Chers amis,
Une tribune regroupant 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, a été publiée il y a trois jours sur le site internet Regards.fr.
Je suis comme vous, je n’en avais pas entendu parler.
Car AUCUN grand média n’a évoqué cette tribune.
Heureusement le bouche à oreille fonctionne et j’ai pu y avoir accès grâce à un ami médecin.
J’ai été surpris par la véhémence de cette tribune, mais je partage leur colère.
Leurs arguments sont sans appel.
Je vous en envoie le texte intégral ci-dessous… en attendant avec impatience vos commentaires.
Bien à vous,
Rodolphe
Texte publié le vendredi 29 octobre 2020 :
Près de 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.
C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication.
Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré.
Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.
Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts : « Du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le 28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple parmi beaucoup d’autres.
Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »
C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de prédiction catastrophique constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas scientifique mais politique. Rien ne permet non plus d’affirmer que, sauf confinement, « d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer », comme l’a pourtant prétendu hier soir le président de la République. Enfin, il est également faux de dire que nous ferions comme tous nos voisins européens. A ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de Galles ont reconfiné la totalité de leur population.
Il serait urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93% sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85% ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque » et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.
Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septembre et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5%) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09%) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%.
Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire.
Hier, le 28 octobre, 3045 personnes étaient en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?
On dit alors : « Oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ».
Manipulation encore, pour trois raisons. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation ou si elle décède.
Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais que l’on fait semblant d’avoir oublié. Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à la veille de la crise du Covid, 1000 médecins dont 600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se meurt » ?
La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70.000 lits en 15 ans lors même que la médecine de ville est saturée et que les services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Oui, l’hôpital est en tension mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid ! C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes entreprises.
La vie sociale amputée, la démocratie en péril
La vérité est que le confinement (qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er décembre) crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal résultat observable est d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers et peut-être demain des millions de personnes, surtout évidemment parmi les plus fragiles (emplois précaires, CDD, intérim, personnes payées à la prestation, saisonniers, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont l’activité quotidienne est la seule source de revenu. Gageons que les très grands groupes s’en satisferont car ils les rachèteront sans doute demain.
Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain style de vie et de pensée embourgeoisé s’en satisfaisait certes au printemps dernier, chaque enfant ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entendait de nouveau les oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils avaient la flemme de faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché.
Mais de quelle proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en confinement ? Qui ne voit que le confinement fait exploser les inégalités sociales, les échecs scolaires, les violences intra-familiales, les troubles psychologiques et les renoncements au soin ? Qui ne sait qu’il entraîne déjà dans d’autres pays des soulèvements et des émeutes de la faim ? Et qui comprend que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?
Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche par l’état d’urgence permanent et le confinement. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de se réunir et de manifester ? Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la justice est paralysée faute de pouvoir audiencer ? Qu’est-ce qu’une démocratie où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?
Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons plus qu’assez qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un principe de précaution totalement dénaturé et d’interprétations statistiques relevant de la manipulation.
Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle.
Signataires :
Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1
Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire
Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris
Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur
Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
Rose-Marie Castello, médecin du Travail
Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)
Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis
Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)
Florence Lair, radiologue libérale, Blois
Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé
Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord
Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille
Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux
Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS
Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux
Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes
Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation
Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée
Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université
Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université
Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie
Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours
Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne
Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse
Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
Dominique Domergue Anguis, gynécologue
Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux
David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre
Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes
Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux
Murielle Dellemotte, Médecin du Travail
Monique Lamizet, médecin
Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
Monique Romagny-Vial, professeur des universités
Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux
Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)
Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS
Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques
André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne
Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie
Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire
Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur
Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS
Pierre Duchesne, Psychanalyste
Michel Angles, médecin généraliste (12)
Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)
Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste
Christian Perronne, médecin infectiologue
Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)
Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM
Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon
Sylvie Laval, psychiatre
Daniel Chollet, médecin pneumologue
Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano
David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux
Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon
Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon
Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges
Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
Brigitte Weiss, Médecin généraliste
Laura Giusti, Médecin psychiatre
Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
Eric Bouvier, pharmacien
Bernard Cornut, polytechnicien
Mohamed Zelmat, biologiste médical
Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP
Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux
Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)
Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre
Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université, Faculté des Lettres
Hugues Debotte, Conseiller en droit
Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre
Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier
Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste
Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)
Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier
Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)
Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon
Nathalie Caradot, médecin généraliste
Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP
Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg
Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université d’Artois
Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie
Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608
Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université de Bourgogne
Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses
Marie-José Minassian, philosophe
Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.
Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice
Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine
Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à Aix Marseille Université
Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale
Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)
Patrick Bellier, pneumologue
Isabell Erhardt, médecin généraliste
Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)
Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur
Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur
Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
Jeanine Jemet, médecin généraliste
Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique
Claude Amzallag, musicien
Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation
Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)
Claude Murtaza, médecin généraliste
François Gastaud, Chirurgien orthopédiste
Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne, Psychothérapeute
Michel Boudet, Médecin généraliste
Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste
Béatrice Adam, Kinésithérapeute
Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim
Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement
Rik Verhellen, médecin généraliste
Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris
Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales
Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire
Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier
Marie Monguet, psychologue clinicienne
Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)
François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste
Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état
Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale
André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)
Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue
Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)
Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université
Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte
Dominique Leiber, médecin généraliste
Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse à l’Université de Lausanne
Maxime Langevin, Doctorant en mathématiques appliquées
Hélène Chollet, Docteur en médecine
Béatrice Petit, médecin généraliste
Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe
Nicole Chaudiere, pharmacienne
Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille
Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur
Martine Mérour, pneumologue
Myriam Balsat, médecin généraliste
Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et Sociologue
Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste
Dominique Bouvier, pharmacienne
Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier
Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique
Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique
Laurent Durinck, médecin anesthésiste
Véronique Ahari, médecin nutritionniste
Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste
Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad
Thierry Medynski, médecin généraliste
Teddy Francisot, Avocat à Montpellier
Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris
André Bonnet, avocat au barreau de Marseille
Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille
Jean Luc Wabant, avocat
Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse
Évelyne Gandais, Dermatologue
Nicole Karsenti, Médecin généraliste
Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)
Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)
Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon
Serge Rader, Pharmacien, Paris
Valérie Giraud, Sage-femme sexologue
Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste
Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue
Anne Catherine Martin, médecin généraliste
Paul-André Bellot, chirurgien dentiste
Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)
Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse
Jean Emsallem, médecin angéiologue
Morgane Miègeville, cadre de santé
Patricia Melot, médecin généraliste
Sylvie Huitorel, infirmière libérale (56)
Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)
Philippe Bos, anesthésiste-réanimateur retraité
James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université Rennes 2
Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire, université de Caen-Normandie
Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste
Lidia Wacheux, aide-soignante
Bénédicte Dassonville, médecin généraliste
Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
Tamara Baron, psychologue
Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)
Pierre Maugeais, médecin généraliste (30)
Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste, CHU Marseille
Paul Report, retraité, ancien magistrat des tribunaux administratifs et cours Aude Meesemaecker, infirmière, naturopathe, Montpellier
Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
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Répondre à Michel Annuler la réponse
En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Cela faisait un petit moment que je me livrais aux mêmes calculs, à savoir mettre sous cloche une population entière alors que moins de 0,1 % de la population (qui représenterait 67.000 personnes) est hospitalisé (25.000 selon le site CoViD du gouvernement aujourd’hui mardi 3 novembre 2020 https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees) mais j’ignorais le mode de calcul. L’on se focalise sur la pathologie résultant du virus sans évoquer le scandale de la suppression des lits (effectivement, 69.000 entre 2003 & 2017, & les coupes continuent cf. l’article de Basta ! sur ce sujet https://www.bastamag.net/carte-des-suppressions-de-lits-hopital-covid-reanimation-ARS-CHU), pas plus que la dégringolade de l’efficacité de notre système immunitaire depuis des décennies dont l’origine est multifactorielle (appauvrissement des nutriments de notre alimentation « grâce » aux méfaits de l’agriculture industrielle, pollutions… ).
Ce qui me choque énormément, et cela n’est pas abordé dans cette lettre ouverte, c’est l’interdiction faite aux médecins de soigner librement en prescrivant ce qu’ils estiment être le meilleur pour leurs patients.
Cette situation était impensable il y a encore moins d’un an. C’est en en cela que nous sommes déjà en dictature…
Comment faire partie de ce collectif de médecins?
Je reste sur ma faim, car beaucoup de personnes, le savent, ou le ressentent déjà.
Il manque une ACTION pour avancer et contre carrer ce qui se passe.
Ex: Arreter une date afin de descendre dans la rue ou sur les ronds points(Pas pour demander du pognon) mais demander l’arret du masque et l’arret du confinement….
Une pétition, c’est un peu faible pour s’opposer a une motivation maléfique de ceux qui ont le pouvoir.
