Chers amis,
Depuis que j’ai été – un peu malgré moi – mis sur le devant de la scène, vous êtes plusieurs à me demander comment j’en suis venu à travailler dans le domaine de la santé.
En particulier dans les médecines complémentaires et naturelles.
C’est un événement particulier qui m’y a mené.
Je vais vous le raconter et vous allez comprendre pourquoi cet événement a bouleversé ma vie. Et changé mon rapport au système de soin.
Avant
Il y a 8 ans, ma vie était très différente.
J’ai commencé ma vie professionnelle comme réalisateur de films documentaires, mais aussi comme enseignant : j’ai donné des cours magistraux sur le cinéma documentaire à l’université, et parallèlement j’animais des ateliers auprès de tous les publics scolaires (primaire, collège, lycée).
J’ai fait cela pendant 4 à 5 ans, avant de mêler ma passion pour les voyages à mon goût pour les livres et pour l’écriture. J’ai alors ommencé à signer des guides de voyage.
C’est alors que je travaillais sur l’un de ces guides, dans les rues de Londres, que ma vie a basculé, en même temps que mon vélo.
Ce basculement s’est produit en 5 actes.
Acte I : « Les cyclistes vivent dangereusement, à Londres »
J’avais décidé d’arpenter la capitale britannique à vélo. J’avais reçu plusieurs avertissements : « sois prudent Rodolphe, les cyclistes vivent dangereusement, à Londres ».
J’avais précédemment habité à Amsterdam, et le vélo en ville, je connaissais bien.
Mais un soir à Londres un chauffard m’a renversé. Il avait grillé un feu rouge.
Cet homme s’est arrêté une demi-seconde pour voir si j’étais en un seul morceau… puis redémarré aussi sec.
Je n’étais plus en un seul morceau…
Mon genou avait heurté de plein fouet le bitume, subissant mon poids et celui, très lourd, du vélo. Je ne saignais pas, mais à terre, au milieu de la rue, il m’a suffi de passer la main sur mon genou pour comprendre que ma rotule était brisée en plusieurs morceaux.
« En miettes » serait plus exact. La douleur était insoutenable.
Des gens du voisinage sont venus m’aider à rejoindre le terre-plein, m’apportant l’un un thé chaud, l’autre une couverture (c’était l’hiver, et il faisait déjà nuit).
Une dame me dit, pour me divertir, que le café le plus proche était celui régulièrement fréquenté par l’actrice Anne Hathaway.
C’est là, sur un terre-plein central entre deux avenues passantes, que j’ai attendu une ambulance, pendant un temps qui me parut interminable. Elle a mis plus de deux heures à venir.
Mais je n’étais pas au bout de mes peines.
Acte II : « C’en était une vilaine »
J’avais entendu parler du déplorable état de l’hôpital public britannique, affaibli par des années de coupes budgétaires.
Je l’ai vécu « en direct ».
Admis aux urgences du St Mary’s Hospital, j’ai observé dans une semi-ivresse (on m’avait mis sous oxygène pour atténuer la douleur) le tumulte d’un service débordé de toutes parts, obligé de repousser sans cesse l’examen de ma fracture par manque de personnel.
Lorsque la radiographie révéla la gravité de ma fracture, on m’indiqua que je serais opéré la nuit même. Puis, finalement, le lendemain.
Je fus installé dans une chambre, ou plutôt une salle, où j’étais séparé d’une demi-douzaine d’autres patients (dont un gémissait à longueur de temps) par des rideaux en plastiques.
Mon opération fut encore décalée d’un jour, puis encore remise au surlendemain.
Avec le recul, mon expérience dans cet hôpital m’apparaît comme un triste présage de ce qui m’attendait. Et m’attend encore à l’hôpital public français. J’ai depuis eu l’occasion d’être témoin, notamment à Rouen ma ville natale, de services d’urgence en grève, absolument à bout… bien avant la crise du Covid.
Pourtant, étrangement, durant toutes ces heures – ces jours – d’incertitude et d’attente, je demeurais stoïque. J’avais confiance en une issue heureuse.
Quand enfin j’ai été opéré, un chirurgien d’origine hindoue vint dans la salle de réveil m’annoncer avec son accent indien : « it was a nasty one ».
Traduction : c’en était une vilaine (de fracture).
Ma rotule était tellement atomisée qu’il avait dû retirer comme il pouvait les multiples petits morceaux afin de pouvoir rassembler les plus gros, puis les faire tenir ensemble par un cerclage et des broches afin qu’ils se ressoudent.
