Chers amis,
Le sort des réfugiés ukrainiens crée chez nous une vague de compassion et de générosité inédite. C’est une belle et admirable chose.
Je regrette que d’autres personnes « expulsées », bien plus près de nous, ne bénéficient pas du même élan de compassion et de générosité.
Ce sont des Français. Ils sont des milliers. Ils ont perdu leur emploi et leur statut social.
Ils ont des loyers à payer, des enfants à nourrir. Une majorité sera à la rue ces prochains mois.
Je vous parle des soignants suspendus.
Des héros devenus parias
Ces soignants sont ceux que vous avez applaudi à vos fenêtres, il y a deux ans.
Une partie d’entre eux, même si aucun média ou presque n’en parle, ont refusé l’obligation vaccinale que l’État voulait leur imposer.
Et… ils se sont fait licencier. Pardon, suspendre. « Vous pourrez revenir quand vous serez vacciné ».
Il y a quelques mois, on estimait ces soignants « désactivés » – des infirmiers, des médecins comme le Dr Louis Fouché, des auxiliaires de vie – à 15 000 environ[1].
Ils sont probablement plus nombreux, car il y a tous ceux qui ont trouvé le moyen de se « mettre en congé maladie », mesure de désespoir face au risque de perdre son emploi.
Outre la marque d’une ingratitude effarante envers ces soignants qui, comme leurs collègues, ont fait un travail exemplaire pendant les vagues Covid, cette mesure de suspension est absurde.
Lisez bien ceci : un soignant non-vacciné mais testé négatif, donc qui n’a PAS le Covid, n’a pas le droit de venir travailler… tandis qu’un soignant vacciné mais éventuellement positif au Covid, lui, le peut.
C’est désespérant.
Le gouvernement a cependant réussi à aller encore plus loin dans l’injustice.
Acharnement
Vous le savez peut-être, l’Angleterre, comme des dizaines d’autres pays, a renoncé à l’obligation vaccinale pour les patients et n’a jamais suspendu ses soignants.
La France, elle, n’a pas renoncé.
Nous nous retrouvons dans une situation extravagante : aujourd’hui fin mars 2022 le pass vaccinal n’a plus cours, mais les soignants non-vaccinés sont toujours suspendus.
De l’acharnement ou du sadisme ? Les deux peut-être.
Chaque jour sur les réseaux sociaux (mais presque jamais dans les journaux), je lis des appels à l’aide bouleversants de ces soignants qui n’ont plus le droit de travailler, ne touchent pas de chômage, n’ont plus le droit d’exercer.
Ils avaient un métier. C’était pour eux plus qu’un travail, un engagement.
Nous avons besoin de ces soignants.
Et pourtant nous ne faisons rien, ou si peu, pour les aider.
Peut-être l’un de ces soignants devrait-il brandir une pancarte en plein journal télévisé pour que le président de la République s’y intéresse, voire lui accorde l’asile politique, comme il l’a fait récemment pour une journaliste russe ?
Je deviens sarcastique. Mais ça me soulève le cœur. Il y a un « deux poids deux mesures » honteux dans le traitement, par les médias et la politique, de ces pauvres gens qui expirent à petit feu sous nos fenêtres.
Récemment, heureusement, certains développements m’ont redonné espoir.
L’injustice reconnue par la justice
En réalité, la suspension des soignants non-vaccinés contrevient à la loi. Et de courageux avocats se sont emparés de ce combat.
Il y a des premières victoires.
Voici le post publié ce jeudi sur le réseau professionnel Linkedin :
Cette décision ordonne à un hôpital qui avait suspendu deux infirmières non vaccinées :
- De mettre un terme immédiat à cette suspension ;
- De verser à l’infirmière victime la rémunération dont elle a été privée depuis 6 mois ;
- De lui verser 1000 euros de dommages et intérêts.
Vous pouvez consulter ce post et les 6 pages complètes du jugement du tribunal administratif de Melun dans le lien en source[2].
Je remercie Maître Tarek Koraitem de m’avoir autorisé à reproduire son post dans cette lettre.
Cette décision ne concerne que deux soignants. Mais je l’espère, elle va faire jurisprudence. Des milliers d’hommes et femmes sont en attente d’une justice identique.
Nous devons mener ce combat de la liberté
Ce qui est en jeu ici, c’est la défense de notre liberté et de notre autonomie.
Des mesures comme la suspension des soignants reposent sur la création et l’entretien d’un climat anxiogène, suivi de décisions dramatiques et injustes.
