Chers amis,
Si vous avez un peu suivi les politiques sanitaires des gouvernements depuis l’apparition du Covid, vous savez qu’un pays a un « train d’avance » sur tous les autres : c’est Israël.
Israël a été le premier pays à :
- vacciner en masse sa population, début 2021 ;
- instaurer un pass sanitaire (le « green pass ») conditionné à la vaccination, dès mars 2021 ;
- entamer une campagne de 3ème dose, obligatoire depuis septembre 2021 pour conserver le bénéfice du pass.
J’observe donc attentivement l’évolution de ce pays, lancé à toute allure dans une désespérante course en avant vaccinale…
… Alors même, paradoxalement, que c’est aussi Israël qui nous a rapidement appris que les vaccins anti-Covid n’empêchaient ni le virus de circuler, ni les patients de développer des formes graves de la maladie.
Vers la 4ème dose et au-delà
Israël a, je vous en parlais dans une précédente lettre, d’ores et déjà programmé une 4ème dose, annoncée en septembre dernier[1].
Le Dr Arnon Afek, membre du comité de conseil vaccinal associé au ministère de la santé israélien, aurait déclaré il y a quelques jours :
« Ceux qui pensent que nous n’aurons pas besoin de doses de rappel supplémentaires se trompent. Nous aurons besoin de la 4ème dose, de la 5ème dose, de la 6ème dose, de la 7ème dose.[2] »
Ce médecin, directeur du plus grand hôpital d’Israël, envisage ces doses de rappel comme une muraille pour se protéger des variants qui ne manqueront pas d’apparaître, selon lui, dans les pays africains, peu vaccinés.
Bref, c’est le projet d’une vaccination sans fin qui se dessine de plus en plus nettement en Israël.
Et ne vous y trompez pas : l’argument « africain » est tout à fait adaptable à la France et à l’Europe.
Car pour argumenter sur le mode de la « menace épidémique », il suffit de peu. Voyez ce qu’il se passe outre-Manche.
En Angleterre, il est de bon ton d’avoir peur d’Omicron
L’Angleterre tremble : Omicron commence à se propager de façon spectaculaire.
Vous le savez, on s’y attendait.
Le variant serait déjà responsable de 40% des contaminations diagnostiquées à Londres[3]. Le nombre de contaminations doublerait tous les deux à trois jours.
Le premier ministre Boris Johnson parle de « raz-de-marée » et a pris prétexte du « premier mort officiel contaminé par Omicron » pour lancer sa campagne de 3ème dose vaccinale.
« Premier mort », cela fait sensation : cela sous-entend qu’il y en aura d’autres, c’est sûr.
Mais un mot ici à propos de ce « premier mort contaminé par Omicron », dont vous avez probablement déjà entendu parler aux infos.
Ce dont vous n’avez pas entendu parler, c’est de :
- son âge ;
- sa condition physique (avait-il des comorbidités ?) ;
- son statut vaccinal (et si on ne communique rien à ce sujet, il y a fort à parier que, à l’instar de la majorité des Britanniques, il était doublement vacciné) ;
- la cause de son décès.
Car on parle bien de « premier mort contaminé par Omicron »… et non de mort provoquée par Omicron. Il y a tout de même là une sacrée nuance, qui nous rappelle les grandes heures des décès abusivement attribués au Covid lors de la première vague.
On peut s’étonner que l’Afrique du Sud, où sévit le variant Omicron depuis plusieurs semaines, ne déplore aucun mort, alors que la Grande-Bretagne, si.
Ne connaissant rien de ce décès, j’en suis réduit à observer deux choses : l’Angleterre a une population bien plus âgée et malade que l’Afrique du Sud… et également bien plus vaccinée.
Autrement dit… une population plus fragile.
2 doses de vaccin sont inefficaces, c’est désormais officiel
Face à ce « raz-de-marée » annoncé par Boris Johnson (avec le sens de la mesure qu’on lui connaît), le premier ministre britannique l’a avoué tout net lundi soir : « je crains qu’il ne soit désormais clair que deux doses de vaccin ne suffisent pas pour assurer le niveau de protection dont nous avons tous besoin [4] ».
Doublement des cas toutes les 48h, premier mort étiqueté Omicron annoncé en grande pompe, les conditions sont réunies pour relancer la grande machine anxiogène, terreau nécessaire à l’incitation massive à la 3ème dose.
