Chers amis,
Depuis que j’ai été – un peu malgré moi – mis sur le devant de la scène, vous êtes plusieurs à me demander comment j’en suis venu à travailler dans le domaine de la santé.
En particulier dans les médecines complémentaires et naturelles.
C’est un événement particulier qui m’y a mené.
Je vais vous le raconter et vous allez comprendre pourquoi cet événement a bouleversé ma vie. Et changé mon rapport au système de soin.
Avant
Il y a 8 ans, ma vie était très différente.
J’ai commencé ma vie professionnelle comme réalisateur de films documentaires, mais aussi comme enseignant : j’ai donné des cours magistraux sur le cinéma documentaire à l’université, et parallèlement j’animais des ateliers auprès de tous les publics scolaires (primaire, collège, lycée).
J’ai fait cela pendant 4 à 5 ans, avant de mêler ma passion pour les voyages à mon goût pour les livres et pour l’écriture. J’ai alors ommencé à signer des guides de voyage.
C’est alors que je travaillais sur l’un de ces guides, dans les rues de Londres, que ma vie a basculé, en même temps que mon vélo.
Ce basculement s’est produit en 5 actes.
Acte I : « Les cyclistes vivent dangereusement, à Londres »
J’avais décidé d’arpenter la capitale britannique à vélo. J’avais reçu plusieurs avertissements : « sois prudent Rodolphe, les cyclistes vivent dangereusement, à Londres ».
J’avais précédemment habité à Amsterdam, et le vélo en ville, je connaissais bien.
Mais un soir à Londres un chauffard m’a renversé. Il avait grillé un feu rouge.
Cet homme s’est arrêté une demi-seconde pour voir si j’étais en un seul morceau… puis redémarré aussi sec.
Je n’étais plus en un seul morceau…
Mon genou avait heurté de plein fouet le bitume, subissant mon poids et celui, très lourd, du vélo. Je ne saignais pas, mais à terre, au milieu de la rue, il m’a suffi de passer la main sur mon genou pour comprendre que ma rotule était brisée en plusieurs morceaux.
« En miettes » serait plus exact. La douleur était insoutenable.
Des gens du voisinage sont venus m’aider à rejoindre le terre-plein, m’apportant l’un un thé chaud, l’autre une couverture (c’était l’hiver, et il faisait déjà nuit).
Une dame me dit, pour me divertir, que le café le plus proche était celui régulièrement fréquenté par l’actrice Anne Hathaway.
C’est là, sur un terre-plein central entre deux avenues passantes, que j’ai attendu une ambulance, pendant un temps qui me parut interminable. Elle a mis plus de deux heures à venir.
Mais je n’étais pas au bout de mes peines.
Acte II : « C’en était une vilaine »
J’avais entendu parler du déplorable état de l’hôpital public britannique, affaibli par des années de coupes budgétaires.
Je l’ai vécu « en direct ».
Admis aux urgences du St Mary’s Hospital, j’ai observé dans une semi-ivresse (on m’avait mis sous oxygène pour atténuer la douleur) le tumulte d’un service débordé de toutes parts, obligé de repousser sans cesse l’examen de ma fracture par manque de personnel.
Lorsque la radiographie révéla la gravité de ma fracture, on m’indiqua que je serais opéré la nuit même. Puis, finalement, le lendemain.
Je fus installé dans une chambre, ou plutôt une salle, où j’étais séparé d’une demi-douzaine d’autres patients (dont un gémissait à longueur de temps) par des rideaux en plastiques.
Mon opération fut encore décalée d’un jour, puis encore remise au surlendemain.
Avec le recul, mon expérience dans cet hôpital m’apparaît comme un triste présage de ce qui m’attendait. Et m’attend encore à l’hôpital public français. J’ai depuis eu l’occasion d’être témoin, notamment à Rouen ma ville natale, de services d’urgence en grève, absolument à bout… bien avant la crise du Covid.
Pourtant, étrangement, durant toutes ces heures – ces jours – d’incertitude et d’attente, je demeurais stoïque. J’avais confiance en une issue heureuse.
Quand enfin j’ai été opéré, un chirurgien d’origine hindoue vint dans la salle de réveil m’annoncer avec son accent indien : « it was a nasty one ».
Traduction : c’en était une vilaine (de fracture).