Nous devons résister, sans violence mais avec fermeté, à ces intimidations, à ces chantages, à ces menaces.
Nous devons proclamer haut et fort notre droit le plus fondamental : la liberté de choisir pour notre santé.
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
[1] Knaebel R (17.01.2022). Après avoir suspendu les soignants non vaccinés, « on force les collègues positifs à venir travailler ». Basta. https://basta.media/Soignants-non-vaccines-suspendus-manque-de-personnel-suppression-de-lits-hopital-public#:~:text=En%20octobre%2C%20le%20ministre%20de,leurs%20postes%20%C3%A0%20l’h%C3%B4pital.
[2] https://www.linkedin.com/posts/tarek-koraitem-205388108_lev%C3%A9e-de-la-suspension-dune-infirmi%C3%A8re-non-activity-6910180817365311488-XhJH/?utm_source=linkedin_share&utm_medium=ios_app
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Bonjour
Je n’arrive pas à visionner la vidéo dont il est question dans la lettre Alternatif Bien-être à laquelle je suis abonnée. Merci;
Merci Rodolphe,
..le lien pour la vidéo ne fonctionne pas ..!!!
Je profite pour vous remercier pour votre générosité et sincérité des partages ..; c’est bon de faire confiance à quelqu’un dans cette période si sombre ..
Bien à vous
Merci Rodolphe, 100% avec vous, avec les soignants exclus, avec ce constat impuissant de nos médiats corrompus ou au mieux incompétents, avec ce constat d’absurdie devenue la règle…. Je suis révolté et déprimé.
Bien à vous
Bonjour, (il faut supprimer la publication précédente qui contient des fautes)
Merci pour vos articles. Je suis vietnamienne d’origine. Ma mère serait ravie de vous lire et de s’abonner à vos revues. Elle m’a transmise beaucoup de ces recettes simples pour me soutenir au quotidien. Gingembre, curcuma, feuilles de gingembre, citron, sel, plantes, etc …
Ces recettes sont naturellement introduites dans notre cuisine, comme un réflexe.
Pour les occidentaux, c’est très difficile d’intégrer cette philosophie. Car cela suppose un changement quotidien qui leur parait phénoménal.
Par exemple, ma mère avait une « obsession » : la cure post natale, qui aide toutes les femmes ayant accouché à être en forme toute leur dure vie de femme en Orient. Car à chaque enfant, elles deviennent plus fortes, plus « jeunes », et ne connaissent pas la ménopause. La contraception n’existait pas à l’époque. les hommes égoïstes faisaient des enfants à tout va (c’est encore le cas aujourd’hui). Leur seul remède était cette cure. C’était les seules vacances qu’elles s’accordaient pendant leur existence.
Ma mère avait écrit un livret, préfacé par une gynécologue, à qui elle avait prodigué des soins post-nataux après la venue au monde de sa première fille, en même temps que mon fils Kim Dao(30 ans aujourd’hui). Cette docteure était très convaincue de cette méthode et avait fait sienne pour conseiller toutes ses patientes.
La méthode consiste à se reposer à 100%, et à laisser son corps et son esprit au repos pendant trois mois pour le premier enfant et au moins deux mois pour les suivants. Régime alimentaire, précautions diverses, massage, se tenir loin des soucis quotidiens, … La cure nécessite la collaboration totale du mari, qui doit accepter de laisser la belle mère prendre « possession » de sa femme et du bébé pendant une longue période. Mais il sera le premier à bénéficier de ce « sacrifice » : son épouse épanouie, en pleine forme, qui ne l’embêtera jamais avec ses crises de dépression, de ménopause, d’arthrose, … C’est tout bénef comme on dit aujourd’hui.
Je pourrais vous envoyer un précieux exemplaire de ma collection qui se réduit comme peau de chagrin, tellement mes amies me l’ont demandé pour leurs filles et petites filles.
Évidemment ma sœur cadette et moi avions bénéficié de cette cure grâce à notre mère qui insistait tant. Mais la vie moderne nous avait empêchées de la suivre correctement : impossible de se détacher des soucis quotidiens. Les maris européens n’étaient pas préparés à cela, et se voyaient privés de leur petite famille. Ils qualifiaient d’ingérence cette méthode « préhistorique ».
