Chers amis,
Nous savons que le gouvernement avait « programmé », dans la foulée des législatives, une nouvelle mouture de sa loi sur l’état d’urgence sanitaire (arrivant à péremption le 31 juillet prochain).
Intitulé « Projet de loi maintenant provisoirement un dispositif de veille et de sécurité sanitaire en matière de lutte contre la Covid-19 », le texte a fuité il y a quelques jours sur internet[1] et son authenticité a été confirmée par le ministère de la santé.
Ce que n’avait visiblement pas prévu le gouvernement, c’est la perte de sa majorité absolue à l’Assemblée Nationale, rendant plus douteuse l’adoption de ce texte.
Mais, ce dont je veux vous parler aujourd’hui, c’est ce qui transpire de cet étonnant réflexe du gouvernement dont le premier projet de loi post-électoral portait sur des mesures sanitaires coercitives… et ce qui transpire des « décideurs » tous azimuts.
Delfraissy, Estrosi, Bourguignon : tous y vont de leur petit refrain covidiste
Ainsi, observez bien : depuis dix jours nous assistons à une véritable campagne de relance des totems politiques de la lutte contre le Covid.
Chacun tient bien son rôle pour défendre cette trinité médico-sociale :
- Les injections ;
- Les masques ;
- Le pass vaccinal.
Les injections, c’est Delfraissy qui, il y a dix jours, prônait sur Europe 1 « une quatrième dose dès maintenant pour les plus fragiles[2] », mais aussi Alain Fischer, Patrick Pelloux et les autres médecins clones répétant à l’envi le même discours avec une coordination exemplaire :
Les masques, c’est la future ex-ministre de la Santé Brigitte Bourguignon qui profite de son sursis au gouvernement pour opérer, décomplexée, une propagande basée sur la peur du rebond épidémique[3] :
Et le pass, c’est le maire de Nice, qui lors d’un conseil de métropole hier, a déclaré tranquillement qu’il disposait d’informations selon lesquelles le pass rentrerait à nouveau en vigueur le 1er août :
La recette autoritaire, mais « allégée »
On retrouve donc les mêmes ingrédients qu’il y a six mois, mais « allégés » :
- La 4ème dose est « fortement recommandée » mais pas obligatoire ;
- On demande aux Français de « remettre le masque » mais sans les y contraindre ;
- On évoque un retour du pass vaccinal à brève échéance… pour ensuite déclarer que celui-ci n’est pas à l’ordre du jour.
Les propos d’Estrosi ont en effet immédiatement été « replacés dans leur contexte » et corrigés : Le Parisien a même titré, rassurant : « Covid-19 : non, le gouvernement n’envisage pas à ce jour le retour du passe vaccinal dès le 1er août[4] ».
Néanmoins je pense que cette fuite n’a rien d’hasardeux. C’est une stratégie politique bien connue de préparer le public au pire, pour ensuite lui faire accepter une version allégée des mesures d’abord annoncées… qu’il n’aurait pas approuvée dès le départ.
La méthode est enfantine :
1 – Christian Estrosi lance une « bombe » : le retour du pass vaccinal dans quelques semaines ;
2 – dénégations unanimes : « non, non, ne vous inquiétez pas, le pass vaccinal ne va pas revenir comme il y a 6 mois ! »
3 – retour du pass vaccinal, mais « seulement » aux frontières, et possiblement dans les transports, comme c’est effectivement envisagé par le gouvernement !
Tout ça, c’est de la politique, de la rhétorique et de la manipulation de masse.
Venons-en maintenant au plus important : pourquoi ?
Le « rebond épidémique » est un prétexte
Car, du point de vue scientifique, rien ne justifie ce train de mesures : on nous bassine avec le « rebond épidémique », mais :
- Nous savons à présent que les tests antigéniques produisent une proportion alarmante de faux-positifs (jusqu’à 63% ![5]) ;
- Les variants BA4 et BA5, malgré leur très forte contagiosité, n’exercent pas de pression supplémentaire sur les hôpitaux.
