De plus en plus jeune, de plus en plus féminin… et de plus en plus « encouragé » ?
Chers amis,
Une tendance alarmante secoue les statistiques de santé.
De plus en plus de jeunes adultes, et même d’adolescents, sont touchés par des cancers autrefois considérés comme réservés aux âges avancés.
En avril dernier, déjà, l’une de mes lettres se faisait l’écho d’une étude du British Medical Journal établissant une hausse de près de 80 % en trente ans (de 1990 à 2019) des diagnostics de cancer chez les moins de 50 ans[1].
Je vous y parlais notamment du cancer diagnostiqué chez Kate Middleton, alors âgée de 42 ans.
Or, depuis, d’autres statistiques – américaines cette fois – mettent en lumière le fait que parmi ces personnes touchées de plus en plus tôt par le cancer, ce sont les femmes qui le sont davantage.
Cette évolution n’a rien d’anodin et pose une question cruciale : pourquoi ?
Les « séniors » n’ont plus le monopole de ces cancers
Durant tout le siècle dernier, le cancer était avant tout considéré comme une maladie du vieillissement, touchant davantage les hommes.
Les deux cancers les plus répandus étaient ceux de la prostate et du poumon.
L’incidence de ce dernier (celui du poumon) baisse, vraisemblablement grâce aux politiques de réduction du tabagisme… chez les hommes (et seulement chez les hommes).
C’est une bonne nouvelle, malheureusement assortie de plusieurs mauvaises.
Publié il y a quelques jours, le rapport[2] annuel de l’American Cancer Society pointe en effet plusieurs faits marquants :
- les taux de cancer augmentent chez les femmes de moins de 50 ans et celles âgées de 50 à 64 ans, tandis qu’ils restent stables ou diminuent chez les hommes dans ces tranches d’âge ;
- les cancers du sein, de l’utérus, colorectal, du pancréas et de la peau (mélanome) sont en augmentation. Le cancer du col de l’utérus, bien que largement évitable, connaît également une résurgence chez les femmes de 30 à 44 ans, en partie à cause du report des dépistages (j’y reviens un peu plus loin) ;
- les changements dans les habitudes de vie, comme la maternité de plus en plus tardive, l’augmentation de la consommation d’alcool, l’obésité et d’éventuels facteurs environnementaux, sont mentionnés comme contribuant à ces tendances.
Pourquoi ?
Ce « rajeunissement » du cancer est assorti de taux de survie moindres qu’il y a un siècle pour certains cancers comme celui du pancréas.
Le cancer du col de l’utérus est l’autre cancer pour lequel le taux de survie a spectaculairement diminué au cours des quarante dernières années.
En France, le constat est similaire : l’augmentation touche surtout les jeunes femmes et certains cancers considérés comme rares dans cette tranche d’âge.
Alors, pourquoi cette explosion ?
Les chercheurs de l’American Cancer Society explorent plusieurs pistes[3] :
- Mode de vie moderne : La sédentarité accrue, la consommation de nourriture ultra-transformée et le surpoids sont des facteurs de risque bien établis. Ces habitudes, adoptées dès l’enfance, impactent le métabolisme sur le long terme ; je vous en parle régulièrement dans mes lettres.
- Perturbateurs endocriniens : Ces substances omniprésentes dans notre environnement (plastiques, cosmétiques, pesticides) perturbent les fonctions hormonales et augmentent les risques de certains cancers, particulièrement ceux qui sont hormonodépendants.
- Facteurs génétiques et épigénétiques : L’héritage familial et les traumatismes transgénérationnels jouent un rôle encore mal compris, mais ils pourraient influencer l’apparition précoce de ces maladies.
Le cancer est une maladie multifactorielle et il n’y a, évidemment, pas une réponse simple à ce problème compliqué.
Néanmoins, je fais, pour ma part, un constat que ne relèvent pas les journalistes, et que les chercheurs admettent pourtant à demi-mot.
Les hausses les plus spectaculaires sont celles de cancers… ciblés par le matraquage
En effet, parmi les 10 cancers les plus fréquents, 6 sont en hausse : notamment les cancers du côlon et du rectum (chez les moins de 65 ans[4]), de la prostate et du pancréas.