Ma rotule était tellement atomisée qu’il avait dû retirer comme il pouvait les multiples petits morceaux afin de pouvoir rassembler les plus gros, puis les faire tenir ensemble par un cerclage et des broches afin qu’ils se ressoudent.
Si j’avais été plus âgé, j’aurais vraisemblablement eu le droit directement à une prothèse.
Mais les prothèses de genou ont une durée de vie limitée, et cela aurait signifié une opération au moins tous les dix ans pour la remplacer.
Acte III : Je prends conscience des limites et des incohérences de notre système de soin
Une semaine après mon accident, je quitte le St Mary’s Hospital pour être rapatrié en France.
Commence alors pour moi une longue période de convalescence et de rééducation… et de prise de conscience des limites et des incohérences de notre système de santé.
Mon premier acte de « désobéissance », au nom du bon sens, est de cesser le seul traitement chimique qu’on m’avait prescrit, du côté anglais comme français, c’est-à-dire la prise constante d’antiinflammatoires et d’antidouleurs.
Il me semblait absurde, contre-productif, que le seul réflexe des médecins soit d’éteindre ma douleur, au lieu de m’apprendre à maîtriser et soulager l’inflammation.
Mes connaissances en santé étaient loin d’être celles que j’ai aujourd’hui. Mais je savais que la prise régulière de ces médicaments :
- Créait un phénomène d’accoutumance ;
- Présentait des risques élevés d’effets secondaires, notamment au niveau du foie.
C’est à ce moment-là que j’ai commencé à chercher des « alternatives » pour faire baisser l’inflammation post-opératoire, notamment en employant de l’argile verte.
Les choses allaient se compliquer.
Ma prise en charge en France me réservait de nouvelles surprises, lesquelles m’ont ouvert les yeux sur les impasses de notre rapport au soin.
La première fut l’hermétisme de mes médecins (mon chirurgien français, et le médecin en chef du service de rééducation) à ce que moi, leur patient, je leur exprimais.
Après une opération lourde au genou, le premier objectif en termes de suivi post-opératoire est de retrouver de l’amplitude articulaire – c’est à dire simplement de réussir à, de nouveau, plier la jambe.
Ma progression a été rapide mais vite « bloquée ». Je sentais que quelque chose d’anormal m’empêchait de progresser. Je gardais la jambe raide.
J’ai dû insister plusieurs semaines pour qu’on me fasse passer des examens supplémentaires. Finalement une IRM révéla qu’un bout d’os s’était logé sous mon articulation.
J’avais été mal opéré à Londres : le chirurgien avait oublié un fragment de rotule dans ma jambe.
Je fus donc opéré une seconde fois, et ce bout d’os fut extrait.
L’erreur est humaine. Mais cette erreur ponctuelle du chirurgien londonien s’ajoutait, en réalité… aux contradictions de mes médecins français.
Acte IV : Le problème du pronostic
Vous le savez, l’un des enjeux fondamentaux, pour un médecin, est celui du diagnostic.
Ce diagnostic, plus souvent qu’on le croit, est l’objet d’erreurs qui conduisent à « l’errance médicale ».
A mon échelle, c’est ce que j’aurais vécu si je n’avais pas tant insisté pour passer de nouveaux examens, qui confirmèrent que le blocage de mon genou n’était pas « dans ma tête ».
La question du pronostic est tout aussi importante.
C’est de ce pronostic, et de l’état d’esprit qu’il induit chez le patient, que dépend une grande partie du chemin de guérison.
Dans le cas de mon genou, le pronostic n’était pas fameux. Au sein du centre de rééducation comme du cabinet du chirurgien, le discours était : « vous aurez des séquelles lourdes, vous boiterez toute votre vie ».
Je ne pouvais pas y croire. Après ma seconde opération, j’ai récupéré rapidement. Je voulais mettre un terme le plus rapide possible à ces mois de convalescence et de rééducation !
J’ai programmé, exactement 6 mois après mon accident, un voyage à Cuba pour le compte d’un magazine.
C’était une manière de me dire : il est hors de question que j’y aille en boitant, quoi que me disent mes médecins !
Acte V : La trentaine, et de l’arthrose avancée
Dernier problème : ma rotule profondément abîmée me faisait souffrir d’arthrose précoce et sévère.
J’ai demandé à mes deux médecins si, dans mon cas, reprendre le vélo était indiqué.