Si j’avais été plus âgé, j’aurais vraisemblablement eu le droit directement à une prothèse.
Mais les prothèses de genou ont une durée de vie limitée, et cela aurait signifié une opération au moins tous les dix ans pour la remplacer.
Acte III : Je prends conscience des limites et des incohérences de notre système de soin
Une semaine après mon accident, je quitte le St Mary’s Hospital pour être rapatrié en France.
Commence alors pour moi une longue période de convalescence et de rééducation… et de prise de conscience des limites et des incohérences de notre système de santé.
Mon premier acte de « désobéissance », au nom du bon sens, est de cesser le seul traitement chimique qu’on m’avait prescrit, du côté anglais comme français, c’est-à-dire la prise constante d’antiinflammatoires et d’antidouleurs.
Il me semblait absurde, contre-productif, que le seul réflexe des médecins soit d’éteindre ma douleur, au lieu de m’apprendre à maîtriser et soulager l’inflammation.
Mes connaissances en santé étaient loin d’être celles que j’ai aujourd’hui. Mais je savais que la prise régulière de ces médicaments :
- Créait un phénomène d’accoutumance ;
- Présentait des risques élevés d’effets secondaires, notamment au niveau du foie.
C’est à ce moment-là que j’ai commencé à chercher des « alternatives » pour faire baisser l’inflammation post-opératoire, notamment en employant de l’argile verte.
Les choses allaient se compliquer.
Ma prise en charge en France me réservait de nouvelles surprises, lesquelles m’ont ouvert les yeux sur les impasses de notre rapport au soin.
La première fut l’hermétisme de mes médecins (mon chirurgien français, et le médecin en chef du service de rééducation) à ce que moi, leur patient, je leur exprimais.
Après une opération lourde au genou, le premier objectif en termes de suivi post-opératoire est de retrouver de l’amplitude articulaire – c’est à dire simplement de réussir à, de nouveau, plier la jambe.
Ma progression a été rapide mais vite « bloquée ». Je sentais que quelque chose d’anormal m’empêchait de progresser. Je gardais la jambe raide.
J’ai dû insister plusieurs semaines pour qu’on me fasse passer des examens supplémentaires. Finalement une IRM révéla qu’un bout d’os s’était logé sous mon articulation.
J’avais été mal opéré à Londres : le chirurgien avait oublié un fragment de rotule dans ma jambe.
Je fus donc opéré une seconde fois, et ce bout d’os fut extrait.
L’erreur est humaine. Mais cette erreur ponctuelle du chirurgien londonien s’ajoutait, en réalité… aux contradictions de mes médecins français.
Acte IV : Le problème du pronostic
Vous le savez, l’un des enjeux fondamentaux, pour un médecin, est celui du diagnostic.
Ce diagnostic, plus souvent qu’on le croit, est l’objet d’erreurs qui conduisent à « l’errance médicale ».
A mon échelle, c’est ce que j’aurais vécu si je n’avais pas tant insisté pour passer de nouveaux examens, qui confirmèrent que le blocage de mon genou n’était pas « dans ma tête ».
La question du pronostic est tout aussi importante.
C’est de ce pronostic, et de l’état d’esprit qu’il induit chez le patient, que dépend une grande partie du chemin de guérison.
Dans le cas de mon genou, le pronostic n’était pas fameux. Au sein du centre de rééducation comme du cabinet du chirurgien, le discours était : « vous aurez des séquelles lourdes, vous boiterez toute votre vie ».
Je ne pouvais pas y croire. Après ma seconde opération, j’ai récupéré rapidement. Je voulais mettre un terme le plus rapide possible à ces mois de convalescence et de rééducation !
J’ai programmé, exactement 6 mois après mon accident, un voyage à Cuba pour le compte d’un magazine.
C’était une manière de me dire : il est hors de question que j’y aille en boitant, quoi que me disent mes médecins !
Acte V : La trentaine, et de l’arthrose avancée
Dernier problème : ma rotule profondément abîmée me faisait souffrir d’arthrose précoce et sévère.
J’ai demandé à mes deux médecins si, dans mon cas, reprendre le vélo était indiqué.
Le premier me dit : « surtout pas ! Vous allez aggraver votre arthrose ! »
Le second me répondit : « bien sûr ! Ça va aider votre genou à se rétablir ! »
Ce n’est pas rare que deux spécialistes se contredisent.
