teneur en co2 naturellement présent dans l’air extérieur.
Intéressant, comme quoi il faut relativiser les informations de tous bords qui visent à saper la confiance des gens dans l’Autorité, même si on sait que celle -ci ne possède pas les vrais clés du problème et que ses réponses à celui-ci ne sont pas forcément toujours adaptées. Ce ne sont que des hommes, avec leurs limites d’êtres humains et les limites du système dans lequel on a privilégié et privilégie encore l’Argent aux dépens de l’intérêt du plus grand nombre !