Le premier me dit : « surtout pas ! Vous allez aggraver votre arthrose ! »
Le second me répondit : « bien sûr ! Ça va aider votre genou à se rétablir ! »
Ce n’est pas rare que deux spécialistes se contredisent.
Mais cette confusion m’a amené, dès les premières semaines de ma convalescence et alors que j’étais alité, à devenir un patient non plus passif, mais actif.
J’ai commencé à mener mes propres recherches, à la fois pour comprendre ce qui m’arrivait, et dans l’espoir de trouver par moi-même ce qui pourrait m’aider.
Inutile de vos dire qu’au départ, j’étais complètement perdu. Mais à force de patience et de ténacité, mes idées s’éclaircirent.
J’ai commencé mon exploration solutions alternatives de santé :
- Pour avoir un autre regard que celui de mes médecins ;
- Pour « tester » l’une après l’autre, sur moi, des solutions dont je n’entendais pas parler par la médecine.
Je pense que la plupart des gens ne s’intéressent à la santé « que » lorsqu’ils commencent à souffrir eux-mêmes de problèmes de santé.
C’est ce qui m’est arrivé. Mon arthrose survenue si jeune, à cause d’une mauvaise opération, a totalement transformé la façon dont j’envisageais la santé.
J’ai compris par exemple que, pour faire baisser l’inflammation, la meilleure chose à faire était d’adapter mon alimentation.
Les conseils de mes médecins – manger beaucoup de produits laitiers afin d’avoir de meilleurs apports en calcium et donc d’avoir des os plus solides – témoignaient d’une méconnaissance nutritionnelle car :
- le calcium « seul » ne sert à rien sans des apports conséquents en vitamines D et K notamment ;
- les produits laitiers ne sont pas la meilleure source de calcium ;
- les protéines, les acides gras et les sucres des produits laitiers peuvent créer à terme d’autres problèmes de santé.
Quel médecin vous dit cela aujourd’hui ?
C’est ainsi que, semaine après semaine, mois après mois, j’ai « fait mes devoirs » de patient, Ils m’ont permis de me rendre compte que l’approche du personnel médical qui m’accompagnait, tout bien-intentionné et de bonne foi qu’il était, reposait en grande partie sur des opinions et des croyances qui n’avaient rien de scientifique.
Au fond, c’est rassurant : les médecins, comme les scientifiques, sont des êtres humains, et non des puits de science infuse !
Au fur et à mesure que je menais mes recherches, je « levais des lièvres » qui dépassaient mon seul petit cas.
Je me disais « oh là là, c’est incroyable ! Il faut absolument que mes parents, mes amis, apprennent ça ! »
Et c’est ainsi que, de fil en aiguille, j’ai commencé à vous écrire.
Rendre sa liberté et sa santé à chaque patient
Un an après mon accident, j’ai décidé de consacrer mon temps à des recherches sur la santé.
Je me suis fixé ce but : donner, à quiconque en exprime le besoin, la possibilité de reprendre sa santé en main.
J’ai commencé par écrire dans une revue de santé naturelle qui existait depuis plusieurs années, qui s’appelle Alternatif Bien-Être.
Puis j’en suis devenu le rédacteur en chef.
Enfin j’ai créé une lettre gratuite portant le même nom, pour rendre ces informations accessibles à un plus grand nombre encore de lecteurs.
J’ai rencontré des thérapeutes passionnés et passionnants ; qui partagent ma vision de la santé, c’est-à-dire une approche intégrative de la médecine.
Où toute approche thérapeutique, qu’elle soit à base de plantes, de médecine traditionnelle, d’homéopathie ou d’allopathie… est testée et proposée pour son efficacité seulement, que cette efficacité soit avérée empiriquement et/ou par des recherches scientifiques.
Car nous, êtres humains de chair et de sang, ne sommes ni des machines, ni des clones.
Nos problèmes de santé ne sont pas les mêmes, les solutions pour traiter des problèmes ne sont pas les mêmes d’une personne à l’autre.
En fonction de notre âge, de notre sexe, de notre patrimoine génétique, mais également de notre psychisme, de notre « bagage » affectif… nous ne réagissons pas de la même façon aux mêmes traitements.
Mon but, depuis plusieurs années maintenant, est de vous aider à vous faire connaître ces différents traitements, pour vous aider à essayer, et à choisir, les solutions de santé les mieux adaptées à vous.