Mais cette confusion m’a amené, dès les premières semaines de ma convalescence et alors que j’étais alité, à devenir un patient non plus passif, mais actif.
J’ai commencé à mener mes propres recherches, à la fois pour comprendre ce qui m’arrivait, et dans l’espoir de trouver par moi-même ce qui pourrait m’aider.
Inutile de vos dire qu’au départ, j’étais complètement perdu. Mais à force de patience et de ténacité, mes idées s’éclaircirent.
J’ai commencé mon exploration solutions alternatives de santé :
- Pour avoir un autre regard que celui de mes médecins ;
- Pour « tester » l’une après l’autre, sur moi, des solutions dont je n’entendais pas parler par la médecine.
Je pense que la plupart des gens ne s’intéressent à la santé « que » lorsqu’ils commencent à souffrir eux-mêmes de problèmes de santé.
C’est ce qui m’est arrivé. Mon arthrose survenue si jeune, à cause d’une mauvaise opération, a totalement transformé la façon dont j’envisageais la santé.
J’ai compris par exemple que, pour faire baisser l’inflammation, la meilleure chose à faire était d’adapter mon alimentation.
Les conseils de mes médecins – manger beaucoup de produits laitiers afin d’avoir de meilleurs apports en calcium et donc d’avoir des os plus solides – témoignaient d’une méconnaissance nutritionnelle car :
- le calcium « seul » ne sert à rien sans des apports conséquents en vitamines D et K notamment ;
- les produits laitiers ne sont pas la meilleure source de calcium ;
- les protéines, les acides gras et les sucres des produits laitiers peuvent créer à terme d’autres problèmes de santé.
Quel médecin vous dit cela aujourd’hui ?
C’est ainsi que, semaine après semaine, mois après mois, j’ai « fait mes devoirs » de patient, Ils m’ont permis de me rendre compte que l’approche du personnel médical qui m’accompagnait, tout bien-intentionné et de bonne foi qu’il était, reposait en grande partie sur des opinions et des croyances qui n’avaient rien de scientifique.
Au fond, c’est rassurant : les médecins, comme les scientifiques, sont des êtres humains, et non des puits de science infuse !
Au fur et à mesure que je menais mes recherches, je « levais des lièvres » qui dépassaient mon seul petit cas.
Je me disais « oh là là, c’est incroyable ! Il faut absolument que mes parents, mes amis, apprennent ça ! »
Et c’est ainsi que, de fil en aiguille, j’ai commencé à vous écrire.
Rendre sa liberté et sa santé à chaque patient
Un an après mon accident, j’ai décidé de consacrer mon temps à des recherches sur la santé.
Je me suis fixé ce but : donner, à quiconque en exprime le besoin, la possibilité de reprendre sa santé en main.
J’ai commencé par écrire dans une revue de santé naturelle qui existait depuis plusieurs années, qui s’appelle Alternatif Bien-Être.
Puis j’en suis devenu le rédacteur en chef.
Enfin j’ai créé une lettre gratuite portant le même nom, pour rendre ces informations accessibles à un plus grand nombre encore de lecteurs.
J’ai rencontré des thérapeutes passionnés et passionnants ; qui partagent ma vision de la santé, c’est-à-dire une approche intégrative de la médecine.
Où toute approche thérapeutique, qu’elle soit à base de plantes, de médecine traditionnelle, d’homéopathie ou d’allopathie… est testée et proposée pour son efficacité seulement, que cette efficacité soit avérée empiriquement et/ou par des recherches scientifiques.
Car nous, êtres humains de chair et de sang, ne sommes ni des machines, ni des clones.
Nos problèmes de santé ne sont pas les mêmes, les solutions pour traiter des problèmes ne sont pas les mêmes d’une personne à l’autre.
En fonction de notre âge, de notre sexe, de notre patrimoine génétique, mais également de notre psychisme, de notre « bagage » affectif… nous ne réagissons pas de la même façon aux mêmes traitements.
Mon but, depuis plusieurs années maintenant, est de vous aider à vous faire connaître ces différents traitements, pour vous aider à essayer, et à choisir, les solutions de santé les mieux adaptées à vous.
C’est un travail de longue haleine, qui demande beaucoup d’obstination.
Car la « liberté médicale » n’est pas une approche santé facilement acceptée dans notre pays, à notre époque.
