Chers amis,

Mercredi dernier est sorti au cinéma le film Napoléon, avec l’excellent acteur Joaquin Phoenix dans le rôle-titre.

Aussi étrange que cela puisse paraître, ce film à grand spectacle, plein d’impressionnantes batailles épiques, jette une lumière crue sur un aspect sous-estimé de l’origine des maladies.

Il ne s’agit ni des hémorroïdes de Napoléon, ni des causes de sa mort.

Comment faire rentrer tout Napoléon dans un film ?

Tous les grands cinéastes qui se sont attaqué à Napoléon se sont heurtés de plein fouet à la démesure du personnage historique et des pages de l’histoire de France et de l’Europe qu’il a écrites.

Réalisé il y a presque un siècle, en 1927, le Napoléon d’Abel Gance reste à ce jour le film le plus ambitieux : sa version complète dure 5h30… alors que l’histoire s’arrête en 1796, avant même que Napoléon prenne le pouvoir !

Le grand Stanley Kubrick lui-même avait travaillé durant des années sur un grand projet qu’il dut abandonner, faute de rassembler les sous pour le réaliser : l’homme qui avait raconté 2001 l’odyssée de l’espace a manqué de moyens pour raconter l’odyssée de ce seul homme !

Alors, comment a fait Ridley Scott, le réalisateur des bien connus Alien et Gladiator, pour faire « rentrer » le destin de ce personnage hors-normes dans son Napoléon ?

La réponse s’appelle Joséphine.

Joséphine à Napoléon : « tu n’es rien sans moi »

Le cinéaste a pris un parti pris fort et risqué : il a choisi, comme fil rouge de son film de 2h40, la relation entre Napoléon Bonaparte et Joséphine de Beauharnais.

Pour ceux qui n’auraient pas récemment révisé leur histoire de France, Joséphine, c’est elle, sur le célèbre tableau de Jacques-Louis David représentant le sacre de Napoléon :

Lorsque Napoléon est sacré Empereur des Français en 1804, Joséphine est sa femme depuis déjà 8 ans.

Joséphine était une belle femme issue de la noblesse, à l’aise dans les salons parisiens post-révolutionnaires, lorsqu’elle rencontra Napoléon, qui fut très impressionné par elle.

L’histoire d’amour entre Joséphine de Beauharnais et Napoléon occupe le cœur du film, qui interprète tous les exploits du jeune général de brigade après le siège de Toulon jusqu’à l’Empire comme autant de « preuves d’amour » pour épater Joséphine.

A tel point que, dans une scène assez intense et tendue, Joséphine, qui a fait cocu Napoléon pendant la campagne d’Égypte, lui lance : « Tu n’es rien sans moi ».

On peut discuter de la véracité historique de l’influence de Joséphine de Beauharnais sur les motivations et les actions aussi bien politiques que militaires de Napoléon, mais dans le film, ça marche très bien.

Mais là où ça devient très intéressant, c’est que le film de Ridley Scott « épouse » l’histoire et le regard de Joséphine… jusqu’au bout. C’est-à-dire jusqu’à sa mort à elle.

Joséphine est-elle morte de diphtérie ou… de tristesse ?

Le grand drame de Joséphine de Beauharnais, c’est de n’avoir pu donner d’héritier à Napoléon Bonaparte.

L’infertilité du couple pousse Napoléon à lui imposer le divorce au nom de la « raison d’état » afin d’épouser en secondes noces Marie-Louise d’Autriche, fille du souverain Habsbourg.

Le film, centré sur la relation entre Joséphine et Napoléon, s’attarde beaucoup sur la séparation du couple, le divorce et, surtout, « l’exil » de Joséphine à Malmaison… qui est même davantage traité que l’exil de Napoléon sur l’île d’Elbe puis à Sainte-Hélène !

Joséphine, répudiée, ne tarde pas à tomber gravement malade, puis à mourir, après la première abdication de Napoléon en 1814 (donc avant les 100 jours et Waterloo).

De quoi meurt Joséphine ? De diphtérie et de pneumonie. Elle a d’abord une inflammation de la gorge, puis les poumons sont atteints.

Ridley Scott filme de façon très orientée la déchéance puis la décrépitude de Joséphine.

Les scènes d’exil de Joséphine à Malmaison, où Napoléon continue à venir la voir, se confier à elle et même lui présenter le fils qu’il a eu avec Marie-Louise d’Autriche, sont toutes filmées dans un décor hivernal, froid, gris, brumeux, reflétant une tristesse infinie.