Il est cependant frappant de constater que les 3 autres cancers les plus en hausse…
… sont précisément ceux que les autorités de santé ciblent dans leurs matraquages.
Il s’agit des cancers du mélanome (de la peau), du sein et du col de l’utérus.
Le mélanome : chaque année à l’approche de l’été, magazines et pharmacies vous invitent à vous badigeonner de crème solaire pour éviter les brûlures et le mélanome.
Le cancer du sein : chaque automne, « octobre rose » vous invite, Mesdames, à vous faire dépister.
Le cancer du col de l’utérus : c’est pour le prévenir que l’on vaccine depuis 2023, chez nous, à tour de bras, collégiennes et même collégiens.
Pourtant, malgré tous ces efforts des autorités de santé :
- le mélanome progresse ;
- l’incidence du cancer du sein augmente de 1 % chaque année, chez une population de plus en plus jeune[5] ;
- le taux de diagnostic mais aussi de mortalité du cancer du col de l’utérus prend une ampleur inquiétante chez les femmes de 30 à 44 ans[6].
On peut, évidemment, pointer la responsabilité du mode de vie, de la sédentarité et des perturbateurs endocriniens.
Mais pour ces trois cancers, les politiques des autorités de santé sont-elles la solution ou une partie du problème ?
Les politiques sanitaires sur ces cancers sont-elles la solution ou une partie du problème ?
Il est en effet troublant de constater que ce sont précisément les cancers que les autorités de santé s’acharnent à prévenir qui connaissent une flambée s’étendant désormais aux plus jeunes.
Aussi n’est-il pas abusif d’interroger le rapport de cause à effet de ces politiques.
Et plus exactement : le rapport de cause à effet pervers.
Car bien sûr que ces campagnes de prévention n’ont pas pour but d’augmenter l’incidence ou la mortalité de ces cancers.
Et pourtant, elles « marquent contre leur camp ».
Au surplus, ces mécanismes sont bien documentés et prouvés scientifiquement.
Mais ces informations, bien que publiques, sont peu diffusées.
Prenez le mélanome. La solution de prévention n°1 c’est, vous le savez, l’invitation à se badigeonner de crème solaire.
Les deux principaux effets pervers de cette recommandation, c’est que la crème solaire bloque 93 % votre production naturelle de vitamine D[7], indispensable à votre système immunitaire, et que ce « sentiment » de protection nous incite à nous exposer davantage au soleil… augmentant le risque de mélanome[8] !!!
Cancer du sein : aberrations par tous les bouts
Le cancer du sein maintenant. Pourquoi augmente-t-il autant chez des femmes de plus en plus jeunes alors qu’il est de plus en plus dépisté ?
Au sujet de ce dépistage, on sait depuis une douzaine d’années, grâce aux recherches de l’institut Cochrane, que ce dépistage sauve en moyenne 1 vie… pour 210 autres, qu’elle gâche :
« Si l’on considère que le dépistage réduit la mortalité par cancer du sein de 15 % et que le surdiagnostic et le surtraitement s’élèvent à 30 %, cela signifie que pour 2000 femmes invitées à participer à un dépistage au cours d’une période de 10 ans, un décès par cancer du sein sera évité et 10 femmes en bonne santé qui n’auraient pas été diagnostiquées si elles n’avaient pas participé au dépistage seront traitées inutilement. En outre, plus de 200 femmes se trouveront dans une situation de détresse psychologique, d’anxiété et d’incertitude importantes pendant des années en raison de résultats faussement positifs » indique l’institut Cochrane[9].
Ce n’est pas tout : le même institut conclut que les femmes dépistées meurent tout autant que les non-dépistées.
D’après Bernard Junod, chercheur à l’EHESP de Rennes, le traitement des cancers abusivement diagnostiqués lors des dépistages comporte d’authentiques risques létaux : affections cardiaques, cancers secondaires induits par les traitements, etc.
Si ce sujet vous intéresse, je vous invite vivement à lire Mammo ou pas mammo ?, de la Dre Cécile Bour[10]. Nous l’avions interviewée en octobre 2023 dans Alternatif bien-Être[11] : cette radiologue alertait notamment nos lecteurs sur les effets pervers de la biopsie.