À part une malheureuse aide soignante, je ne vois parmi les signataires de cette lettre que des professeurs et des grands pontes.. bien peu de personnes sur le terrain à l’hôpital. D’accord pour dire qu’on n’a pas donné à l’hôpital les moyens de réagir convenablement à cette crise. Sur la situation elle même et les mesures qu’elle jusifie, j’aimerais un peu plus de mesure et de respect..
Francine RODEL, femme dinfirmier.
C’est n’importe quoi votre article ! Et dangereux de diffuser une telle information alors qu’il y a déjà un problème de perception de la gravité de ce virus et de la situation actuelle de l’épidémie chez une partie de la population. Personne n’a envie de ce confinement mais il est pour l’instant la seule arme qui soit d’autant que les moyens de notre système de santé n’ont pas été renforcés depuis la fin de la 1ère vague. C’est d’ailleurs la seule chose pour laquelle je suis d’accord dans ce que vous écrivez : la destruction de notre système hospitalier depuis tant d’années. Quand au prétendu confinement actuel, ce n’en vraiment pas un puisque les principaux lieus de contamination et clusters (lieux de travail et milieux scolaires avec les transports en commun qu’ils engendrent) continuent à fonctionner et que du coup, les interactions sociales sont toujours aussi nombreuses….Il suffisait d’observer les villes et les rues ce matin et ce soir pour s’apercevoir que rien n’était différent et que tout circulait normalement, contrairement au précédent confinement. Celui-ci avait déjà mis plus de 3 semaines à produire des effets alors imaginons combien de temps pour celui-ci quand on est à un stade de diffusion encore plus intense de l’épidémie qu’au printemps ! Nos dirigeants sont toujours à la traine pour prendre les décisions pour finir par prendre des mesures allégées : il y a des intérêts qu’il ne faut pas contrarier…. C’est grave car c’est d’abord la population qu’il faut protéger !
Quel dommage de ne pas avoir entendu parler de cette tribune avant, je l’aurais signée des deux mains.
Je suis infirmière à l’hôpital et je respecte les mesures barrières mais les annonces anxiogènes diffusées tout les jours n’aident pas ..
Que peut on faire pour arrêter cet engrenage de décisions qui va conduire à une catastrophe sanitaire et sociale bien plus mortelle que le covid .
Et pas seulement en France mais …
Nous sommes dèsinformés ,conditionnés, décérébrés(depuis déjà un temps certain) pour rentrer dans le moule confectionné à notre intention pour que nous oublions de réfléchir et perdions toutes capacités de choisir comment et dans quel monde nous voulons vivre!
Allons nous baisser les bras et accepter de survivre sous perfusion de mesures gouvernementales fluctuantes qui nous baillonneront encore plus et ne permettront pas d’envisager un avenir, d’autant qu’à la « prochaine vague »ou à l’apparition d’une nouvelle menace tout sera remis en question et une nouvelle chape de plomb s’abattra et la répression sera LEUR SEULE SOLUTION pour notre bien!! Quelle triste perspective.
J’ai vu passer cette tribune sur Facebook et l’ai relayée. J’aimerais savoir comment élargir les signatures aux citoyens « lambda » : certaine qu’elle « cartonnerait ».
Cependant, c’est très perturbant et fatiguant de ne plus savoir à quels chiffres, quelles autorités sanitaires ou étatiques se fier…
Etant Thérapeute en MTC je soutient de tout mon être cette action, ce collectif pour qu’enfin la VERITE se fasse sur cette pandémie de la peur et du mensonge qui est en réalité une « PLANDEMIE » de l’Etat profond.
Disons NON
Bonjour,
Le titre de votre article ne rend pas compte du contenu. Il ne s’agit pas d’alerter des dangers du confinement. Un titre adéquat serait : » Un collectif de médecins et de scientifiques alerte sur les mensonges des médias mainstream qui créent une panique sanitaire »
J’ encourage le peuple français à se réveiller, nous ne pouvons pas nous laisser tuer par ces gens là, laisser tuer nos enfants , nos petits-enfants, nous sommes des innocents, si eux ne sont pas heureux sur la terre , qu’ aillent vivre sur une autre planète et nous fichent la paix , car ce ne sont pas eux qui nous ont créés , donc ils n’ont pas le droit de nous détruire. Peuple réveillez s’Il vous plait plaît
Depuis le début de la pandémie, je ne cesse de le répéter, on nous monte un bateau. Je suis du même avis que ce collectif et je ne suis pas médecin. J’ai la ferme impression qu’on veut détruire tout ce que nos anciens ont construit. On ne cesse de nous le répéter, les anciens coutent chers alors, ils faut qu’ils disparaissent c’est la sensation qu’on beaucoup de gens. Soit disant qu’il a fallu faire un choix dans les soins alors, on a privilégié les jeunes aux vieux et on leur a administré du Rivotril pour les faire partir plus vite. Etaient-ils réellement atteint du Covid ?