Le cinéaste pose là un « diagnostic » assez clair : si c’est une infection de la gorge et des poumons qui finit par emporter l’impératrice déchue aux yeux de la médecine, c’est bien la tristesse qui l’a tuée.

Et quelqu’un peut l’expliquer mieux que personne.

Michel Odoul au chevet de Joséphine de Beauharnais

Dans toutes les médecines traditionnelles du monde, les maux qui touchent le corps sont d’abord la conséquence de maux plus profonds, affectant notre esprit, notre âme.

Lorsque ces maux affectant votre être profond ne parviennent à trouver une expression ni une résolution verbale ou sociale explicite… c’est votre corps qui trinque.

On peut appeler ça la somatisation. Mais cela va bien plus loin.

En France nous avons la chance d’avoir l’un des spécialistes mondiaux du « déchiffrage » de ces cris du corps comme messages de l’âme.

Il s’agit de Michel Odoul.

Que nous dit Michel Odoul de la gorge et des poumons, autrement dit des organes touchés par la maladie chez Joséphine de Beauharnais ?

Que la gorge est le centre de l’expression de soi, de la façon dont nous nous positionnons par rapport au monde extérieur. Aussi les maux de gorge sont-ils la manifestation de « ce qui vous reste en travers de la gorge ».

Or Joséphine de Beauharnais n’a probablement jamais réussi à avaler sa répudiation par Napoléon et, pire encore, elle ne pouvait ni ne devait le dire publiquement.

Quel terrible destin d’être rejetée par son mari… tout en devant lui rester fidèle (Joséphine conserva en effet un rôle d’ « impératrice douairière » et touchait une pension élevée de l’État).

Le mal affectant les poumons de Joséphine corroborent cette première interprétation. Dans plusieurs traditions médicinales, les affections pulmonaires sont l’expression d’une profonde tristesse.

Michel Odoul a une analyse encore plus fine et détaillée des maux affectant la sphère pulmonaire : chez Joséphine, ils sont de façon accablante une expression de tristesse, de mélancolie, de chagrin…. De solitude.

Mais ils sont également, pour reprendre les termes de Michel Odoul, des « cris » pour exprimer que ce qui se passe autour d’elle ne la satisfait pas, qu’elle vit la situation comme une agression et qu’elle a besoin de protection – d’amour et de présence – et non d’être étouffée.

Les clés de la santé corps-esprit

Si Joséphine de Beauharnais avait vécu à notre époque, j’aime à croire qu’une consultation auprès de Michel Odoul l’aurait aidée, voire peut-être même sauvée.

C’est évidemment trop tard pour elle. Mais pas pour vous.

L’expérience de Michel Odoul en tant que praticien de santé lui a enseigné cette chose fondamentale : c’est le patient qui détient, profondément, les clés de sa guérison.

Bien sûr, toute personne extérieure peut vous aider à guérir, par des traitements divers et variés, mais… c’est bel et bien vous qui détenez les clés de votre santé, de votre guérison.

Michel Odoul a été témoin de milliers de cas de patients qui ont guéri car ils ont su, à un moment, se poser les bonnes questions et prendre les bonnes décisions pour eux.

Que vous souffriez :

  • de diabète de type 2,
  • d’ostéoporose,
  • d’hypertension,
  • d’arthrose,
  •  ou même d’un début d’Alzheimer…

le travail d’enquête pour trouver la source profonde de votre mal et entamer votre chemin de guérison est nécessaire, et c’est à vous de décider de faire le premier pas.

Vous avez juste besoin des bonnes clés.

Il me semble important de vous initier, vous aussi, à son approche, en vous permettant de l’écouter.

Je me suis entretenu avec ce grand monsieur sur les causes cachées de nos maladies.

Vous pouvez, vous aussi, profiter des enseignements et des espoirs de son approche en visionnant la vidéo de notre entretien.

C’est totalement gratuit.

Vous allez vous rendre compte que ne pas tomber malade, comme sortir d’une maladie, relève d’autre chose que de seulement s’administrer des soins naturels, recevoir un traitement, prendre des médicaments.

Michel Odoul vous apprend à lire les causes invisibles de vos maux pour mieux les réparer.

Je ne connais aucun autre thérapeute qui propose cela.

Je souhaite visionner la vidéo de Michel Odoul sur les causes cachées des maladies

Profitez-en, c’est une parole rare !

Rodolphe Bacquet