Pire encore, l’incitation décomplexée à une énième dose est un pas supplémentaire vers la généralisation d’un acte médical déconnecté de tout fondement scientifique puisque ces doses supplémentaires :
- Affaiblissent l’immunité générale des plus de 65 ans ;
- Engendrent des effets secondaires attestés supérieurs à la réduction du risque d’hospitalisation pour cause de Covid[6].
Je reviendrai bientôt sur ces derniers éléments ; mais pour l’heure mon propos est celui-ci : la situation sanitaire ne justifie pas le retour de ces mesures – au contraire le bon sens devrait commander de définitivement les abandonner.
Alors qu’est-ce qui la justifie ?
Réponse : la nostalgie, camarade !
L’addiction au pouvoir
Lorsque le mur de Berlin est tombé, lorsque l’URSS s’est effondrée, les peuples ont sauté de joie.
Pourtant, assez vite, il s’en est trouvé pour éprouver de la nostalgie pour cet ordre autoritaire passé.
L’un de ces plus fameux « nostalgiques » n’est autre que Vladimir Poutine, qui n’a eu de cesse depuis son accession à la tête de la Russie de restaurer un mode de gouvernance autoritaire.
Il est difficile de renoncer à l’exercice d’un pouvoir exceptionnel quand on y a goûté.
Et, ne nous le cachons pas, une partie non négligeable de la population apprécie de vivre dans un tel climat politique autoritaire, soit parce qu’elle y a un intérêt personnel direct (d’argent, de pouvoir), soit par une sorte de masochisme (le goût d’être commandé, d’obéir aveuglément) qu’il ne m’appartient pas de discuter ici.
Et, quand un tel système autoritaire est installé, la majorité courbe le dos par facilité, ou par lassitude.
Mais, quand ce système est brisé ou s’adoucit, et que nous revenons à plus de liberté, assez vite des nostalgiques de l’ancien ordre autoritaire surgissent.
Je pense que c’est à ce phénomène que nous assistons.
Les premiers de ces nostalgiques, ce sont évidemment ceux qui ont eu un pouvoir hors-norme.
Le président, ses ministres et toute la panoplie des « experts » peuplant les conseils de défense sanitaire et les plateaux télé durant toute la crise du Covid, n’ont pas seulement bénéficié d’une « mise sous les projecteurs » inhabituelle.
Ils ont été importants (ou du moins se sont sentis comme tels).
La population entière était suspendue à leurs lèvres durant cet état d’urgence.
Soit pour entendre leur expertise (pour les médecins), soit pour connaître leurs ordres (pour les politiques).
Or, voilà que du jour au lendemain (rappelez-vous le « déplacement de la peur » opéré par l’invasion de l’Ukraine), ils ne sont plus si indispensables.
Encore un peu de cette ivresse du pouvoir
L’apocalypse annoncée du Covid ne s’est pas produite.
Pire encore, les mesures autoritaires mises en place pour éviter cette apocalypse ont occasionné des dégâts collatéraux pires que le virus : un taux historique de dépressions et de tentatives de suicide chez les plus jeunes, une recrudescence hallucinante de cancers et de maladies auto-immunes, sans parler de la polarisation de la société.
Mais cela n’apparaît pas aux yeux de nos experts convaincus que l’injection devrait être massive et obligatoire, ni de nos politiques qui s’accrochent au pouvoir inhabituel qu’ils ont.
L’attitude de la ministre Brigitte Bourguignon qui profite de son sursis à la tête du ministère de la santé est à ce titre, et sans jeu de mot, symptomatique : défaite aux législatives, elle profite de cet entre-deux pour se mettre en scène recevant sa quatrième dose, pour faire peur aux Français et leur demander de vite remettre leur masque.
Monsieur Estrosi, dont le goût pour l’autoritarisme et le contrôle n’est plus à prouver – je rappelle que c’est sa ville, Nice, qui sert de laboratoire à la reconnaissance faciale généralisée – a dû éprouver un délicieux frisson en annonçant en avant-première le retour du pass vaccinal.
