Et nous allons continuer
Chers amis,
Réagissant à mon message récent sur les masques, un ami m’a accusé de me défier dangereusement de nos hommes politiques, et de nos scientifiques.
J’étais coupable, selon lui, de ne pas faire aveuglément confiance aux « progrès de la médecine ».
Cette réaction m’a surpris, inquiété et un peu touché aussi malgré tout.
Les progrès de la médecine : optimiste ou aveugle ?
Je vais vous faire un aveu : jusqu’à l’âge de vingt ans environ, j’étais comme cet ami.
J’étais convaincu que l’Humanité était engagée sur une voie dorée ; celle menant à une amélioration générale de notre bien-être, de notre santé.
Le développement du microscope, de la biochimie, de l’anesthésie, de la microbiologie, de la virologie, de la vaccination, de la génétique, de l’immunologie, de l’imagerie, de la thérapeutique spécialisée…
Tout cela ne pouvait « que » nous rendre puissants face à la maladie et mieux armés face à la mort.
L’histoire de la médecine était pour moi comme l’ascension de l’Everest : on atteindrait bientôt le sommet !
Mais j’avais les yeux trop rivés sur ce sommet.
Je ne voyais pas ce qui se passait autour.
Une médecine contre les autres
On ne devrait pas parler des progrès de LA médecine, mais de CERTAINES médecines.
Ce qui a progressé dans le bon sens, c’est la médecine réparatrice. Nous avons de meilleurs chirurgiens, qui réparent mieux qu’avant nos fractures et nos lésions, réussissent des greffes d’organes insensées, posent des stents et des valves qui sauvent des vies.
Ce qui a évolué dans le mauvais sens, c’est le traitement de nos maladies.
Et de nous en tant que patients.
L’absence de croyance dans la prévention, le mépris pour les solutions naturelles, l’obsession fanatique pour les vaccins, l’approche tout-médicament chimique, la surprescription d’antibiotiques…
…nous laissent effarés et démunis.
Car non seulement les cas de cancers, d’arthrose, d’Alzheimer, de maladies cardio-vasculaires explosent…
…mais nos médecins sont, pour beaucoup, devenus des prescripteurs de médicaments qui traitent moins un patient qu’une maladie ou un symptôme.
« La pratique médicale actuelle repose sur la croyance en son efficacité réputée supérieure à celles des méthodes « non orthodoxes ». Ce qui expliquerait la disparition de celles-ci. Mais cette croyance est fausse. Car la disparition des méthodes traditionnelles n’a rien à voir avec l’efficacité thérapeutique : elle n’est que la conséquence d’une guerre totale menée par l’establishment médical, puissamment instrumentalisé par l’industrie pharmaceutique », explique l’expert Thierry de Lestrade dans son excellent livre Le Jeûne, une nouvelle thérapie ?[1]
Nous sommes rentrés dans un monde binaire
Vous le savez, la « vraie » médecine, la seule reconnue aux yeux de l’État en France, c’est la médecine allopathique.
Les autres thérapies sont qualifiées d’« alternatives ».
Traduisez : « pas crédibles ».
En France, c’est le tout-puissant Ordre des médecins qui se prononce sur la « vraie » médecine.
Certaines médecines ancestrales ont survécu clandestinement. D’autres recommencent à être « tolérées ». D’autres encore sont en cours de pilonnage, comme l’homéopathie.
La plupart subissent un travail de sape systématique visant à les marginaliser.
La deuxième conséquence, c’est la multiplication des abus
L’industrie pharmaceutique est évidemment complice de ces manœuvres.
Dans le jargon, on appelle ça pudiquement des « conflits d’intérêt ».
Vous croyez qu’ils font exception ?
En juin dernier, le journal France Soir a révélé que 30 000 praticiens répartis en 32 CHU du territoire se sont partagés plus de 92 millions d’euros de la part de Big Pharma, auxquels s’ajoutent quelque 78 millions d’euros versés au titre de conventions passées entre les CHU et les laboratoires.[2]
Comme le relève le journaliste de France Soir, celles et ceux qui ont reçu les plus grosses sommes sont ceux qui sont le plus montés au créneau pour décrédibiliser le Pr Raoult et ses recherches sur l’hydroxychloroquine.
La même logique est à l’œuvre contre toutes les solutions de santé naturelles, systématiquement combattues et moquées par les médecins et chercheurs…
…financés le plus souvent par l’industrie pharmaceutique.
La grande extinction
Au fil des années, c’est un savoir immense qui a ainsi disparu.