C’est un travail de longue haleine, qui demande beaucoup d’obstination.
Car la « liberté médicale » n’est pas une approche santé facilement acceptée dans notre pays, à notre époque.
Des intérêts financiers puissants imposent un type de médecine, et une famille de traitements – pharmaceutiques – au détriment d’autres approches, réduites aux appellations de médecines « douces », « alternatives » ou « complémentaires ».
Or, c’est avant tout vous, nous, qui devons pouvoir maîtriser notre chemin de santé. Et non pas une « chapelle » de médecins et décideurs politiques se croyant autorisés à décréter ce qui est bon pour notre santé ou non.
Mon équipe et moi-même sommes totalement indépendants. Contrairement à la presse, qui vit sous perfusion de millions d’euros de subventions de la part de l’État, la revue dont je suis le rédacteur en chef ne vit et ne fonctionne que grâce aux abonnements. Ni aucune publicité extérieure. C’est le prix de l’indépendance.
C’est aussi le prix d’une santé libre et éclairée qui, selon la définition de l’Organisation Mondiale de la Santé « ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité » mais est « un état de complet bien-être physique, mental et social.[1] »
Nous sommes aujourd’hui loin de cette définition aujourd’hui.
C’est, à mon échelle, ce pour quoi je me bats.
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
[1] Préambule à la Constitution de l’Organisation mondiale de la Santé, tel qu’adopté par la Conférence internationale sur la Santé, New York, 19-22 juin 1946 ; signé le 22 juillet 1946 par les représentants de 61 États. 1946 (Actes officiels de l’Organisation mondiale de la Santé, n° 2, p. 100) et entré en vigueur le 7 avril 1948
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Répondre à Martine Annuler la réponse
En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Votre histoire personnelle est très intéressante. Elle me rappelle un peu la mienne. On m’a appris que j’avais un cancer du sein petit mais…
Je vis à NY et on me dit il faut la chimiothérapie . Or depuis longtemps je m’en méfie ainsi que des prescriptions de drogues de toute sorte. Comme vous j’ai commencé mes propres recherches pour une médecine plus naturelle.
Bref après bien des lectures je me suis rendue à Cuba. Ils m’ont recommandé de commencer par supprimer toute viande pendant I an( déjà j’en mangeais très peu) et de poisson pendant 6 mois. Puis de me faire faire des injections goutte à goutte de vitamine c et de prendre des pullules de vitamines B17 Novodaline Que je faisais poster aux US depuis le Mexique sur recommandation d’un médecin de médecine naturelle que j’ai trouvé
Aux alentours de NY.
Voilà en très bref … il y a de cela plus de 20 ans . J’ai 80 ans aujourd’hui et tâche de me battre contre le covid depuis Trinidad et Tobago où j’ai une maison aérée entourée d’arbres et où je M’occupe d’un mari qui malheureusement souffre de dementia.
C’est difficile mais nous avons chaleur soleil et chants d’oiseaux… espérons aussi nains de mer qui avaient été interdits à cause du covid. Une aberration de plus!
Bonjour
Exact, le lien initial était inactif.
Merci pour votre parcours médical.
Le mien est sidérant, des dizaines de médecins et autres praticiens, pour finalement trouver le bon qui a enfin posé le bon diagnostic, après 30 ans de souffrance.
J ai tout vu: le manque d écoute, le manque de connaissance, le déni, des avis contradictoires….
J ai beaucoup réfléchi à la formation des médecins, à la limite d attente d eux.
Je suis convaincue qu on a 30 ans de retard en France et surtout qu on ne veut pas s atteler à la prévention et aussi à déterminer l origine du mal.
J aimerais écrire sur mon parcours, mes recherches, d autres parcours.
Est ce qu un projet partagé de rédaction vous motiverait?
Justement ma conclusion est que le patient doit chercher, jamais lâcher, écouter son intuition pour quasi devenir son propre médecin !