Mais il y a pire : l’État français lui-même « finance » la hausse de cancers du sein en faisant la promotion, aberrante, d’un énorme facteur de risque, à savoir la contraception hormonale.
Depuis le 1er janvier 2022, la contraception est intégralement remboursée par la sécurité sociale en France pour les femmes de moins de 26 ans.
Enfin, quand j’écris « contraception »… seules les contraceptions hormonales sont concernées : pilules hormonales de première ou de deuxième génération, implant contraceptif hormonal, stérilet, contraception d’urgence hormonale (plus connue sous le nom de pilule du lendemain)[12].
Cela part d’une bonne intention, je n’en doute pas.
Le problème, c’est qu’il est établi que le recours à des contraceptifs hormonaux combinés, contenant à la fois des œstrogènes et des progestatifs, est associé à un risque majoré de cancer du sein[13] !
Les données manquaient jusqu’ici au sujet des contraceptifs utilisant uniquement des progestatifs, que ce soit sous forme orale (pilule), d’injection, d’implant ou de dispositif intra-utérin.
Or, dans une vaste étude anglo-australienne menée sur près de 30 000 femmes pré-ménopausées, publiée dans PLOS One[14], les chercheurs ont comparé l’historique contraceptif de 10 000 femmes de moins de 50 ans atteintes d’un cancer du sein invasif, à celui de 20 000 femmes du même âge sans cancer du sein.
Les résultats sont accablants : l’utilisation de contraceptifs oraux – des pilules donc – qu’ils soient combinés ou uniquement à base de progestatif, augmente de 20 à 30 % le risque de développer un cancer du sein agressif.
Plus une femme prend ce type de contraceptif tard dans sa vie, plus ce risque augmente : en gros, avant 20 ans, le risque est faible ; entre 35 et 39ans, il est multiplié par33 !!!
Nous en sommes donc arrivés, en France, à encourager et généraliser le recours à des traitements hormonaux… qui font bondir l’incidence d’un type de cancer que l’on cherche par ailleurs à combattre.
C’est une situation aberrante, et d’autant plus gravissime qu’elle concerne une personne sur deux… puisqu’il suffit d’être une femme pour en être victime.
Cancer du col de l’utérus : en baisse continue des années 1970 à 2000… en hausse depuis les années 2010 !
La dernière aberration développée par les autorités de santé est celle ayant conduit à la hausse spectaculaire des cancers du col de l’utérus.
Leur hausse, et leur mortalité.
Pourtant, au sujet de ce cancer, les politiques publiques n’ont pas toujours été aberrantes ; elles ont même été remarquablement efficaces dans les années 1970, lorsque l’examen du « frottis » s’est répandu.
Lorsque les tests de dépistage se sont démocratisés et qu’une visite chez le gynécologue suffisait, l’incidence du cancer du col de l’utérus a chuté[15].
Or aujourd’hui 7 femmes sur 10 reportent systématiquement ce rendez-vous médical[16].
Négligence ?
Non. C’est en réalité un effet pervers de la généralisation du Cervarix et du Gardasil, les « vaccins anti-HPV » promus depuis quelques années.
Censés protéger du papillomavirus humain, un virus suspecté d’augmenter le risque de développer un cancer du col de l’utérus, ces vaccins à l’efficacité douteuse et pouvant entraîner des effets secondaires graves[17] ont fait chuter la fréquence des dépistages par frottis comme le relevait en 2019 la Dr Nicole Délepine[18].
Cette dernière pointe la baisse continue d’incidence du cancer du col de l’utérus entre 1989 et 2007… et une hausse de cette même incidence à partir de l’introduction de ces vaccins « protecteurs ».
Fait encore plus troublant : l’incidence de ce cancer a continué de baisser chez les femmes plus âgées, non vaccinées et qui continuaient à se faire dépister, tandis qu’elle augmentait chez les plus jeunes, vaccinées!
Quand on sait qu’Emmanuel Macron a pris la peine d’annoncer lui-même, en février 2023 dans un collège charentais, la vaccination généralisée anti-HPV des élèves de 5ème en France[19], je vous donne rendez-vous dans 20 ans pour observer l’incidence du cancer du col de l’utérus au sein de cette génération.
Résumons-nous.