Monsieur Delfraissy, qui a été à la tête du Conseil scientifique depuis deux ans, peut espérer encore goûter de ce rôle d’éminence grise au sommet de l’état puisqu’il est question… de rendre ce Conseil plus « pérenne »[7].
Bref, ce « revival » des mesures qui ont « fait » la crise du Covid en disent moins sur l’état sanitaire du pays… que sur l’état psychologique de ceux qui ont géré cette crise.
A présent, c’est à nous de décider si nous voulons flatter leur nostalgie et approuver ce prolongement d’un autoritarisme délétère, ou les laisser à leur illusion d’être indispensables.
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
[1] Vernière R (23.06.2022). Exclusif : le gouvernement projette la prolongation du pass vaccinal… mais avec quelle majorité ? Atlantico. https://atlantico.fr/article/decryptage/exclusif-le-gouvernement-projette-la-prolongation-du-pass-vaccinal-mais-avec-quelle-majorite-sante-covid-19-pandemie-brigitte-bourguignon-emmanuel-macron-vaccination-francais-projet-de-loi-roger-verniere
[2] Nadal T (18.06.2022). Covid-19 : Delfraissy prône « une quatrième dose dès maintenant pour les plus fragiles ». Europe 1. https://www.europe1.fr/societe/covid-19-delfraissy-prone-une-quatrieme-dose-des-maintenant-pour-les-plus-fragiles-4118213
[3] Perruche C (27.06.2022). Covid : Brigitte Bourguignon « demande aux Français de remettre le masque dans les transports ». Les Echos. https://www.lesechos.fr/economie-france/social/covid-brigitte-bourguignon-demande-aux-francais-de-remettre-le-masque-dans-les-transports-1443804
[4] Berrod N (27.06.2022). Covid-19 : non, le gouvernement n’envisage pas à ce jour le retour du passe vaccinal dès le 1er août. Le Parisien. https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-non-le-gouvernement-nenvisage-pas-pour-linstant-le-retour-du-passe-vaccinal-des-le-1er-aout-27-06-2022-HQZHCJPZ5BHQDJEKXBUBG5VNVQ.php?s=09#xtor=AD-1481423553
[5] Ouest France. (18.12.2020). Tests antigéniques. Les laboratoires Biogroup mettent en doute la fiabilité des résultats. https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/tests-antigeniques-les-laboratoires-biogroup-mettent-en-doute-la-fiabilite-des-resultats-7092118
[6] Fraiman J, Erviti J, Jones M, et al. (2022). Serious Adverse Events of Special Interest Following mRNA Vaccination in Randomized Trials. Available at SSRN: https://ssrn.com/abstract=4125239
[7] Michelon V (25.06.2022). Covid-19 : le Conseil scientifique sera remplacé par « une structure plus pérenne ». TF1 info. https://www.tf1info.fr/politique/covid-19-le-conseil-scientifique-sera-remplace-par-une-structure-plus-perenne-2224353.html
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Un gouvernement d enfermistes comme d habitude
Je crois qu’il y a une autre raison que la simple nostalgie : la Commission européenne a commandé 4 milliards de doses. Il faut maintenant les écouler …
J’apprécie vos articles apportant un éclairage intéressant sur la santé naturelle et les bonnes habitudes de vie.
Néanmoins, un certain nombre d’entre eux dont celui-ci sont, à mes yeux, affligeants.
Bien sûr, le COVID n’a pas en général des effets dramatiques, mais ce n’est pas une maladie banale. Pour ce qui me concerne, j’ai eu le COVID fin mars, 38’5 de fièvre pendant une journée, cela ne m’a pas empêché de télétravailler. Mais ensuite, un mois de grosse fatigue. Je m’en serais bien passé. Et on ne connait pas les effets à long terme de la maladie, sur le coeur et l’état cognitif en particulier.