Merci encore
Au plaisir de vous lire
Bonjour, j’ai fait aussi un cheminement vers la médecine alternative suite aux effets secondaires (convulsions sévères)d’un vaccin (coqueluche) à ma fille, 18 mois à l’époque. Elle est restée 8heures dans un coma profond, elle est sortie du coma mais ne pouvait plus marcher ni parler. Grand reset ! Suite à ça, Gardenal puis Depakine. Après je ne savais pas comment elle allait vivre sa scolarité avec cette médication. Un passage chez une magnétiseuse au mois d’août avant la rentrée en CP et elle a pu arrêter la médication progressivement. Aujourd’hui elle va bien, 32 ans, mais n’a pas pu joindre l’armée, car elle a toujours des paroxismes sur son ECG. Déjà à l’époque, quand elle prenait du Gardenal, je m’en plaignais à mon véto (!!) qui m’a dirigé vers un homéopathe, chez qui je vais toujours. Celui-ci à divisé la dose en deux et complèté avec de l’homéopathie. C’est à partir de là que je me suis posée beaucoup de questions sur l’allopathie en général et je me suis tournée vers les méthodes alternatives. Merci pour votre récit et votre parcours.
Je vous ai lu
Je partage
J’ai vécu la même chose.
Bravo .
J’ai lu
Je partage
J’ai vécu la même chose !
Bravo à vous .
Merci
Dans certains pays les médecines complémentaires ont leur place en toute intelligence et cohérence,, en France nous avons de sérieux problèmes de vouloir instaurer une seule médecine toute puissante qui rapporte bcp d’argent au détriment du patient, de son écoute de ses besoins de son bien-être et ont occulté totalement le sens réel du mot santé !!
Merci infiniment pour ce que vous faite.
Lucette
Merci Rodolphe pour ce témoignage très touchant et instructif qui éclaire votre démarche. Et puis bravo à vous ! Vous en avez certainement « bavé » comme l’on dit mais comme toute médaille a son revers, vous avez su tirer de cette épreuve sa « substantifique moelle » et trouver un nouveau chemin de vie où vous venez en aide à de nombreuses personnes.
Je m’intéresse aux médecines autres depuis mes 8 ans, l’homéopathie m’ayant sauvé la vie à ce moment-là. Je suis une abonnée de longue date à votre lettre et à votre magazine, que je lis toujours avec un grand intérêt.
Enfin un grand bravo et un grand merci aussi pour la pétition que vous avez lancée et portée à l’Assemblée Nationale.
Bien à vous
Bonjour Monsieur Bacquet,
Merci pour ces explications qui éclairent votre chemin de vie.C’est souvent en partant de la souffrance, malheureusement que vient la lumière.
Vous avez fait de votre vie,une belle mission.
Je suis abonnée depuis très longtemps à votre revue, toujours très intéressante.Je ne peux que vous encourager à continuer dans cette voie.
Cordialement.
Elisabeth Laffond
bonjour Rodolphe, je lis régulièrement vos lettres et m’en inspirent grandement et pour ce que vous faites Merci ! Par ailleurs, je suis famille d’accueil bénévole depuis 12 ans dans une association de « chats libres », je capture, je soigne, remets sur pattes, je socialise puis trouve de bonnes familles responsables pour faire adopter ces petits amours. Les chats des rues sont la plupart du temps mal en point. J’aimerais tant avoir des conseils pour les soulager et les soigner comme pour les humains. Avez vous des tuyaux de lecture, de sites ? Peut être avez vous déjà eu ce type de demandes et déjà réfléchi à cela ?
Dites moi …. Bien cordialement. Brigitte
Je vous remercie de ce que vous nous livrez! J’ai fait une expérience semblable avec mon fils. À l’âge de 4 ou 5 ans il faisait des otites à répétition. Il a eu beaucoup d’antibiotiques, il a eu des drains dans les oreilles, des parasynthèses, on lui enlevé les végétations deux fois et l’on m’a proposé de le faire une troisième fois et là j’ai dit non! Nous avons changé de spécialistes et de généralistes plusieurs fois! Jusqu’au jour où un médecin nous a dit qu’il était allergique aux laitages (à l’époque, environs de 1990, nous n’étions pas tournés vers le bio), et qu’il fallait les supprimer et lui donner le matin des amandes moulinées avec du miel! Il avait à ce moment là, 6 ans! Ses problèmes ont été terminés. Plus aucun laitages? J’ai du aller à la cantine scolaire pour leur expliquer! Il mesure 1m90 et n’a aucun souci de santé! et il re-mange du fromage mais du local et bio! Et nous sommes devenus trrrés médecines alternatives!