Sommes nous encore en République ou au début d’une dictature ?.
Nos têtes pensantes du conseil scientifiques comme d’autres Professeurs de médecine ou même des médecins, sont en fait, à la solde des laboratoires (conflit d’intérêts). Comment voulez vous qu’ils aillent à l’encontre des laboratoires qui veulent continuer à nous vendre leurs saloperies de médicaments. Mais le pire c’est que ses mêmes labo, veulent à tous prix nous refiler leurs vaccins contre la Covid alors ils donnent certainement comme instructions, de nous maintenir dans la peur. Comment peut on penser qu’un vaccin soit efficace pour un virus qui soit disant, n’arrête pas de muter ? On constate une course à la recherche d’un vaccin Anti-Covid, le labo qui sortira en premier un vaccin, touchera le jackpot, tant pis si après il y aura des morts à cause qu’il n’aura pas fait l’objet de tests approfondis (il y a déjà des morts parmi les cobayes mais on en parle pas assez). Pendant le premier confinement, on a vu un nombre important de médecins sur les médias. Si les hôpitaux étaient si impactés, leur rôle n’était il pas d’être plus présent auprès de leurs équipes plutôt que de venir nous raconter des salades.
Je ne crois plus en se gouvernement de la peur, à nos médecins qui nous mentent. La médecine de 2020 n’est plus la médecine de nos parents, elle est trop impacté par l’argent. Payer 25 € pour à peine 10 mn de consultation c’est un peut exagéré surtout qu »ils ne font que remplir une ordonnance sans examen préalable ! Ils sont déjà à ouvrir la porte de leur cabinet alors qu’on termine juste de signer le chèque ! Un médecin de campagne se fait en moyenne 100 000 € net par an et ils se plaignent quand d’autres gagnent à peine 15 000 € par an
Pauvre France
Merci pour cette tribune qui contribue à éclairer nos compatriotes sur la stupidité de la politique sanitaire actuelle. Toutefois, il manque peut-être un éclairage plus cru sur le pourquoi de tout ce cirque.
Car si on écoute ces signataires aux titres nombreux et variés qui prouvent que l’on a affaire à des gens sérieux, le péquin moyen, paralysé par la panique dont parle Raoult, ne peut accéder, apparemment à ce niveau d’esprit critique minimal qui lui permettrait de piger les ressorts profonds de l’ère nouvelle qui s’ouvre à nous depuis le début de l’année.
Or ces ressorts sont d’ordre économique, pour l’essentiel ! Qui a parlé pour la 1ère fois du « grand reset » ? la présidente du FMI , donc quelqu’un qui fait le boulot qu’on lui demande de faire. Or un mec comme moi ne pige pas la moitié du langage des économistes et, au début, je comprends qu’il s’agit de supprimer la dette des Etats pour repartir à zéro.
Mais d’autre articles m’amènent plus loin : le Président du Forum Economique Mondial parle, il y a qques mois, de la richesse comme source de désordre bien plus grave que le coronavirus ……
Et enfin, Gates dépose son brevet 060606 il y a également qques mois.
Mon cerveau embrumé commence à relier les éléments entre eux , avec un préalable : Macron est tout ce qu’on veut, sauf idiot !
Je me dis que ce que je pressentais comme une totale incohérence sur le plan médical (étant ophtalmo à la retraite depuis 2018) devient le véritable cache-sexe du plan qui va être mis en place , à savoir :
1/ destruction de l’économie actuelle basée sur les échanges monétaires encore « réels’ , c’est l’objet du grand reset
2/ mise en cage du plus grand nombre possibles d’humains en Occident pour les préparer à la phase « médicale » par la manipulation de la panique au sujet de ce covid : réussi !
3/ vaccination avec nano-particules pour avoir enfin la possibilité de contrôler totalement les échanges planétaires par l’argent « numérique
DONC : si ça réussit FIN DE LA PARTIE DEMOCRATIQUE !!!!!