Le COVID tue encore une centaine de personnes par jour en France (c’était monté au moment des fortes restrictions à plus de 300), soit environ 40 000 morts par an, plus de 10 fois plus que les accidents de la route. Beaucoup de personnes considèrent les restrictions routières (limitations de vitesse, chicanes en villes …) comme une sécurité et non des contraintes. Je ne vais pas dire que j’apprécie ces restrictions, mais si on sauve des vies, il faut le faire.
Alors qoi dire sur le COVID ? Faut-il banaliser les morts comme on le fait depuis quelques mois ? Comme par hasard, les restrictions ont disparu … au moment de la campagne électorale, et non en raison d’une baisse réelle du taux d’incidence. On a quitté le masque par peur de l’extrême droite et de l’extrême gauche, par peur des « anti-tout » qui s’étaient illustrés avant le COVID par des manques flagrands de civisme sous la bannière des gilets jaunes.
Vous prenez la défense de ces « anti-tout » avec des arguments aux limites, comme une source sur la mavaise validité des tests antigéniques datant de fin 2020, à un moment où ce type de test était encore à la limite de l’expérimental.
Oui, les masques et les vaccins ne sont pas la pannacée. Oui, les vaccins présentent des effets secondaires … qui sont juste moins élevés que les effets de la maladie !
Et oui, il faut agir tous azimuth, y compris avec des solutions naturelles comme la vitamine D et le zinc ; et il est effectivement dommage que les autorités n’insistent pas sur ces moyens utiles, vous avez raison de le dire.
Mais s’il vous plaît, ne cédez pas aux sirènes des « anti-masques » et « antivax » qui sont pour la plupart sous perfusion des idées d’extrême-droite. Un certains nombre de vos lecteurs en font de toute évidence partie, il suffit de voir leur complaisance pour quelqu’un qui plusieurs dizaines de milliers de morts à son actif, tant du côté Russe qu’Ukrainien.
Bonjour Loïc. Un ballon d’oxygène courageux dans ce cloaque de commentaires. Merci beaucoup.
Monsieur,
Vos analyses sur la fausse «guerre» menée contre le COVID sont toujours pertinentes et indispensables. Merci. Cependant, votre dernier message mettant sur le compte de la nostalgie les annonces de nouvelles mesures coercitives, me paraît minimiser la gravité de la menace.
En effet, la Commission bruxelloise vient d’acheter 2 milliards de doses de vaccin. Il faudra bien les administrer de gré ou de force. Les députés européens viennent de voter la prolongation d’un du pass sanitaire.
Les pays européens s’acheminent vers des temps très durs (inflation, pénuries, troubles sociaux…). Leurs dirigeants ont tout intérêt à réutiliser une recette qui leur a permis de contrôler leurs populations pour la meilleure rauison du monde, la sécurité sanitaire.
J’ai évité 3 doses, je vais éviter la quatrième et même si cela em….. notre président, j’ai profité de ces quelques mois de répit pour me construire ma piscine en kit, je serai donc totalement autonome pour faire du sport (nage, vélo, course a pied) et tant pis pour mon rôle d’animateur Handfit bénévole si ces mesures coercitives imbéciles reviennent a l’automne !…
Vive le vie et vive la promotion de l’hygiène de vie !…
Alain
Nous allons continuer à nous battre, dans la rue, contre l’obligation vaccinale détournée !!! Nous sommes maîtres de notre corps heureusement !!!
Pitié que ça ne recommence pas qui va pouvoir arrêter cette dictature sanitaire
D’accord avec vous pour les « mesures » anti-covid, mais pourquoi vous en prendre à Poutine ? Vous n’êtes pas géopoliticien ! En France, la propagande d’état du covid est la même que la propagande russophobe : ne le voyez-vous pas? En Russie, sous Eltsine, le capitalisme sauvage a ruiné le pays : salaires des fonctionnaires et retraites impayées, plus de services publics, espérance de vie réduite, alcoolisme et gangs dans les rues. Poutine a remis de l’ordre, renationalisé, augmenté les salaires, restauré les services publics, réindustrialisé, développé l’agriculture et pris des mesures écologiques (interdiction du glyphosate, des OGM). Et contrairement à ce qu’on pense, il y a plus de pluralisme des medias en Russie que chez nous (il n’y a qu’à voir l’hystérie covidienne du Monde, Libé, Figaro, Ouest France, France TV, BFM, etc)…
les tests pcr dont les cycles sont augmentés ainsi les positifs ne sont pas malades du covid !
