Chers amis,

En mai dernier, au moment où les pouvoirs publics commençaient tout juste à changer de discours sur le port du masque, des chercheurs danois ont entrepris de vérifier l’efficacité des masques contre le Covid[1].

Je rappelle, à toutes fins utiles, que l’OMS se prononçait alors sur le « manque de preuve d’efficacité » du port du masque contre cette maladie…

…avant que cette information ne disparaisse mystérieusement de son site et sans qu’aucune étude nouvelle sur la question n’ait tranché le débat.

L’étude danoise est maintenant terminée.

C’est une étude contrôlée randomisée menée sur 6000 personnes, réalisée en coopération avec 4 hôpitaux : durant plusieurs mois, 3000 participants ont été invités à porter un masque dans l’espace public, tandis que les 3000 autres n’en portaient pas.

Où trouverez-vous ses résultats ?

Nulle part.

Trois plus grandes revues scientifiques viennent de refuser de publier ses résultats. C’est l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel qui l’explique sur son blog[2].

Une science partisane ?

Pour être publiée dans une revue scientifique, une étude doit avoir été relue par des « pairs » et validée par un comité de lecture.

Parfois, ces « validations » se font à la va-vite.

Vous vous rappelez peut-être du « coup » qu’avaient joué à ces revues à comité de lecture les auteurs d’une pseudo-étude démontrant que la chloroquine réduisait le risque… d’accident de trottinette[3] !

Notre étude danoise sur l’efficacité des masques a, elle, visiblement été lue avec beaucoup beaucoup d’attention.

Mais pas de transparence.

Trois grandes revues – The Lancet, le New England Journal of Medicine et le JAMA – ont refusé de publier cette étude… Sans que nous sachions pourquoi. 

Autrement dit nous ne connaissons ni le résultat de l’étude, ni les raisons qui ont poussé les revues à en refuser la publication.

Il ne fait guère de doute, pour toutes les personnes proches de l’affaire, que l’étude conclut à l’inefficacité de la plupart des masques contre la propagation du Covid-19.

Il est donc hautement probable que cette étude a été refusée pour des raisons politiques : admettre face au monde entier que 90% des masques utilisés par les gens seraient inutiles… ferait perdre la face aux défenseurs acharnés de cette « mesure-barrière ».

« Ce ne serait pas la première fois que la politique l’emporte sur la science parmi ceux qui sont censés en être les gardiens. Le professeur Sunetra Gupta a déclaré en septembre qu’elle avait des difficultés inhabituelles à faire publier quoi que ce soit sur l’immunité collective, et le Dr Gabriela Gomes a dit la même chose. » poursuit Jean-Dominique Michel.

Le masque favoriserait-il la propagation du virus ?

Le masque pourrait même, en réalité… favoriser la propagation du virus.

Je sais, cela paraîtrait fou. Voire complotiste.

Mais lisez bien ce qui suit.

« Toute l’absurdité du port du masque est bien là : son usage est prévu pour une salle d’opération stérile, avec une ventilation permettant d’éviter toute transpiration. Les soignants le mettent dans des conditions stériles et ne le touchent plus pendant quatre heures, avant de le remplacer éventuellement.

« Dans la vraie vie donc, les gens le portent, transpirent, baignent dans leur haleine et le masque se transforme rapidement en véritable bouillon de cultures de bactéries, levures et virus ! Comme les gens le touchent en continu, ils se tartinent les doigts de ces germes pour les diffuser par millions autour d’eux toute la journée. »

Jean-Dominique Michel emploie enfin les mêmes mots que moi au sujet de l’obligation du port du masque aux enfants dès l’âge de 6 ans et parle de maltraitance.

Son article s’achève sur une déclaration préparée par une avocate, que les parents peuvent remplir s’ils souhaitent rejeter l’obligation faite à leur enfant de porter un masque. Vous trouverez le lien vers la version Word en source de cette lettre[4].

J’apporte une précision à ce que dit Jean-Dominique Michel.

Tous les masques ne se valent pas :

  • Les masques chirurgicaux ou en tissu « maison » ne vous protègent absolument pas contre le Covid-19. Tout juste protègeraient-ils votre entourage de vos propres micro-gouttelettes de salive. Et encore, à la condition qu’ils soient changés toutes les 4 h, ce que personne ne fait.[5]
  • Les seuls masques performants sont les types FFP2 et FFP3. Ils ont un pourcentage de filtration de 94% et 99% et un pourcentage de fuite vers l’extérieur de 8% et 2%. Étant plus épais que les masques chirurgicaux, ils sont plus inconfortables à porter[6].

Or en France, quasiment personne ne porte de FFP2 à part le personnel médical. Simplement parce que… on n’en trouve pas.

Le courageux Docteur Fouché, médecin-réanimateur aux hôpitaux de Marseille, confirme lui aussi que le port généralisé du masque, tel que pratiqué actuellement, est un non-sens total. Je vous recommande sa vidéo ici[7].

Voilà probablement pourquoi l’étude danoise conclut à l’inefficacité générale des masques contre le Covid.

Je vous invite à diffuser largement cette information, qui prouve une nouvelle fois que beaucoup de mesures sanitaires prises contre le Covid sont non seulement stériles mais absurdes et contre-productives.

Portez-vous bien,

Rodolphe


[1] https://www.yourdanishlife.dk/unique-danish-research-to-examine-and-certify-the-utility-of-masks/

[2] https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/11/02/bas-les-masques-310326.html

[3] https://www.letemps.ch/sciences/chloroquine-trottinette-un-article-delirant-sest-retrouve-un-journal-scientifique

[4] https://www.casimages.com/f/mC0PTcfJ5Ub

[5] https://www.lefigaro.fr/sciences/comment-les-masques-stoppent-les-virus-20200331

[6] https://www.lefigaro.fr/sciences/comment-les-masques-stoppent-les-virus-20200331

[7] https://covidinfos.org/2020/10/30/reinfo-covid-%D1%81e-collectif-resistant-recuse-lutilite-du-reconfinement/