Des intérêts financiers puissants imposent un type de médecine, et une famille de traitements – pharmaceutiques – au détriment d’autres approches, réduites aux appellations de médecines « douces », « alternatives » ou « complémentaires ».
Or, c’est avant tout vous, nous, qui devons pouvoir maîtriser notre chemin de santé. Et non pas une « chapelle » de médecins et décideurs politiques se croyant autorisés à décréter ce qui est bon pour notre santé ou non.
Mon équipe et moi-même sommes totalement indépendants. Contrairement à la presse, qui vit sous perfusion de millions d’euros de subventions de la part de l’État, la revue dont je suis le rédacteur en chef ne vit et ne fonctionne que grâce aux abonnements. Ni aucune publicité extérieure. C’est le prix de l’indépendance.
C’est aussi le prix d’une santé libre et éclairée qui, selon la définition de l’Organisation Mondiale de la Santé « ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité » mais est « un état de complet bien-être physique, mental et social.[1] »
Nous sommes aujourd’hui loin de cette définition aujourd’hui.
C’est, à mon échelle, ce pour quoi je me bats.
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
[1] Préambule à la Constitution de l’Organisation mondiale de la Santé, tel qu’adopté par la Conférence internationale sur la Santé, New York, 19-22 juin 1946 ; signé le 22 juillet 1946 par les représentants de 61 États. 1946 (Actes officiels de l’Organisation mondiale de la Santé, n° 2, p. 100) et entré en vigueur le 7 avril 1948
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Répondre à michele Annuler la réponse
En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Bonjour
Que de courage vous avez et surtout ne lâchez rien; nous sommes de tout coeur avec vous.
Continuons ensemble!
Bravo pour votre courage et merci de nous ouvrir les yeux. Dommage que les vaccinés et les gouvernants qui nous traitent de complotistes alors qu’ils sont aveuglés par une minorité de personnes qui ont soi-disant la science infuse comme le ministre de la santé, notre premier ministre qui fait le petit toutou à M. Macron qui préfèrent inhjurier les vrais citoyens francais. Tous ces députés manipulés qui n’ont aucune valeur de leur objectif qui consistent à protéger les francais qui leur ont donnés le vote.
Merci Rodolphe de nous faire partager votre histoire.
Hé oui, c’est quand notre santé pâtis et que les médecins (trop dans le moule) sont dépassés, que nous nous dépassons nous même et arrivons à trouver des solutions. Les expériences que vous avez fait avec votre corps, j’en suis à ça aujourd’hui, mais quelle bonheur de se connaitre soit même et de se retrouver en vérité en soi.
Bien à vous.
Carole
Merci beaucoup! On a tellement besoin de ces genre de témoignages et de publications pour faire tache d’huile et changer la santé publique, complètement sous la mainmise de la medicine industrielle et la dictature des firmes pharmaceutiques. Moi meme pharmacien de formation j’ai décidé de me tourner vers les conseils en Nutrition (et pas en Nutrithérapie, qui est la version des médecins nutritionnistes, toujours voulant prescrire à tout prix). Convaincre les gens de prendre leur santé dans leurs propres mains et aux médecins de leur accompagner si besoin, est le chemin! On épargnerai des énormes sommes qui pourraient être à leur tour dédiés aux problèmes vraiment médicaux!
Merci Monsieur Bacquet d’exister ! Nous espérons que de plus en plus de personnes censées se rendent compte que nous sommes menés par le bout du nez par les grands groupes pharmaceutiques dont le seul but est l’argent et le maximum de bénéfice. Vous pouvez, par votre language clair et compréhensif, ouvrir les yeux à ceux qui restent encore en »admiration » devant la soi-disant connaissance du corps médical! Je vous admire et vous félicite mais vous avez encore une longue mission à accomplir.
Bonjour et merci cher Rodolphe de ce partage. Je suis de celles qui suivent leur senti, leur guidance mais c’est surtout quand je suis devenue maman, voici 21 ans, que mes recherches sur des alternatives pour mon bb ont débuté sérieusement. L’avènement d’internet ayant largement aidé à cette époque aussi. Aujourd’hui, en insuffisance cardiaque, je fais un mix entre alternative et médicaments chimiques… à mon grand regret. Nos héritages génétiques sont ce qu’ils sont, je ne suis fermée à rien… sauf aux mensonges ♥ MERCI pour tout.