Ça marche : en Angleterre, des files d’attente de plusieurs heures se sont formées devant les centres de vaccination.
Personne ne semble s’émouvoir de cet aveu d’inefficacité de deux doses vaccinales à peine six mois après la seconde injection.
Les grands médias eux-mêmes ne s’en cachent plus : d’après le Figaro[5], la 3ème dose ferait passer la protection contre Omicron de 20% (avec deux doses) à 70%.
Les deux questions auxquelles ne répondent ni le dirigeants – Boris Johnson comme Emmanuel Macron – ni les médias, c’est :
- la dangerosité d’Omicron (qui, je le rappelle, n’est en rien corrélée à sa contagiosité) justifie-t-elle ce déploiement martial de vaccinations ?
- combien de temps cette 3ème dose sera-t-elle efficace d’après eux ?
Car nous y venons : rien n’indique, dans la « logique » actuelle (notez les guillemets) que cette dose sera la dernière.
Comme le suggèrent déjà les responsables Israéliens.
Vaccin ou… traitement ?
Dans ma lettre de vendredi dernier, j’ai insisté sur le fait qu’aucun vaccin ne nécessite normalement plus de 3 doses maximum pour être efficace – à l’exception du vaccin contre la grippe, dont la formule change chaque année.
Les vaccins anti-Covid, avec d’une part leur efficacité nulle en termes de contagion et de contamination, et d’autre part leur efficacité fragile et temporaire en termes de protection des formes graves, sont un cas de figure inédit en épidémiologie et immunologie.
Mais pas du tout en médecine !
Car un produit pharmaceutique que l’on est contraint de prendre régulièrement pour éviter ou contenir les effets d’une maladie, cela existe, et s’appelle un traitement.
Le diabétique qui doit s’injecter quotidiennement de l’insuline, le malade du sida en trithérapie pour combattre les effets du VIH, le patient auquel son médecin a prescrit des statines dans l’objectif de faire baisser son cholestérol, sont sous traitement.
Vous pouvez prendre le problème sous toutes les coutures : un produit pharmaceutique prescrit régulièrement, qu’il se prenne par voie orale, sous-cutanée ou autre, est un traitement, ni plus ni moins !
Et à qui prescrit-on un traitement ?
Réponse : à un malade.
… tandis qu’un vaccin est, lui, injecté pour éviter de tomber malade.
Ma conclusion est que les personnes vaccinées qui cèdent à l’injonction de la troisième dose, puis après elle de la quatrième, puis de la cinquième, de la sixième, septième… acceptent d’être considérées par nos dirigeants comme des malades à mettre sous traitement.
Cela fait donc, dans le cas de la France, un réservoir de 90,6 % de la population « malade », puisque c’est la proportion de citoyens de plus de 12 ans vaccinés[6] :
21,1 % des Français – soit 1 Français sur 5 – ayant reçu leur dose de rappel sont par conséquent, aux yeux de n’importe quel médecin honnête, maintenant sous traitement.
Cela est d’une ironie mordante… puisque parallèlement aucun réel traitement contre le Covid n’est officiellement accepté en France.
Tous des malades !
Notre société est malade.
Pas malade du Covid.
Mais malade psychiquement, et spirituellement.
C’est mon ressenti, et mon opinion… et des données les confirment : il y a deux semaines, le journal Le Monde titrait sur la dégradation de la santé psychique des Français, notant le haut plateau atteint, depuis 18 mois, des états anxieux et dépressifs, du recours aux antidépresseurs et des hospitalisations pour tentative de suicide[7].
« Les données s’empilent et se recoupent : la santé mentale des Françaises et des Français s’est détériorée avec la crise sanitaire. Un an et demi après le premier confinement, on ne constate pas de retour aux niveaux connus avant la pandémie.
Le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), publié le 23 novembre par l’agence Santé publique France (SPF), est consacré aux états anxieux et dépressifs des actifs qui demeurent à des niveaux élevés tout au long de l’année 2020. Les auteurs de ce focus redoutent que la santé mentale fragilisée des Français devienne un « problème de santé publique ». »
Le climat de restrictions tous azimuts, la polarisation des « pour » et « contre » le vaccin, les familles brisées et les amitiés brouillées par la tension, les annonces anxiogènes, font que nous avons bien plus de chances, en réalité, de mourir de peur ou de désespoir, que du Covid.
