Chers amis,
Une « bombe » a éclaté la semaine dernière aux États-Unis.
Contrairement aux bombes du pont de Crimée ou de Kiev, cette bombe n’a pas fait l’objet de sujets en boucle de la part des journaux télévisés français.
Pourtant, son onde de choc promet d’être, en matière de santé, beaucoup plus importante.
Cette bombe, c’est la révélation des données documentant le suivi des effets secondaires des campagnes de vaccination anti-Covid sur la population états-unienne.
15 mois de lutte pour obtenir ces informations
Avant de vous parler de ces révélations, je vais brièvement vous parler du passif de cette affaire, car elle nous renseigne déjà sur son caractère explosif.
Tout commence en juin 2021 quand un cabinet d’avocats, Siri & Glimpstead, demande au CDC de rendre publiques les données collectées par une application, V-safe.
Explication des termes : le CDC est l’acronyme de « Centers for disease control and prevention », soit « Centres pour le contrôle et la prévention des maladies ».
C’est la principale agence fédérale des États-Unis en matière de santé publique.
Quant à « V-safe », il s’agit d’une application mobile développée par le CDC spécifiquement pour suivre les effets secondaires éventuels des injections anti-Covid.
La demande d’accès aux données de cette application a donc été déposée en juin 2021.
Pourtant, ce n’est qu’il y a quelques jours, en octobre 2022, qu’une première partie de ces données ont été révélées.
Autrement dit : 15 mois d’attente.
Mais ce ne furent pas 15 mois d’attente tranquille, non. Durant ces quinze mois, les avocats ont dû batailler devant les tribunaux pour que le CDC rende publiques ces données déjà « dépersonnalisées » (ce qui signifie qu’on ne peut pas identifier l’utilisateur ayant renseigné ses données).
C’est finalement une ordonnance du tribunal qui a obligé l’agence à partager ces informations sensibles.
Et l’on comprend pourquoi : elles sont effarantes.
Des effets secondaires sérieux chez 1 personne sur 4
Restez bien assis, car les chiffres donnent le tournis[1].
Le « premier volet » des données de V-safe livrées par le CDC concernent 10 millions de personnes.
Sur ces 10 millions de personnes ayant reçu au moins une dose de produit anti-covid, 25% ont été obligées de se mettre en arrêt maladie parce que l’injection les empêchait de poursuivre une activité normale.
25%, c’est 1 personne sur 4 soit en l’espèce, 2,5 millions de personnes.
C’est gigantesque.
Ce n’est pas tout : sur ces 2,5 millions de personnes, 782 913 ont été hospitalisées juste après l’injection, ont dû subir une intervention en salle d’urgence, ou nécessité un médecin.
Rapporté aux 10 millions de l’échantillon, cela représente 7,7% de cas d’effets secondaires graves.
Aucun produit pharmaceutique « autorisé » n’a, dans l’histoire de la médecine, provoqué une telle proportion d’effets secondaires parmi les patients.
Mais ce n’est pas tout.
71 millions de symptômes
En tout, 71 millions de symptômes ont été déclarés par les utilisateurs de V-safe.
Ça fait une moyenne de 7 symptômes par personne injectée.
Au « hit-parade » de ces symptômes, on trouve les douleurs articulaires : 4 millions de signalements, dont 400 000 handicapantes.
Les enfants ne sont pas en reste : 13 000 enfants de moins de deux ans ont été enregistrés sur V-safe… et 33 000 symptômes ont été renseignés, les plus courants étant l’irritabilité, l’insomnie, la douleur et la perte d’appétit.
L’ensemble des données disponibles sont consultables sur le site en source[2], dont voici un aperçu :
Je ne sais pas ce qui est le plus consternant dans ces révélations.
Que ces chiffres soient officiels ?
Ou que les autorités de santé américaines, contraintes et forcées, aient mis 15 mois à les rendre publics ?
Je rappelle, à toutes fins utiles, qu’en France la transparence sur ces effets secondaires n’a toujours pas été permise, et ce bien qu’en mai dernier trois enseignants-chercheurs aient, lors d’une audition au Sénat, alerté sur une hausse de 1788% des troubles du cycle menstruel, et un bond de 732% des AVC en 2021[3].
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
[1] Siri & Glimstad LLP (03.10.2022). CDC’s Covid-19 Vaccine v-safe Data Released Pursuant to Court Order. Cision PR Newswire. https://www.prnewswire.com/news-releases/cdcs-covid-19-vaccine-v-safe-data-released-pursuant-to-court-order-301639584.html
[2] ICAN (informed Consent Action Network). V-safe Covid Vaccine Adverse Health Impacts (Official CDC Data). https://www.icandecide.org/v-safe-data/
[3] Gay M (24.05.2022). Vaccins : les témoignages interdits au sénat. France, infodujour. https://infodujour.fr/sante/57990-vaccins-les-temoignages-interdits-au-senat
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Oui c’est effarant, d’autant plus que dans l’émission CAV sur la 5 une infectiologue disait qu’il ne fallait pas minimiser le covid et que se faire vacciner était le seul moyen de se protéger et protéger les autres, que la 4ème dose il fallait la faire. Sois disant les hospitalisations augmentent de jour en jour ce qui est faux je le sais par rapport à des connaissances travaillant à l’ hôpital de la timone à Marseille.