Le cancer, loin de baisser, se répand plus que jamais et touche une population de plus en plus jeune et de plus en plus féminine, cette même population étant la cible privilégiée des « égards » des politiques de santé publique… et de l’industrie pharmaceutique.
Ne serait-il pas temps de réaliser que le mieux est l’ennemi du bien ?
Portez-vous bien,
Rodolphe
[1] https://alternatif-bien-etre.com/maladies/cancer/comment-expliquer-la-hausse-de-79-des-cas-de-cancer-chez-cette-tranche-dage/ – Rodolphe Bacquet, « Comment expliquer la hausse de 79 % des cas de cancer chez cette tranche d’âge ? », site d’Alternatif Bien-Être, 17 avril 2024
[2] https://www.cancer.org/research/cancer-facts-statistics/all-cancer-facts-figures/2025-cancer-facts-figures.html – « Cancer Facts & Figures 2025 », site de l’American Cancer Society
[3] https://www.nytimes.com/2025/01/16/health/cancer-younger-women.html – Roni Caryn Rabin, « Cancer’s New Face : Younger and Female », in. The New York Times, 17 janvier 2025
[4] https://www.nytimes.com/2017/02/28/well/live/colon-and-rectal-cancers-rising-in-young-people.html – Roni Caryn Rabin, « Colon and Rectal Cancer Rising in Young People », in. The New York Times, 28 février 2017
[5] https://www.nytimes.com/2024/10/01/health/breast-cancer-young-women.html – Roni Caryn Rabin, « Breast Cancer Continues to Rise Among Younger Women, Study Finds », in. The New York Times, 1er octobre 2024
[6] Cf. n.3
[7] Serrano M-A (2018), « Contribution of sun exposure to the vitamin D dose received by various groups of the Spanish population », in. Science of the Total Environment, 1er avril 2018 619-620, 545-551. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0048969717330942?via%3Dihub –
[8] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC2363574/ – P. Autier, J-F. Doré, A C Reis et al., « Sunscreen use and intentional exposure to ultraviolet A and B radiation: a double blind randomized trial using personal dosimeters », in. British Journal of Cancer, novembre 2000
[9] https://www.cochrane.org/fr/CD001877/BREASTCA_depistage-du-cancer-du-sein-par-mammographie#:~:text=Le%20d%C3%A9pistage%20par%20mammographie%20utilise,accro%C3%AEtre%20les%20chances%20de%20gu%C3%A9rison. – PC Gotzsche & KJ Jorgensen, « Dépistage du cancer du sein par mammographie », in. site de l’institut Cochrane, 17 juillet 2013
[10] Cécile Bour, Mammo ou pas mammo ?, Thierry Souccar, 2022
[11] « Mammographie : les méfaits avérés du dépistage généralisé » (entretien), in. Alternatif Bien-Être n°193, octobre 2023
[12] https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15158#:~:text=Depuis%20le%201er%20janvier,et%20les%20examens%20biologiques%20potentiels – « Contraception – IVG », site Service Public
[13] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-toutes-contraceptions-hormonales-augmentent-risque-cancer-sein-24665/ – Claire Manière, « Toutes les contraceptions hormonales augmentent le risque de cancer du sein », in. Futura Sciences, 23 mars 2023
[14] https://journals.plos.org/plosmedicine/article?id=10.1371/journal.pmed.1004188 – Danielle Fitzpatrick, Kirstin Pirie, Gillian Reeves, Jane Green & Valerie Beral, « Combined and progestagen-only hormonal contraceptives and breast cancer risk: a UK nested case-control study and meta-analysis », in. PLOS Medicine, 21 mars 2023
[15] https://www.nytimes.com/2025/01/16/health/cancer-younger-women.html – Roni Caryn Rabin, « Cancer’s New Face : Younger and Female », in. The New York Times, 17 janvier 2025
[16] Ibid.