Heureusement, le pire n’est jamais sûr :
1/ mon explication est peut-être stupide et non fondée
2/ le clan des richards qui ont concocté ce plan depuis des années n’a pas absolument toutes les cartes en main notamment Russie, Chine et sans doute qques autres, peut-être Inde et enfin USA . Le résultat des élections sera sans doute le starter du bordel généralisé !!!!!
Professeur honoraire des Universités, hydroécologue (= écologiste qui ne porte pas de pancarte pour tenter de comprendre le fonctionnement des milieux aquatiques !!), je répétais souvent à mes étudiants « il faut comparer le comparable » ce qui fait que même non spécialiste en matière médicale, je tends à penser depuis le début de leurs explications, que les autorités (et pas mal de média !) ne tournent vraiment pas rond (Cnews me semble bien mettre les pendules à l’heure). Et puis…j’attends avec impatience les chiffres de la mortalité de la grippe hivernale…
Seule chose positive observée ces derniers jours, au dehors presque tout le monde porte un masque… ce qui n’était pas le cas au début. Ce qui est désolant ce sont les commerces fermés, qui ont pris toutes les précautions pour recevoir leurs clients, alors que j’ai hésité à rentrer dans un supermarché, où les règles de sécurité ne sont guère respectées par pas mal de clients…
Merci pour ce texte clair et concis qui résume très précisément ce que je ne cesse d’expliquer à mes enfants et mes patients… j’aurais pu co-signer avec enthousiasme votre déclaration !
Mais quel aveuglement ! Je constate parmi vos signataires, la présence par exemple du professeur Toussaint. J’en déduis donc que ses cosignataires sont d’accord avec lui. Lui qui passait déjà sur des chaînes télé en août, en disant qu’il n’y avait pas de deuxième vague, et que l’on supprimait arbitrairement la liberté des citoyens… au mépris des données réelles, du poids psychologique porté par les soignants.
Je vais prendre un seul petit exemple, et pour ce je vous suggère d’aller sur le site santé de l’OCDE.
VOUS Y CONSTATEREZ QUE la France a à peu près le même taux -pour 100.000 habitants – d’infirmiers, médecins, lits d’hôpitaux que la pluspart des pays européens. Seule l’Allemagne, numéro 3 mondial après la Corée et le japon, a plus de lits (2 fois plus) que nous. Mais elle n’a que 10.000 infirmiers de plus que nous : en résumé, deux infirmiers pour 1 lit en Allemagne, 5 infirmiers pour un lit d’hôpital en France. Quand on sait qu’un lit de réa nécessite 5 soignants, je voudrais bien que vous m’expliquiez comment l’Allemagne pourrait accueillir et soigner des malades dans ses 28.000 lits avec seulement 52.000 infimiers…
J’aimerais aussi que vous m’expliquiez avec quels impôts vous pourriez payer du personnel médical (et ensuite 30 à 40 années de retraite) pendant 12 mois par an, pour être au point un mois de crise de grippe par an… Car non, le coronavirus n’est pas un problème anticipable, même si cet incident sanitaire est envisagé depuis 15 ans…
Je me permettrai ensuite de vous faire remarquer la situation de 3 pays : la Nouvelle-Zélande, la Corée du Sud et Taïwan : 0 cas depuis plusieurs mois…. Ô surprise, ce sont trois pays qui ont fermé leurs frontières, imposé le suivi de tous par applications de traçage, confiné durement pendant longtemps… Bref, tout ce que nous refusons de faire au nom de…. au nom de quoi ? Liberté ??? C’est une blague ? Liberté d’obliger du personnel à risquer sa vie parce que nous voulons continuer à traîner dans les bars et boire des coups entre amis ????
J’ai honte. J’ai honte de tous ces scientifiques qui font passer leur égo avant le bien de tous, j’ai honte e tous ces intellectuels qui ne font pas l’effort de se renseigner sur la réalité. Et pourtant, allez sur Futira Santé, TheConversation, Sciences et Vie… et vous aurez toutes les informations nécessaires pour vous faire une idée réelle de la situation. Et si vous voulez un résumé tout fait, il existe, je l’envoie à tous mes amis.
Cherchez le commentaire Mercedes Cruzcampo, du 02/11
https://www.youtube.com/watch?v=80WPki6GtmA&lc=Ugy7yFsOZS6zPVNVb6V4AaABAg