Comment faire avec ces médias qui ont ordre de divulguer de fausses informations et font peur à la population. C’est scandaleux !!
Mr Bacquet, je vous remercie pour ces informations que , effectivement, nous ne trouverons pas sur les chaînes de télévision nationales.
dans les les effets secondaires que je confirme, mon épouse qui était en insuffisance immunitaire suite à son cancer, son état s’était bien amélioré, quand suite à ce vaccin qu’on l’a obligé de faire pour être traité à l’hôpital. personnellement on m’a obligé de faire ce vaccin pour pouvoir visiter mon épouse à l’hôpital, j’ai eu des violentes douleurs du bassin jusqu’au pied sur un côté, avec une récidive au deuxième vaccin obligatoire toujours pour les mêmes raisons (aller voir mon épouse)
troisième cas ma belle mère, qui est en EHPAD, n’avais aucun problème et était négative au test, que l’on nous à demandé de faire vacciner, trois jours après elle était positive.
quatrième cas une de petite fille qui a eu trois vaccins, à fait deux fausses couches, avec dérèglement de son cycle, sa sœur, n’est absolument plus réglée normalement, et a fait trois pertes de mémoire (thrombose cérébrale), et pour conclure ma dernière petite fille a déclenché des crises très douloureuse au biveau des parties intimes.
j’ouillais leur père est arrêté depuis novembre dernier pour très grande douleurs sur les deux épaules et un coude, il a été opéré il y a deux mois d’une épaule et le coude, il sera opéré de l’autre épaule dès qu’il pourra se servir de celle qui a été faite .
À part ça il n’y a aucun danger dans ces vaccins ! j’espère qu’un jour toutes les ordures qui auront provoqué autant de morts réelles, d’handicapé à vie et gâché la vie de tant de jeunes femmes sans oublier la stérilité chez combien d’hommes?
Merci Monsieur de nous communiquer ces infos
Je connais beaucoup de personnes subissant les séquelles de ce faux vaccin
enfin,espérons que chez nous ça fera bouger les autorités .
Que nous n’entendrons plus les médias relancer la vaccination pour la sois disante 8eme vague !!!!!!
Au « hit-parade » de ces symptômes, on trouve les douleurs articulaires : 4 millions de signalements, dont 400 000 handicapantes.
C’est exactement les symptômes que j’ai (une semaine après avoir reçu la deuxième injection).
Depuis maintenant plusieurs mois les douleurs sont de pire en pire.
C’est très handicapant dans mon travail.
Bien sur mon médecin pro vaccination Covid ne veut rien entendre.
Révélations de la CDC :
De quel vaccin s’agit-il ?
Moderne, Pfizer ou autre ? Merci
Simplement magnifique!!!
Avec ma gratitude pour votre travail
Isabel Sales Henriques
Rien d’étonnant je pense. Par contre, je ne vois pas les 3 sources/références. Quelqu’un peut aider?
Merci.
Merci a vous pour toutes ces informations
Et l’on continue toujours à prôner la vaccination, à vous dire de prendre du Doliprane et d’attendre en cas de symptômes et à pénaliser les non vaccinés en leur faisant payer leurs tests antigéniques ou PCR.
Quand on a lu « La santé en bande organisée », on comprend que tout cela n’est sans doute pas près de changer.
j aimerais bien svp ne plus recevoir vos lettres car en realite je suis tres tres ocuppe a autre chose travail et beaucoup de lecture Merci de votre comprehension
Il suffit de se désabonner.
Merci Rodolphe. C’est effarent… J’en sais quelque chose !
Ma question est simple : Est ce que le vaccin a réellement sauvé des vies ? Un oncle de 88 ans l’avait attrapé. Vacciné. Il est persuadé que sans le vaccin, il serait mort.
Les gens qui ont les symptômes bénins pensent pareillement. Sans être vacciné, ils auraient été hospitalisés.
C’est très étrange comme raisonnement. Mais on fonctionne comme ça.
Nous avons des amis, un couple, qui étaient malade pendant trois mois juste après la troisième dose. Aujourd’hui 6 mois après, ils ne récupèrent toujours pas complètement.
Mon mari et moi partons du principe que si notre organisme ne résiste pas à ce virus ou un autre, c’est qu’il n’est plus apte à continuer, quelle que soit la ou les raisons, pollution, mal-bouffe, excès de ceci ou de cela, il ne faut pas insister. Nos enfants sont grands et autonomes. Nous acceptons de céder la place. En vietnamien il y a un dicton : il faut laisser partir ce que nous ne pouvons retenir. Ainsi va la vie. évidemment cela ne regarde que nous.
Merci pour vos articles. On y apprend beaucoup.