Comme pour la biodiversité, j’appelle cela une « grande extinction ».
Pourtant, l’exploration des médecines naturelles et traditionnelles nous fait découvrir qu’il reste des solutions spectaculaires, souvent beaucoup plus simples et dépourvues d’effets secondaires que celles de la médecine chimique.
Je vous parlerai dans une prochaine lettre, par exemple, d’une incroyable découverte effectuée ainsi dans un grimoire britannique du Xè siècle, relayée par la prestigieuse revue Nature : celle d’un antibactérien détruisant 999 bactéries sur 1000.
Plus largement, je vais consacrer mes prochaines semaines à mettre à votre disposition des solutions naturelles qui marchent effectivement au quotidien pour votre santé, le plus souvent ignorées de la médecine.
Je ne serai pas seul à le faire, mais c’est le combat que je me suis fixé pour la rentrée.
Nous faisons partie des rares personnes qui résistent à l’orthodoxie médicale actuelle.
Nous ne baisserons pas les bras.
Portez-vous bien,
Rodolphe
[1] T. de Lestrade, le jeûne, une nouvelle thérapie? La Découverte, 2013
[2]http://www.francesoir.fr/societe-sante/top-13-des-revenus-annuels-recents-verses-par-lindustrie-pharmaceutique
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Lors d’une discussion, j’ai émis l’idée que je n’avais pas confiance dans la médecine actuelle!!!! Qu’avant de prendre des médicaments, je regarde les risques et inconvénients qu’ils peuvent avoir sur l’organisme et que je préfère en première instance me tourner vers les médecines dites « alternatives ».
Oh!! La vilaine fille que je suis; on m’a regardé comme si j’étais folle!
Pourtant, lors de ma ménopause, on m’a diagnostiqué 2 fibromes utérins. La gynécologue m’a laissé entendre qu’il fallait surveiller et que s’ils devenaient trop gros, c’était l’opération.
J’étais parallèlement suivie par un homéopathe qui, avec un traitement approprié, a fait « dessécher » ces 2 fibromes!!! Envolée l’opération. La gynécologue n’en n’est pas revenue; malheureusement, il y a tellement de mépris pour ce qui n’est pas la médecine officielle que je n’ai jamais osé lui dire dans quelles circonstances, ces fibromes avaient disparu.
J’étais déjà convaincue par les médecines alternatives pour avoir fait soigner mon fils pour des rhinos à répétition mais je défends bec et ongles toutes ces médecines surtout lorsque l’on voit ce qui se passe actuellement. Plus de liberté de se soigner autrement!! En serions-nous déjà arrivés à un régime totalitaire?
Continuez vos lettres, ça fait du bien.
Ghislaine
Effectivement, au cours des décennies de ma vie, j’ai pu constater que les laboratoires se sont donné un but celui de régenter notre santé ou plutôt devrais-je dire nos maladies qu’ils nous génèrent.
Après la phytothérapie et l’extinction des herboristeries, big pharma et la sécu se sont attaqué aux « autres » médecines comme l’homeotherapie et les médicaments plus naturels en annulant le urs remboursements. Pourquoi ne plus rembourser des médicaments peu chers et ne pas hésiter à inscrire d’autres très très onéreux?
Ma grand mère ne se soignait qu’avec des plantes….et les légumes de son jardin. Elle a fait un AVC à 78 ans. Hospitalisée, les médecins nous ont fait comprendre que c’etait la fin pour elle qui était nourrie avec une sonde nasale et était alitée nuit et jour.
C’est alors que ma mère, kinésithérapeute, adepte du yoga, l’a ramené à la maison …elle n’avait que la peau et les os Et ses 38 kilos!
Bon …il fallait faire avec, perdu pour perdu, tant qu’il y a de la vie…il faut espérer. Commencée à nourrir à la sonde nasale, ma mère lui faisait faire des exercices au lit puis elle a pu se lever, marcher, mais l’envie de boire un chocolat chaud avec moi au goûter à été la plus forte et ma mère lui a enlevé la sonde. Cuillere par cuillere, jour après jour elle y est arrivée. Pâques est arrivé, nous sommes repartis tous ensemble dans sa maison de campagne et elle a retrouvé son jardin…c’est plutôt sa bêche qui l’a tenait mais elle continuait…un moral d’acier l’a beaucoup aidé.
Elle est décédée dans sa 97e année..presque 20 ans de bonus et ce n’etait pas grâce à la médecine ni aux médicaments!