Oui, à mon sens, notre société est malade au point d’avoir complètement perdu « la tête ». Ou, si vous préférez, le sens commun, et le sens des priorités.
Le fait que nos gouvernements occidentaux se dirigent vers un traitement sans fin de leurs concitoyens est comme la confirmation, et la matérialisation, de cette maladie.
Nous ne sommes plus considérés comme des citoyens, mais comme des patients à traiter.
Comme des malades que l’on soumet à un traitement prétendument « pour notre bien ».
Tout cela est déprimant, et infantilisant… littéralement.
Puisque ces mêmes gouvernements entendent désormais appliquer le même traitement à nos enfants.
Jean Castex n’a-t-il pas déclaré que la vaccination des 5-11 ans était désormais selon lui une « nécessité »[8] ?
Nécessité statistique, oui : c’est en effet ce qui explique la distinction entre les 77,5% de la population « totale » vaccinée (qui ne comprend pas les moins de 12 ans) et des 90,6% de la population « éligible » vaccinée (+ 12 ans).
Bientôt cette population « éligible » sera donc répertoriée à partir de 5 ans.
Une société qui prétend non seulement vacciner la part de ses concitoyens les moins exposés aux formes graves du Covid, mais entraîner dans sa folie ses enfants à partir de 5 ans est bel et bien une société malade.
L’expérience de Calhoun dont je vous parlais dimanche dernier me rappelle que le moment où Univers 25 a tourné au cauchemar a eu pour « symptôme » le fait que les souris adultes s’attaquaient aux souriceaux… et même les mères à leurs petits.
Notre société est malade, mais le traitement dont elle a besoin n’est pas un vaccin expérimental.
La solution, à votre avis ?
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
Sources :
[1] La rédaction. (06.09.2021). Israël envisage une 4ème dose de vaccin. Est-ce que ce sera le cas en France ? Nice-matin. https://www.nicematin.com/faits-de-societe/israel-envisage-une-4e-dose-de-vaccin-est-ce-que-ce-sera-le-cas-en-france-712508
[2] Captaindaretofly (13.12.2021). Israel says Covid-19 vaccine booster shots will be needed FOREVER. The exposé. https://dailyexpose.uk/2021/12/13/israel-says-covid-19-vaccine-booster-shots-will-be-needed-forever/
[3] De la Grange A (13.12.2021). Royaume-Uni : une digue vaccinale face au « raz de marée Omicron ». Le Figaro. https://www.lefigaro.fr/sciences/royaume-uni-une-digue-vaccinale-face-au-raz-de-maree-omicron-20211213
[4] Sciences et Avenir (13.12.2021). Covid-19 : après la mort d’une personne due à Omicron, le Royaume-Uni mise sur la vaccination massive. https://www.sciencesetavenir.fr/sante/covid-19-un-mort-du-a-omicron-au-royaume-uni-qui-mise-sur-la-vaccination-massive_159794
[5] Cf. note 3
[6] Covidtracker, Vaccin Tracker. Combien de français ont été vaccines contre la Covid19? https://covidtracker.fr/vaccintracker/
[7] Deroeux I (29.11.2021). Quelles sont les données qui montrent la degradation de la santé psychique des Français? Le Monde. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/11/29/quelles-sont-les-donnees-qui-montrent-la-degradation-de-la-sante-psychique-des-francais_6104060_4355770.html
[8] Desmonceaux J (13.12.2021). Covid-19: pour Jean Castex, la vaccination des enfants est désormais “une nécessité”. Bfmtv. https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-pour-jean-castex-la-vaccination-des-enfants-est-desormais-une-necessite_AN-202112130084.html
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Bravo pour cette lettre extrêmement pertinente. Depuis quelques temps, j’ai cette phrase du Docteur Knock en tête : « Tout bien portant est un malade qui s’ignore ». En effet, avec cette pseudo-pandémie, tout le monde est devenu hypocondriaque… L’angle sous lequel vous présentez cette soi-disant protection comme un traitement et non comme un vaccin (ce qu’elle n’a d’ailleurs jamais été) renforce le côté absurde de toute cette histoire de fous. Ce qui me désole, c’est que, malgré le ridicule évident de la situation, où tout être doué de raison aurait déjà depuis longtemps réalisé que nos gouvernants sont tous devenus fous (en fait ils font semblant parce qu’ils savent très bien ce qu’ils font) et que le temps de les dégager est venu, et bien les gens vont prendre rdv pour leur 3è piqûre. Pire, ils vont faire injecter leurs enfants !