Par contre concernant la préservation de la ligne, et surtout la prévention de la ménopause, c’est une vraie réussite : Ma sœur et moi ainsi que la gynéco conservons aujourd’hui notre silhouette de jeune fille sans effort physique ni aucun régime spécifique. Notre ménopause est passée sans prévenir. Nous n’avons rien senti. À part l’absence de nos règles progressivement (à ma grande joie : je détestais ces périodes où il fallait observer presque les mêmes précautions). La gynéco et moi avons 62 ans. Ma sœur 54 ans. Et les jeunes femmes qui ont eu la chance de suivre cette cure ont témoigné la même chose.
Nous traversons également la Covid sans vaccin, sans symptômes. J’ai soigné une jeune fille qui l’avait eue. Pendant 10 jours, on confinait ensemble. je crois avoir un système immunitaire assez costaud. Je n’attrape quasiment jamais la grippe. Ou alors avec très peu d’effet. C’est peut-être simplement une chance. Ma sœur qui vit aux EU me dit la même chose.
Revenons à vos articles : pour convaincre, il faudrait plus de « fun ». Des choses faciles à faire et attractives, rigolotes. Des anecdotes. J’en ai sur la cure par exemple.
Si cela vous dit, je vous raconterai dans une autre lettre.
Cordialement.
20/03/2022 Bonjour , Vos propos m’intéressent mais ne sont pas suffisants .
Je m’explique : Nous savons tous , que nous sommes en période d’élection et je vous demande à TOUS faire le bon choix pour reprendre notre liberté et NOTRE VRAIE LIBERTé , pas celle qui est seulement apparente , comme tous les médias nous le font croire …. ainsi que tout ceux qui veulent nous le faire croire et ainsi ceux qui veulent bien accepter d’y croire .
Arrêtons cette hypocrisie , nous avons TOUS APPLAUDIS TOUT CES SOIGNANTS qui nous ont aidés à survivre de cette Pandémie ( je pèse bien mes mots ) et parce que nous avons des » SACHANTS » qui ne connaissent rien et qui nous imposent » leurs souhaits » .
Ils ont le POUVOIR , qu’on leur a céder en ayant confiance , l’ ARGENT qu’ils nous prennent de manière ostentatoire sans pouvoir rien dire et nous avons , maintenant , l’obligation de nous soumettre à leur politique politicienne qui ne correspond pas à notre monde et ils voudraient que nous acceptions
LEUR MONDE . Et bien NON !!!!
Comment peux t on exclure des SOIGNANTS ? Quelle ignominie ? quelle Indécence ?
J’ai toujours été CONTRE L’INJUSTICE et je le serais toujours !!
MERCI INFINIMENT POUR TOUT ce /ceux que vous défendez et tout ce que vous expliquez!
je suis moi-même une »ancienne » du secteur para-médical et médico-social….ET SUIS sidéréé par tout ce qui a été fait au cours de ces deux années!
73 ans….NON VAC…. ET prête à refaire une pétion pour la reprise des soignants dans leurs services!!!!
Bonjour,
Tout à fait d’accord avec votre analyse (NB : le lien vidéo ne fonctionne pas).
Quid de la vaccination de ces milliers de réfugiés ? Prise en charge ?…
Bonne journée.
Je lis avec intérêt vos articles ; tout à fait sur la même ligne d’opinion ; contente pour ces personnels que la raison gagné du terrain.. ; attentive à la suite, même si je ne suis pas impactée, mais solidaire – merci de vos infos et conseils !
De toutes les erreurs gouvernementales dans la gestion de cette crise sanitaire, celle-ci est la plus « ignoble ». On envoie les soignants au front sans protection au début (les masques ne servent soi-disant à rien). On les mets à pied ensuite pour les obliger à se vacciner, alors que : – des tests journaliers pouvaient très bien faire l’affaire,
– les effets secondaires de ces « non-vaccins » sont soigneusement édulcorés,
– les soignants sont a priori bien avertis de la situation … donc capables de se faire une opinion,
– que chacun est libre de son corps, parait-il …
C’est une faute managériale majeure (faute grave) qui mériterait des sanctions exemplaires des dirigeants. Si les équipes de sportifs (exemple : rugby) ou de boîtes privées étaient dirigées comme ça, les manageurs seraient vite débarqués.
Ce type de manageurs est la honte de « nos élites » et déploient des méthodes de fascistes (du style, si tu e conduis pas ce tain à Aushwitz, tu montes comme passager dans ce train …).
Ces dirigeants sont lamentables, forts avec les faibles et faibles avec les forts. Ils sont persuadés d’avoir raison et n’écoute plus rien.
