Chers amis,

Vous connaissez l’adage : « Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier. Elle met plus de temps, mais finit toujours par arriver. »

La question des effets secondaires provoqués par les vaccins anti-Covid, conçus précipitamment et injectés en masse alors qu’ils étaient encore en phase expérimentale, ressemble de plus en plus à une illustration de cet adage.

Vous vous rappelez sans mal des responsables politiques de l’époque et des médecins de plateau – les Olivier Véran, Michel Cymès et autres Karine Lacombe – jurant leurs grands dieux que ces vaccins étaient non seulement efficaces, mais tout à fait dépourvus d’effets indésirables.

Avec le manque complet de recul que l’on avait à l’époque, de telles déclarations étaient irresponsables.

Avec les preuves de ces effets indésirables qui se sont accumulées par la suite, ces déclarations étaient mensongères.

Aujourd’hui, elles apparaissent – et j’assume le mot – criminelles.

La confirmation du pire

Au fil de ces derniers mois, nous avons vu en effet s’accumuler, venant soit de rapports de la pharmacovigilance, soit d’études indépendantes, les confirmations d’effets secondaires graves liés à ces produits expérimentaux.

Au plus fort de la « crise sanitaire » (notez bien les guillemets s’il vous plaît), toute mention de ces effets indésirables vous valait immédiatement l’étiquette « antivax ».

En France, 200 000 signalements ont été effectués.

C’est déjà énorme.

Mais c’est probablement en-deçà des occurrences réelles ; soit que les victimes ne se soient pas manifestées, soit que leur signalement n’ait pas été pris en compte.

Thromboses :

Dès le printemps 2021, des cas de thrombose, notamment des thromboses veineuses cérébrales, ont été signalés après la vaccination, principalement avec le vaccin AstraZeneca[1].

Des enquêtes épidémiologiques ont été menées, et la très grande gravité de ces cas a conduit à la diminution du recours à l’AstraZeneca.

Myocardites et péricardites :

On a observé des cas de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite (inflammation de la membrane entourant le cœur), surtout chez des hommes jeunes après l’administration de vaccins à ARNm (Pfizer-BioNTech et Moderna).

A l’été 2022, le site officiel de l’Assurance Maladie confirmait « que la vaccination par Comirnaty (Pfizer-BioNTech) et Spikevax (Moderna) augmente le risque de myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant la vaccination[2] », notamment chez les jeunes hommes de moins de 30 ans.

Troubles menstruels :

Il y a un an, l’Assurance Maladie reconnaissait également le risque accru de 20 % (ce qui est énorme !) de saignements menstruels abondants après une vaccination contre le Covid-19[3].

À l’inverse, de nombreuses femmes ont constaté un retard de règles et/ou un dérèglement complet de leur cycle menstruel suite à la vaccination[4].

Tout ce que je viens de lister n’est qu’un « échantillon » des effets secondaires constatés dès la première campagne d’injections, qui avaient été balayés d’un revers de la main par les propagandistes provax de l’époque, mais dont la réalité factuelle est désormais solidement établie.

Aujourd’hui, des chercheurs ont décelé d’autres effets secondaires de ces produits.

Et ces effets secondaires sont non seulement inattendus, mais proprement sidérants.

Les injections anti-Covid altèrent la santé mentale

Une vaste étude publiée dans Nature et réalisée par des chercheurs sud-coréens atteste en effet, je cite, que « la vaccination contre le Covid-19 augmente les risques de dépression, d’anxiété, de troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes, et de troubles du sommeil[5] ».

Vous avez bien lu : les injections anti-Covid rendent dépressif, anxieux et insomniaque.

Ce qu’il y a de particulièrement vertigineux, dans cette étude, c’est qu’elle a été menée sur 2 millions d’habitants de Séoul.

Ce n’est donc pas une « petite » cohorte. Loin de là.