Ma solution, et je n’ai rien inventé : Arrêter d’écouter les infos, boycotter tout ce qui ne peut pas se faire sans pass nazitaire, refuser toute injection supplémentaire, et tout s’arrêtera en quelques jours. Et si on a encore peur d’attrapper le covid, car c’est effectivement encore possible, vitamines C et D, zinc et tous les conseils de santé naturelle que vous donnez feront largement l’affaire. Merci encore pour cette lettre.
Bravo pour cette lettre extrêmement pertinente. Depuis quelques temps, j’ai cette phrase du Docteur Knock en tête : « Tout bien portant est un malade qui s’ignore ». En effet, avec cette pseudo-pandémie, tout le monde est devenu hypocondriaque… L’angle sous lequel vous présentez cette soi-disant protection comme un traitement et non comme un vaccin (ce qu’elle n’a d’ailleurs jamais été) renforce le côté absurde de toute cette histoire de fous. Ce qui me désole, c’est que, malgré le ridicule évident de la situation, où tout être doué de raison aurait déjà depuis longtemps réalisé que nos gouvernants sont tous devenus fous (en fait ils font semblant parce qu’ils savent très bien ce qu’ils font) et que le temps de les dégager est venu, et bien les gens vont prendre rdv pour leur 3è piqûre !
Ma solution, et je n’ai rien inventé : Arrêter d’écouter les infos, boycotter tout ce qui ne peut pas se faire sans pass nazitaire, refuser toute injection supplémentaire, et tout s’arrêtera en quelques jours. Et si on a encore peur d’attrapper le covid, car c’est effectivement encore possible, vitamines C et D, zinc et tous les conseils de santé naturelle que vous donnez feront largement l’affaire. Merci encore pour cette lettre.
Bien sur que vous avez raison et beaucoup de gens constatent l inefficacité de ces vaccins. Mais comment peut on éviter ces vaccinations à répétition étant donné que le pass sanitaire est lié à la vaccination ? Et ce pass sanitaire la majorité en a besoin pour diverses raisons. Donc il n y a pas de moyens d y échapper bien que l on ose nous dire que la vaccination n est pas obligatoire.
merci pour toutes ces informations
Je vous souhaite longue vie et bonne continuation
Bonjour Rodolphe,
je suis a 99 % d’accord avec toutes vos lettres, et vous êtes formidable (sans ironie) de courage et de discernement, ma petite famille résiste a ce prétendu vaccin qui est la plus grosse escroquerie du 21è siècle, mais il y a une chose qui me chagrine :
j’ai commandé 3 exemplaires de l’Almanach et je n’ai rien reçu. Merci si vous pouvez faire qqchose.
Xavier Deghilage, 31 rue de Bone, 85200 L’Orbrie
je suis entièrement d’accord avec votre analyse. Mais on fait quoi à part renforcer son immunité naturelle (ce qui est très bien), mais il ne demeure pas moins qu’il nous faut ce fameux passe sanitaire pour sortir. Les autorités sanitaires, le président de la république, le chef du gouvernement et les autres qui nous imposent ce « diktat », sont-ils au courant de cette analyse ? Comment faire pour ne pas avoir à prendre les prochaines doses ? et pouvoir sortir ?
Historiquement parlant, quand les empires commencent à faire n’importe quoi c’est un signe de déclin. Nous sommes en plein dedans. Pauvre Terre! Le pire, c’est que certaines personnes boivent les inepties de nos dirigeants comme du petit lait. Mais le pire de tout est que tous les effets secondaires graves ne sont pas enregistrés et beaucoup de gens pensent qu’il n’y en a que très peu. Comment faire pour attirer l’attention sur ce fait? Peut-être les grands médias et la télévision…mais, lesquels oseront lancer cette polémique? Bon courage pour la suite et merci pour tout ce que vous expliquez.