Merci pour ce partage de vie ,en effet les épreuves ne sont pas toujours simples surtout lorsque le corps est touché et que le médical ne répond pas aux besoins de chacun parfois pour les raisons que vous avez évoquez dans votre témoignage ,nous sommes bien d’accord , se prendre en soin est indispensable et comme vous le dites si justement chacun son corps et son fonctionnement !
J’ai peur depuis l’enfance des médecins j’ignore pourquoi à ce point ..une chose est sûre c’est que je connais les violences obstétrique et autres abus et déni, donc encore merci de nous partager votre savoir sur une médecine parallèle et plus naturelle ,merci pour votre courage et votre bienveillance.
Prenez soin de vous
Maryline
Vous voulez entré dans un champ sacré et pour y entrer il faut l’état d’esprit du cultivateur ce que vous n’avez pas et n’aurez jamais et c’est heureux
Il ne vous reste que la parallèle avec votre espoir que les souffrants prennent conscience personnellement de l’état d’esprit des gens qui s’occupent d’eux
Alors bon courage vous n’êtes pas rendu en haut du plus haut des sommets de l’Everest
Vous êtes un Don Quichote des moulins à vent de la santé
à Mr Rodolph Bacquet Vous avez beaucoup de courage et c’est tout à votre honneur. MERCI d’avoir lutter contre le pass vaccinal (qui ne prend toujours pas en compte les effets secondaires de la vaccination). Mais ne baissons pas les bras, malgré notre âge et nos problèmes de santé, nous vous soutiendrons.
Merci pour ce partage qui ne fait que renforcer ma confiance en vous !!
Bonjour, je tenais à vous remercier pour cette perspective, ce bon sens et cette volonté de tenir tête au courant de cette médecine conventionnelle nauséabonde. Je serais curieux de connaître le résultat risques-bénéfices global de la politique de santé actuelle, qui ne voit que par la chimie-thérapie. La puissance politique et financière des laboratoires génère un diktat unidirectionnel qui ne peut être que néfaste à toute la société. Merci.
Bonjour Rodolphe et merci pour votre récit.
Si je vous ai bien lu, dans votre histoire vous ne dites pas de façon claire si, finalement, vos recherches et applications de solutions de santé alternative ont fini par donner un résultat concret dans le cas de votre genoux.
Autrement, c’est un fabuleux travail au niveau du storytelling.
Cordialement.
Merci pour votre implication dans le domaine de la santé. C’est souvent le fait d’avoir expérimenté des épreuves, des situations qui ouvre à la compréhension et à la recherche.
Nous sommes des êtres uniques, tous différents et notre santé l’est tout autant. Il est grand temps de nous la réapproprier en conscience.
Merci encore !
Bravo pour votre détermination et votre belle revue Alternative Santé qui nous apporte tellement d’informations utiles et « alternatives « . Surtout continuez !
Bonjour Monsieur ! Et un grand merci pour toutes vos lettres et celle d’aujourd’hui ressemble beaucoup à mon expérience personnelle ! Vers 40 ans un accident m’a cassé la rotule de mon genou droit en une dizaine de morceaux …. opération, 40 jours de platre de la taille à la cheville…. rééducation et au bout de qq. semaine grosses douleurs en permanence et mon genou enflé, rouge… le chirurgien a dit que j’étais douillette … et un matin un énorme geyser de pus est sorti de mon genou ! Nouvelle opération, plaie laissée ouverte pour cicatrisation normale … vous imaginez ce que j’ai pu souffrir. Et à la fin le chirurgien et l’expert m’ont dit » ma pauvre dame vous ne marcherez plus que pour faire votre ménage … » perspective réjouissante ! Mais, avec mon mari nous avons décidé que nous allions nous battre ; nous étions de grands marcheurs avant tout ça. Et petit à petit avec beaucoup de souffrance et de ténacité et l’aide et le soutien constant de mon mari j’ai réussi à re-marcher normalement. Oh bien sûr nous ne randonnions plus comme nous avions l’habitude de le faire mais nous marchions une fois par semaine 4 à 6 heures tranquillement. Et aujourd’hui j’ai 86 ans et mon genou tient encore le coup. C’est l’autre qui m’a posé de gros problème cet été, usure dûe sans doute à la surcharge de travail qu’il a eu par rapport à l’autre.
Tout ceci pour vous dire, Monsieur, que je vous comprens tout à fait et que je suis autant que je le peux vos conseils…
Continuez, vous êtes précieux !
Bien cordialement,
m. Ingrand