[17] https://alternatif-bien-etre.com/maladies/cancer/vaccin-anti-hpv/ – Rodolphe Bacquet, « Vaccin anti-HPV : la supercherie enfin dénoncée par une étude majeure », site d’Alternatif Bien-Être, 24 mai 2020
[18] https://docteur.nicoledelepine.fr/prevention-du-cancer-du-col-par-gardasil-un-echec/ – Nicole Delépine, « Prévention du cancer du sein par Gardasil : un échec », site de l’auteur, 25 mai 2019
[19] https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/02/28/papillomavirus-emmanuel-macron-annonce-une-campagne-de-vaccination-generalisee-dans-les-colleges_6163632_3224.html – « Papillomavirus : Emmanuel Macron annonce une campagne de vaccination généralisée dans les collèges », in. Le Monde, 28 février 2023
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Nous avons le résultat d’une hyper vaccination à… l’aluminium…
Trop de vaccins, empoisonnés aux pétrochimies
Dans Tout, notre corps sature
Depuis année 80, accélération des vaccins en nombre… pesticides partout,
Résultats catastrophiques maintenant
Au usa..’actuellement un enfant sur 36 est autiste!!!!!!le lien entre vaccins , dates est évident
12 vaccins avant 24 mois pour la France …une horreur
Ou comment dépopulation…va avec tout ça….
Lire.et écouter Hélène Grosbois « la disparition du vivant et moi*édition marabout
Très bien expliqué
Depuis le début de l’ère pétrole .chimique, nous sommes EMPOISONNÉS
Pesticides, vaccins 12 au moins de 2 ans du jamais vu, et trop avant des les années 80.., eau et alimentation empoisonnés..’
Tout contribue à nous faire mourir plus vite nous soigner plus avec cette même pétrochimie….
Tant que ce sera comme cela…rien ne pourra améliorer notre santé c très clair.
Les pesticides sont partout ds le ciel a des chemtrails en nombre considérable,
Barium, aluminium, oxyde titane…
Vous croyez que nos corps peuvent supporter…on a certainement des limites
Et c maintenant
PERSO J AI TOUJOURS ECOUTE MA PETITE VOIX .A 40 ANS J AI ARRETE LA PILLULE PRISE PENDANT 20 ANS APRES AVOIR EU 2 ENFANTS. J AI ARRETE LES MAMOS DEPUIS PLUS DE 10 ANS. J EN AI 70. JE N AI JAMAIS EU DE CANCERS NI MALADIE GRAVE ET JE NE SUIS PLUS INJECTEE DEPUIS L AGE DE 9 ANS. J AI CONSCIENCE QUE JE PREND PEUT ETRE UN PETIT RISQUE MAIS MOINS ON SE DEPISTE ET PLUS ON A DE CHANCE DE NE PAS ETRE ATTEINT ENFIN C EST MON AVIS QUI RESTE TRES PERSONNEL. MERCI POUR VOS INFOS.
Il est important de faire un dépistage après avoir subi un gros choc émotionnel.
Personnellement, en 2017, mon fils a perdu la vie suite à un burn out, 2 ans plus tard j’ai développé un cancer du sein gauche infiltré malgré des soins énergétiques qui ont probablement limites le traitement à l’hormonothérapie.
Je suis de la première génération à avoir pris la pilule. J’ai 71 ans.
J’ai 51 ans. Il y a quelques années lorsque je faisais un frottis je l’emmenais dans un labo spécialisé pour analyse, aujourd’hui je l’emmène dans un labo généraliste et la recherche ne porte plus sur des cellules cancéreuses mais sur des traces de PV. Or on peut avoir un cancer du col sans avoir été infectée au PV. Donc si un jour j’ai un cancer du col, je m’en rendrais compte tard, surement trop tard.
J’ai 51 ans. Il y a quelques années lorsque je faisais un frottis je l’emmenais dans un labo spécialisé pour analyse, aujourd’hui je l’emmène dans un labo généraliste et la recherche ne porte plus sur des cellules cancéreuses mais sur des traces de PV. Or on peut avoir un cancer du col sans avoir été infectée au PV. Donc si un jour j’ai un cancer du col, je m’en rendrais compte tard, surement trop tard.
Bonjour, je voudrais rebondir sur cet article très bien écrit comme d’habitude. La question des technologies sans fil est des CEM artificiels comme pollution environnementale et facteur de cancer et de nombreuses pathologies chroniques n’est jamais abordée. L’EHS notamment, ou SICEM, anciennement syndrome des microondes, commence à être reconnue comme pathologie environnementale dans certains pays. Il s’agit selon moi d’une grave pollution permanente qui s’ajoute aux autres et qui doit être prise en compte, surtout quand on parle de population jeune.