Très touchée par votre expérience qui ressemble à la mienne( rotule en x morceaux ) causée par un chauffard. Ma chance est d’avoir été parfaitement opérée, mais alors enceinte de 6 mois! Je passe les énormes complications, heureusement le » bébé « est maintenant un homme jeune et en bonne santé! Alors 1 grand merci à vous et votre équipe pour votre engagement qui donne forces, courage et connaissances! Bien à vous.
BRAVO et Felicitations ; votre parcours rejoint celui de »Moshe FELDENKRAÏS » qui lui aussi ,à la suite de gros pbs articulaires ( ou peut-être d’un accident?(je ne sais +) a fait sa propre réeducation ; et du coup a inventé une méthode ( que je pratique) pour la connaissance de son squelette , de son corps:( la méthode Feldenkraïs…)
je vous remercie de la spontaneîté , de la simplicité avec laquelle vous racontez votre histoire .
Bonjour!
Je suis avec intéret vos documentaires depuis quelque temps, ils me confortent dans mon résonnement et mon comportement médicinal.
Je vis en Guadeloupe, j’ai 73 ans , il va sans dire que je suis un antivax et cela pour les raisons qui suivent.
j’ai pris nassance à la campagne et j’ai été élevé par ma grand mère qui était une fervente de la phytothérapie créole, c’est-à-dire avec des plantes dont certaines personnes maitrisaient le bienfait et en prenaient grand soin car celles-ci servaient à soigner le voisinage en cas de besoin. Elle n’a jamais connu de médecin. le mot d’ordre était toujours, « laissez le système de défense naturelle travailler, on prendra quelque chose si nécessaire à base de plantes » Les gens vivaient très vieux mais pas malade au-delà de la centaine.
J’ai pratiqué cette méthode jusqu’à ce jour, pas de médicaments type anti douleur ou inflammatoire. Faire tomber la fièvre ou calmer les maux de tête naturellement sans médicaments c’est possible. Observez les animaux et vous comprendrez. les chiens et les chats ne sont pas des herbivores mais ils mangent certaines herbes quand le besoin se fait sentir, je ne parle pas de ceux qui sont domestiqués. il y a tout ce qui faut dans la nature pour se soigner cela s’appelle,la pharmacopée.
J’ai cru comprendre selon le gouvernement que les personnes chez nous qui refusaient le vaccin étaient des ignares, c’est faux … ce sont tout simplement des adeptes de la médecine ancestrale et qui réfléchissent après tout ce qui s’est passé chez nous.
Je dirai qu’ils suivent une logique naturelle. J’ai 73 ans, je ne prends aucun vaccin à ce jour et aucun médicament (pas de diabète, pas de cholestérol et pas d’hypertension). Je vis le plus sainement possible et je laisse mon système de défense jouer son rôle. Je ne crois pas faire partie des ignares comme ils prétendent car j’ai vécu 40 années en métropoles et travaillé durant 38 ans dans une des meilleures entreprises de France en tant qu’ingénieur en électronique logique et informatique. Je suis retraité depuis 17 ans et je ne suis pas malade donc je ne vois pas pourquoi je me ferai vacciner.
On nous traite comme des enfants à qui l’on dit, « si tu ne manges pas ta soupe aux épinards tu n’auras pas droit à ta NITINDO »…ça, je refuse. Je ferai une croix sur mes voyages, les restaurants et autres mais je ne me plierai pas à cette méthode dictatoriale sournoise (obliger par l’interdiction).
Vos documentaires me touchent énormément et je constate que je ne suis pas le seul. En vous lisant les gens réfléchiront à la manière de se soigner et non s’empoisonner. Arrêtons d’être des hypocondriaques et des cobayes.
Exemple vécu.
J’ai toujours pratiqué le sport en compétition et je souffrais de crampes systématiquement après les compétitions. Mon médecin m’avait prescrit de l’hexaquine, 3 ans plus tard il fallait arrêter car ce n’était pas conseillé pour le cœur…à sa demande.
Je vous remercie pour ce que vous faites, ça nous ouvre les yeux.
Sans contestataires c’est la dictature qui prend le dessus.
Bonne continuation et merci encore.
BRAVO!!!!!
Merci 💞 pour votre émouvant témoignage et pour le savoir et le courage que vous nous transmettez. Vous êtes formidable.