L’U.E. a commandée 2 milliard de doses et a accepté de prolonger d’un an le pass sanitaire!
17’000 médecins et scientifiques demandent la fin de l’état d’urgence
Lors du sommet mondial sur le covid en mai dernier,
Ils accusent l’industrie pharmaceutique, les gouvernements, les agences de santé et les médias d’avoir causé la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes.
Vous le voyez, les doutes ne viennent plus d’une poignée de médecins isolés.
Ils sont désormais partagés par des milliers de médecins des cinq continents et relayés dans les revues les plus respectées dans le monde scientifique.
Même les grands médias retournent leur veste
Même les grands médias commencent à se réveiller.
Récemment TF1 a reconnu l’existence possible d’un déficit immunologique chez certaines personnes vaccinées.
Cela expliquerait, selon eux, pourquoi certains seraient victimes de formes graves du covid peu de temps après avoir été vaccinés.
Il y a quelques mois, de tels propos n’auraient pas été possibles dans les grands journaux ou à la télévision.
Nos dirigeants reconnaissent les dégâts… mais veulent toujours nous vacciner
Les dirigeants européens reconnaissent d’ailleurs à demi-mot les limites de cette campagne de vaccination.
Le 3 juin, le ministre allemand de la santé admettait ouvertement que la vaccination anticovid avait déréglé notre système immunitaire et rendu plus sensibles aux nouveaux variants du covid et autres affections virales.
3 revues scientifiques prestigieuses alertent sur les dangers des vaccins
En pleine pandémie, les « fact-checkers » des grands médias ont pris un malin plaisir à décrédibiliser ceux qui remettaient en question la vaccination.
« Une minorité ! »
« Des coronasceptiques ! »
« De la pseudo-science ! »
Mais aujourd’hui, ils doivent se rendre à l’évidence :
Il y a bien un problème avec les vaccins… et ce n’est pas moi qui le dis.
Entre avril et juin, trois des plus prestigieuses revues scientifiques au monde ont alerté sur les effets négatifs des vaccins sur la santé cardiovasculaire.
Dans la revue Scientific Reports, l’une des plus importantes revues en libre accès de la planète, les chercheurs ont découvert que le nombre d’appels d’urgence pour des arrêts cardiaques ou des syndromes coronariens aigus, entre 2019 et 2021, était significativement associé aux injections (1ère et 2ème dose) . En revanche, ils n’ont apparemment pas trouvé de lien entre ces complications et l’infection au covid.
Une étude publiée en juin dans The Lancet, l’une des revues médicales les mieux classées, admet qu’un « risque accru de myocardite ou de péricardite a été observé après la vaccination par l’ARNm du COVID-19 et était le plus élevé chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après une deuxième dose du vaccin ».
Dans JAMA, la revue éditée par la très sérieuse association de médecine américaine, des scientifiques ont analysé 265 339 incidents cardiovasculaires survenus entre 2020 et 2021. Ils ont observé une augmentation significative du risque d’hospitalisation pour des thromboses, des problèmes de coagulation et des troubles vasculaires cérébraux après la vaccination à ARN messager.
Il recommande toujours aux gens de se faire vacciner.
Et c’est pareil en France…
Récemment sur RTL, la ministre de la santé française Brigitte Bourguignon a été très claire : « Il faut continuer à se protéger, se vacciner. »
Il faut donc s’attendre à de nouvelles vaccinations de masse dans les mois à venir.
Mais le vent est en train de tourner.