Très juste
Cela fait peur
La confiance dans la médecine n’est plus la .toujours une affaire d’argent plus important que l’humanité
Dans les années 80 , le contrôle frottis se faisait tous les ans, depuis quelques années ce n’est plus que les trois ans, alors que le vaccin n’était pas obligatoire, n’y a-t-il pas un problème aussi là ?
Merci Rodolphe pour votre clairvoyance, et pour appuyer par des études ce que je dis au tour de moi depuis des années. On se moque encore de moi et on me prend pour une allumée quand je dis aux gens que je préfère ne pas exposer mes enfants au soleil entre 11h et 15h l’été plutôt que les badigeonner de crème solaire. L’ombre est naturelle et n’a jamais fait de mal à personne. Le soleil a toujours été présent, et quand il nous fait du mal, nous savons l’éviter tout naturellement grâce à notre belle nature. The commun sense has been lost ;-)
Merci pour cette lettre!
Constat partagé.
Une autre source qui n’est jamais citée, pourtant très très importante de pollution hormonale: l’habillement. Le polyester, l’acrylique et le nylon (dérivés de pétrochimie, des plastiques donc) sont légion dans tout le prêt-à-porter, toutes marques confondues et à toutes échelles de prix. Des fibres synthétiques en hausse avec leur recyclage estampillé vert et vertueux (les micros fibres invisibles s’immiscent jusque dans les cellules). C’est un désastre pour la santé.
Par ailleurs, concernant le lien éventuel entre maternité tardive et survenue de cancer, auriez-vous des sources (fr/ang) à conseiller s’il vous plaît ? Car j’ai aussi entendu et lu l’inverse. Cela ne serait-il pas dû à l’utilisation de contraception pendant longtemps (liée donc à une maternité tardive) qui serait davantage la cause ? Car beaucoup de témoignages de maternités tardives (quand la contraception n’existait pas) montrent l’inverse (longévité).
Merci
Bonjour
Cela fait longtemps maintenant (je crois que mes années s’accumulent….)que je prône une véritable éducation à SA santé à l’école à la maison où dans le cadre de réseau d’unformation.Ceka demanderait peu de moyen et permettrait à chacun de prendre notions de véritables actions de prévention sans attendre les conseils pas toujours éclairés des instances de santé qui fonctionnent plus à coup de budget que d’intérêt collectif.Soyons conscient que la santé mérite notre attention et ce chaque jour.votre hygiène de vie,un peu de bienveillance envers soi. »Soigne toi bien « comme le dit ce conseil si souvent usité.Si l’on fait attention à la terminologie n’attendons pas de quiconque ce que l’on fera peut-être mieux soi même.
Bien à vous
Les autorités de Santé émettent des prophéties auto-réalisatrices. En gros, le message est : Trois types de cancers augmentent, donc faites-vous vacciner ou dépister. Ils continuent d’augmenter. Conclusion : vous voyez bien qu’on a raison de vous demander de vous vacciner ou dépister. C’est un peu comme l’UE. Ca ne marche pas, mais c’est parce qu’il n’y a pas assez d’UE. On a connu cela aussi avec le Communisme…
Bonjour Rodolphe, complètement d’accord avec cet exposé. Malheureusement lorsqu’on évoque ces commentaires on est des complotistes ! On vaccine les bébés abusivement dès la naissance et les services de pédiatrie débordent d’enfants malades ! C’est du mème ordre d’idée, La soi-disant prévention est une catastrophe pour la santé !
Et un gros pactol pour les labos !
EXACT. Perso, plus de pillule depuis 30 ans, plus de mamos depuis plus de 10 ans, plus injectés depuis l’âge de 9 ans, j’écoute ma petite voix J ai la chance de n’avoir jamais eu de cancers ni de maladie grave.J ai 70 ans et je me porte bien. Evidemment nous ne sommes pas tous égaux devant la santé, mais une bonne hygiène de vie, peu d’alcool et peu de tabac que je ne consomme plus depuis bien longtemps aide j’en suis sûre à conserver une bonne santé. C est un plus!