Cher Rodolphe,
Merci pour tes écrits, leur pertinence et leur clarté m’aident à y voir plus clair, croisées avec ceux d’autres auteurs (heureusement il y en a !) face à ce maquis des déclarations, prises de position et mesures émanant des pouvoirs publics et d’une presse qui ne s’honore pas en relayant souvent sans filtre la propagande gouvernementale. Tu dois être au courant de la tribune lancée par le professeur Mucchielli, qui parle de « religion vaccinale ».
En la lisant, en lisant ton texte et en ayant connaissance du projet gouvernemental (boosté par les instances de santé européennes) consistant à vacciner les enfants de 5 à 11 ans, je me suis dit que mon humble « trouvaille » pourrait t’intéresser : le « syndrome de Baal ». Toi qui aime à t’appuyer sur la mythologie ou l’histoire à des fins pédagogiques, tu dois connaître cette pratique chaldéenne qui consistait à s’attirer les faveurs de cette divinité en lui sacrifiant des enfants que l’on faisaient cuire, en quelque sorte, en les enfermant dans une statue de métal chauffé à blanc… Au-delà de l’horreur de ce geste, c’est bien de sacrifice d’enfants qu’il est question. Et l’on peut aisément imaginer que cette pratique religieuse avait aussi pour but, si l’on suit Marx, de détourner l’attention des masses chaque fois que nécessaire…
Toute proportion gardée, il y a aussi quelque chose d’horrible dans ce qui se trame dans les hautes instances de la santé en France (qui va emboîter le pas de quelques pays moins regardants et plus « efficaces » – cf. la Chine qui a vacciné manu militari toute sa population à partir de l’âge de trois ans…). Sachant que les enfants sains ne sont pas touchés par le covid, il va leur être inoculé un « vaccin » qui, selon les lois des probabilités et de la statistique, aura inévitablement pour effet de provoquer chez un certain nombre de ces enfants (combien ?) en pleine santé des effets secondaires plus ou moins graves, voire fatals, alors que, répétons-le, ils ne courent aucun risque épidémique.
Voilà pourquoi je parle du « syndrome de Baal ». D’une part parce que l’obligation vaccinale pour les enfants, en tant que mesure irrationnelle dictée par la peur et d’autres motifs moins avouables, contribue à rassurer « la population » au détriment d’une partie de cette population, en l’occurrence des enfants, dont les parents consentants auront été convaincus par des grands prêtres du bien-fondé du geste vaccinal ; d’autre part parce que l’observation de la courbe de mortalité due au covid en fonction de l’âge montre que ce sont les 75-95 ans qui sont les plus exposés. Ca n’engage que moi (et je précise que ma mère, hébergée en Ehpad, a 102 ans – et eu droit prioritairement à sa troisième dose de Pfizer !), mais il me semble que le jeu du sacrifice d’enfants à prévoir n’en vaut pas forcément la chandelle…
Question subsidiaire : laisser ou faire mourir un enfant, en droit pénal, porte un nom. Quand cela s’assortit de la préméditation – on décide bien de prendre une mesure en toute connaissance de cause, qui aura pour conséquence la mort d’individus -, quel nom cela porte-t-il ?
Bien cordialement.