L’illusion du « vaccin sauveur » ne trompe plus personne… C’est le moment pour porter le coup de grâce.
Xavier, que gagnez-vous à ressasser sans esprit critique tous les poncifs de Bacquet et autres grands prêtres anti-vax d’internet ? Au lieu de les croire sur parole, allez donc lire les originaux et vous mesurerez l’étendue des distorsions atroces qu’ils se permettent avec la réalité publiée. Bien à vous.
Mr Bacquet, c’est précisément parce que j’apprécie vos articles que je me permets une petite réserve. Ni Poutinolâtre, ni Russophobe, je vous invite à plus de prudence quant à l’interprétation de ce qui pourrait bien motiver le Kremlin notamment à travers son (Special-Military-Operation) en Ukraine. Aussi assimiler le soutien à cette dernière à de la nostalgie relatif à l’Autoritarisme, est un raccourci malheureux. Mettant en lumière des lacunes quant à la compréhension du sujet politique, voir plutôt, géopolitique et surtout méta-politique.
Comme Arianne Bilhéran ne cesse de faire écho à sa manière sur le syndrôme de Stokholm qui touche la population mondiale (sous-hypnose – en état de sidération), Gustave LeBON (« psychologie des foules ») et avant lui Etienne de LaBOETIE (« Discours de la servitude volontaire ») démontrent assez bien, qu’en effet, l’esclavage, étant l’actuelle condition humaine, n’a rien de nouveau et ne s’obtient que par le consentement.
J’espère que vous ne trouvez aucune offense à ce que je nuance vos assertions tout en vous encourageant pour la suite de votre contribution au Grand-Oeuvre en tant que « parrêsiaste ».
Parrêsia: Celui qui, par Amour de la Vérité (Agape), s’efforce à ce qu’elle soit cherchée, su, comprise, dite et entendue. (Trivium: Grammaire-Logique-Rhétorique – ou – Connaissance-Compréhension-Sagesse – ou encore – Input-process-output), selon les ARTS-LIBERAUX.
Au nom de la Vie au péril même de sa vie.
Bien cordialement
param
Bonjour, je vais vous rassurer. Il y a un peu plus d’un mois, après un malaise, appel au SAMU qui est intervenu rapidement (surprise), hôpital, tests divers, une radio intrigue les soignants ; illico IRM résultat : une méchante tumeur !
Opéré au CHU de Montpellier par un médecin super.
Je continue donc avec rayons et chimio…
Question à poser à nos génies du gouvernement : dois-je quand même me faire injecter ce pseudo vaccin ?
Tout est dit ! BRAVO
Excellentes réflexions, que je partage pleinement, sur les psycho/sociopathes qui imposent leurs sordides fantasmes sans aucun scrupule. Au-delà de la nostalgie du pouvoir arbitraire, il y a également un agenda à respecter : le grand Reset.
L’état d’urgence est un moyen de cacher et de pallier l »effondrement de notre système hospitalier. Oui aux réformes mais non au retour des mesures coercitives, non à l’enfermement, non à la diffusion permanente d’une peur qui rompt le lien social et fragilisé les plus fragiles. Que le port du masque soit facultatif de même que le vaccin dont l’efficacité est décevante.
Ces mesures qui se profilent montrent le goût de nos dirigeants pour un pouvoir autoritaire et infantilisant.
Pourquoi tout cela? Votre réponse « La nostalgie camarade »
Sans doute mais ce n’est pas la seule raison. C’est trop simpliste.
Cela dit votre analyse sur le sujet est excellente.
Il me semble que la raison essentielle de tout ce cirque, de cette orchestration des mentalités par la propagande c’est le contrôle de la pensée des citoyens, les soumettre, les faire taire, contrôler leur comportement, les inciter à s’autocensurer, installer définitivement la pensée unique. C’est le monde de Rhinocéros de Ionesco , de 1984 de Orwell et le meilleur des mondes de Huxley. Espérons une insurrection des consciences