J’ai honte pour eux et le ré écris : c’est leur faute morale la plus grave dans le traitement de cette pandémie (avec la vaccination obligatoire des jeunes et des enfants …).
Bonjour,
Merci pour vos articles. Je suis vietnamienne d’origine. Ma mère serait ravie de vous lire et de s’abonner à vos revues. Elle m’a transmise beaucoup de ces recettes simples pour me soutenir au quotidien. Gingembre, curcuma, feuilles de gingembre, citron, sel, plantes, etc …
Ces recettes sont naturellement introduite dans notre cuisine, comme une réflexion.
Pour les occidentaux, c’est très difficile d’intégrer cette philosophie. Car cela suppose un changement qui leur parait phénoménal du quotidien.
Pour un exemple simple, ma mère avait une « obsession » : la cure post natale, qui aide toutes les femmes ayant accouché à être en forme toute leur dure vie de femme en Orient. Car à chaque enfant, elles deviennent plus fortes, plus « jeunes », et ne connaissent pas la ménopause. La contraception n’existait pas à l’époque. les hommes égoïstes font des enfants à tout va. Leur seul remède était cette cure. C’était les seules vacances qu’elles s’accordaient pendant leur existence.
Ma mère a écrite un livret, préfacé par une gynécologue, à qui elle avait prodigué des soins post-nataux après la venue au monde de sa première fille, en même temps que mon fils Kim Dao. Cette docteure était très convaincue de cette méthode et avait fait sienne pour conseiller toutes ses patientes.
La méthode consiste à se reposer à 100%, et laisser son corps et son esprit au repos pendant trois mois pour le premier enfant et au moins deux mois pour les suivants. Régime alimentaire, précautions diverses, massage, se tenir loin des soucis quotidiens, … La cure nécessite la collaboration totale du mari, qui doit accepter de laisser la belle mère prendre « possession » de sa femme et du bébé pendant une longue période. Mais il sera le premier à bénéficier de ce « sacrifice » : son épouse épanouie, en pleine forme, qui ne l’embêtera jamais avec ses crises de dépression, de ménopause, d’arthrose, … C’est tout bénef comme on dit aujourd’hui.
Je pourrais vous envoyer un précieux exemplaire dans ma collection qui se réduit comme peau de chagrin, tellement mes amies me l’ont demandé pour leurs filles et petites filles.
Évidemment ma sœur cadette et moi avions bénéficié de cette cure grâce à notre mère qui insistait tant. Mais la vie moderne nous avait empêchées de la suivre correctement : impossible de se détacher des soucis quotidiens. Les maris français n’étaient pas préparés à cela, et se voyaient privés de leur petite famille. Ils qualifiaient d’ingérence cette méthode « préhistorique ».
Par contre concernant la préservation de la ligne, et surtout la prévention de la ménopause, c’est une vraie réussite : Ma sœur et moi ainsi que la gynéco conservons aujourd’hui notre silhouette de jeune fille sans effort physique ni aucun régime spécifique. Notre ménopause est passée sans prévenir. Nous n’avons rien senti. À part l’absence de nos règles progressivement (à ma grande joie : je détestais ces périodes où il fallait observer presque les mêmes précautions). La gynéco et moi avons 62 ans. Ma sœur 54 ans. Et les jeunes femmes qui ont eu la chance de suivre cette cure ont témoigné la même chose.
Revenons à vos articles : pour convaincre, il faudrait plus de « fun ». Des choses faciles à faire et attractives, rigolotes. Des anecdotes. J’en ai sur la cure par exemple.
Si cela vous dit, je vous raconterai dans une autre lettre.
Cordialement.
Bonjour, je n’ai pas accès à votre vidéo, le lien n’est pas activé. J’en suis impatiente pourtant !!!
Merci
Bonjour
C’est aussi ce que l’on nous rapporté. Une infirmière suspendue a elle même contacté sa direction pour qu’on lui montre le texte de loi par lequel elle ne pouvait pas travailler ailleurs. Il n’y en a pas. Comment font les professions « libérales « de santé ?
bonjour rodolphe
l’accès à votre vidéo est impossible
pouvez-vous rééditer cette vidéo ?
merci d’avance
Merci merci pour votre article. C’est exactement ce que je me suis dis. Je ne comprenais rien. Et là j’ai mesuré la manipulation dans laquelle nous sommes. Que la Paix soit notre moteur. Bien cordialement
Je n’arrive pas à ouvrir cette vidéo….?