Jean-Louis Puricelli
Bien vu
Bonsoir: Je lis vos avis depuis un certain temps. Désolée, je comprends rien. Je suis ignare…(bac + 5). Notre société est malade… pas forcément de la Covid mais d’autre chose…Une amie (64) a reçu sa 3ème dose. Une autre (72) totalement réfractaire. Elle suit vos conseils Elle et moi: pass sanitaire, on s’en f….. Pas concernées. J’ai (69), je travaille pour payer mes factures. La pandémie fut une cata. au niveau financier. 10 semaines sans entrées d’argent. Pas possible de payer les factures… Le reste j’ai bien vécu. 10 semaines de vacances chez soi…Depuis 10 ans ,j’ignorais….Toute jeune j’ai appris à vivre en autarcie, ce qui manque à notre société… Pourtant aujourd’hui, les moyens de communications existent. Pas besoin d’un contact physique. Alors, les fêtes de fin d’années sont déjà programmées: seule avec Médor (10), chien de grande race sorti de la SPA à (7). Mon compagnon de tous les jours. On s’adore. Cadeaux pour lui.. Et bon repas pour moi et lui. Le calme et la sérénité, hors tout, à l’abord d’un petit village. Pas de risque de contaminations etc. Aujourd’hui, les gestes barrières et la distanciations ne sont plus respectés. Je le vois et constate. Nostalgie de la vie d’avant… Pour moi, la vie d’avant, pour l’heure, c’est fini. Il faut apprendre à vivre différemment. Le seul vaccin reçu dans ma vie c’est la polio… Rien d’autre… Bizarre, il y a 3-4 ans, réflexion à mon lieu de travail: « T’es jamais malade, comment tu fais ? » Je ne sais pas. Pas de médecin traitant, aucun médicament, ma pharmacie est vide. Je le dis franchement, les tisanes, les plantes, les huiles essentielles, etc. je n’y connais rien et n’ai pas le temps. En sus, je ne suis pas très tisanes, etc.. Par contre, je suis entièrement favorable à l’homéopathie. Elle m’a été très utile dans ma vie, notamment dans mon enfance, et m’interroge également pour mon chien. Merci de me conseiller dans ce domaine.
Bien cordialement
Trés bonne analyse! parfait!👍👍😳👍
Il faut lire et relire « Knock ou le Triomphe de la médecine » ! Jules Romains avait anticipé ce qui est en train de se passer : une population entière décrétée malade, c’est le Graal des médecins charlatans. La devise de Knock : « les gens bien portants sont des malades qui s’ignorent ».
On y est !…
Tout simplement génial !
Bonsoir Monsieur Bacquet,
Je suis bien d’accord avec vous que notre société est bien malade, plus psychiquement et surtout spirituellement. Nous sommes asservis par des forces obscures, des esclaves de notre ignorance des Lois de notre Créateur et de tous les moyens simples, trop simples pour BIG PHARMA.
Je vous témoigne que la Covid n’est qu’une des plaies que notre Dieu va continuer de nous envoyer pour essayer de nous rendre humbles et reconnaissants pour tout ce qu’Il nous donne; le temps de la repentance a sonné! En dehors de cela il n’y aura pas de salut ni pour les uns, ni pour les autres.
Cordialement
Bonsoir Rodolphe, OUI, notre société est malade, et nos dirigeants aussi ! (mais ils savent très bien ce qu’ils font…). malade de peurs instillées par les média et le gouvernement – je n’insiste pas- et les gens sont devenus des moutons: on « suit » les directives et on ne réfléchit plus ou préfère ne pas savoir ou chercher à comprendre…vous êtes un jeune homme courageux ! merci pour newsletters et actions pleines de bon sens ! BRAVO ! tenez le coup et continuez de nous garder informés !!!
Le Paradis des souris, c’est l’ enfer, le Covid : tous des malades ! avec ses doses de vaccin à répétition. Des cauchemars à dix jours de Noël. Peut-on encore oser parler de ‘la magie de Noël’ ? Des familles qui ne se réuniront pas, divisées par le ‘vaccin’ qui n’en est pas un. Ne plus pouvoir s’exprimer librement sous peine d’exclusion familiale, amicale, sociale. La solution immédiate ? LA PATIENCE POSITIVE avec tous les ingrédients nécessaires pour sortir de ces temps d’obscurantisme. L’Histoire est un éternel recommencement. Les gens en ont marre parce que ça fait bientôt deux ans. Qu’ils pensent à 14-18 à 39-45 et entrent en résistance. Ceux qui détiennent les grands empires de la finance, mourront comme tout un chacun. Tous les empires croulent un jour. Patience ! Mettons du SEL dans notre vie et nos échanges. Respirons à l’air libre, observons la nature. N’écoutons pas les discours mensongers, ne nous fions pas aux belles paroles. Nous avons cru être en démocratie, la crise sanitaire nous révèle qu’il n’en est rien. Avec nos masques, ne trouvez-vous pas une ressemblance avec les Chinois. Nous voilà contraints à la docilité, soumis, obéissants, sans pensée personnelle exprimée. Courage ! rester positif envers et contre tout, « ne pas se résigner » est un bon moteur pour traverser cette mauvaise passe. Mettons des pensées positives, des voeux de clarté d’esprit sous le sapin.
Bonnes fêtes à toutes les âmes de bonne volonté.