Voici quels sont précisément les troubles mentaux qui augmentent avec une injection anti-Covid :

  • Dépression ;
  • Troubles anxieux ;
  • Troubles du comportement alimentaire ;
  • Troubles du sommeil ;
  • Troubles de la sexualité ;

Et les « troubles somatoformes » : de quoi s’agit-il ?

La ribambelle de troubles somatoformes chez les injectés

Les troubles somatoformes se caractérisent par des symptômes physiques qui ne peuvent pas être entièrement expliqués par une condition médicale ou neurologique connue.

Ils se manifestent par des symptômes physiques (douleurs, fatigue, troubles gastro-intestinaux, palpitations, etc.) qui peuvent devenir obsessionnels et engendrer de l’anxiété.

C’est un effet sacrément pervers, puisqu’il est à l’origine du fameux « c’est dans votre tête » asséné par votre médecin lorsque vous le consultez et que rien n’apparaît à l’examen : au mieux on vous dit que c’est psychosomatique, au pire que vous êtes hypocondriaque.

Aucune cause médicale n’étant identifiée malgré des examens approfondis, la persistance des symptômes (en dépit de l’absence de preuve médicale d’une maladie organique) engendre encore plus d’angoisse : c’est le serpent qui se mord la queue.

Ils peuvent pourtant être très invalidants puisqu’ils recoupent des troubles neurologiques fonctionnels, tels paralysies, tremblements, crises ressemblant à l’épilepsie… et, une fois encore, sans explication médicale !

Ces symptômes entraînent donc une détresse significative et affectent le fonctionnement quotidien de la personne.

À ma connaissance c’est la première fois que cet effet secondaire des injections anti-Covid est reconnu par la recherche scientifique.

La vérité, donc, prend bel et bien l’escalier, et chaque mois apporte son lot de révélations et de confirmations supplémentaires.

Combien d’étages lui reste-t-il encore à gravir ?

Portez-vous bien,

Rodolphe

[1] https://www.letemps.ch/sciences/sante/une-etude-grande-ampleur-confirme-un-risque-plus-eleve-thrombose-vaccin-anticovid?srsltid=AfmBOoqLpgAB29at999nsm0Fp8ZqqCZDfHEr56AEnrF2XP9XWoOYiLbh – AFP, « Une étude de grande ampleur confirme un risque plus élevé de thrombose avec le vaccin anti-Covid d’AstraZeneca », in. Le Temps, 27 octobre 2022

[2] https://www.assurance-maladie.ameli.fr/etudes-et-donnees/2022-vaccin-arn-messager-covid-19-myocardite-pericardite – « Association entre les vaccins Covid-19 et ARN messager et la survenue de myocardite et péricardite chez les personnes de plus de 12 ans en France », site de l’Assurance Maladie, 22 juillet 2022

[3] https://www.assurance-maladie.ameli.fr/etudes-et-donnees/2024-saignements-menstruels-hopital-vaccin-covid-19#:~:text=Au%20niveau%20europ%C3%A9en%2C%20les%20saignements,celles%20partag%C3%A9es%20par%20l’ANSM – « Risque de saignements menstruels abondants ayant nécessité une prise en charge à l’hôpital au décours de la vaccination contre le Covid-19 », site de l’Assurance Maladie, 25 janvier 2024

[4] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-contre-le-covid-19-les-femmes-concernees-par-des-troubles-menstruels-invitees-a-les-declarer-dans-un-formulaire_5265796.html – « Vaccins contre le Covid-19 : les femmes concernées par des troubles menstruels invitées à les déclarer dans un formulaire », in. France Info, 19 juillet 2022

[5] https://www.nature.com/articles/s41380-024-02627-0 – Hong Jin Kim, Myeong Geung Choi & Eun Mi Chun, « Psychiatric adverse events following Covid-19 vaccination: a population-based study in Seoul, South Korea », in. Molecular Psychiatry, 4 juin 2024