Censure et propagande : comment le débat public a été confisqué
Chers amis,
Une amie du temps de mes études, c’est-à-dire que je connais depuis une vingtaine d’années, m’a ces jours-ci « rayé » de sa liste d’amis, comme les réseaux sociaux d’aujourd’hui permettent de le faire… en un clic.
Je ne viens pas ici partager avec vous ma tristesse devant l’inélégance du procédé, mais vous confier ce que ce geste a de terriblement représentatif de la situation sociétale et sanitaire dans laquelle nous nous trouvons.
La Plaisanterie
Encore adolescent, j’ai lu un roman de Milan Kundera qui m’a marqué, La Plaisanterie[1].
L’histoire se passe en République tchèque des années 1960, alors communiste.
Le personnage principal du roman voit sa carrière brisée suite à une plaisanterie sur Marx qu’il écrit sur une carte postale… laquelle a le malheur d’arriver entre les mains de responsables communistes.
Dans mon minuscule cas, tout commence également par une plaisanterie.
Mon amie – appelons-la Théodora – venait de s’offusquer de ce que la France, 3ème fabricant mondial d’armes, n’était même pas fichue de fabriquer un vaccin anti-Covid (ce qui d’ailleurs n’est pas vrai, puisqu’un tel vaccin est actuellement en développement chez Sanofi[2]).
J’ai réagi à son post en disant qu’un tel vaccin était, en effet, « une arme de pointe ».
Vous l’aurez compris, je faisais autant allusion à ses risques… qu’à la seringue.
Que n’avais-je pas dit là ! En quelques minutes, je fus qualifié d’« antivax » et, sans annonce ni explication, rayé de la liste de contacts de mon (ex) amie Théodora.
Dialogue impossible
Peut-être avez-vous vécu une situation similaire avec votre entourage, que ce soit amis, collègues ou famille.
La question de la gestion de l’épidémie de SARS-CoV-2, et depuis six mois en particulier celle des vaccins, produit quelque chose de très inquiétant dans notre société.
Les gens s’arc-boutent sur leurs positions :
– ceux qui sont circonspects et prudents face à ces vaccins sont immédiatement qualifiés d’ « antivax », voire d’ « obscurantistes » par…
– … ceux qui se font ou comptent se faire vacciner, qui peuvent se faire à leur tour appeler « moutons » par les premiers !
Ce qui me frappe, c’est que les deux « camps » sont de bonne foi.
Les premiers sont réellement inquiets, et ont des raisons très solides de l’être.
Les seconds croient réellement bien faire en se faisant vacciner, se basant en cela sur la dimension supposée « altruiste » de ce geste.
Nous pouvons débattre du fond. Je l’ai déjà fait ici, notamment en réponse à un autre célèbre rédacteur de lettres sur la santé naturelle.
Mais mon propos aujourd’hui, c’est le constat que le dialogue n’est plus possible. Et ça, c’est un très mauvais signe.
Toute discussion sur ce sujet semble promise au mieux à un dialogue de sourds, au pire au pugilat.
Si j’évoque devant vous le cas de mon amie Théodora, c’est pour deux raisons.
La première, c’est que Théodora est professeure de philosophie… une discipline où l’on apprend à réfléchir par soi-même, où l’on argumente, et dialogue. De toute évidence, la question de cette vaccination est un « hors-sujet » pour cette démarche intellectuelle.
La seconde, c’est que… nous n’avions jamais discuté de vaccination anti-Covid ensemble.
Théodora s’est fait vacciner contre le Covid il y a quelques semaines. Je n’avais pas réagi. Se faire ou non vacciner est, et devrait rester, une démarche personnelle, accomplie en toute conscience des bénéfices et des risques supposés de cette action. Je n’ai pas à juger.
Le fait que Théodora sente peser sur elle une fatigue inhabituelle et persistante depuis son injection ne l’avait pas fait regretter son choix. Là encore, je ne suis rentré dans aucun débat avec elle sur ce sujet.
En revanche, une simple plaisanterie a mis le feu aux poudres. Remettre en question la balance bénéfices-risques des vaccins anti-Covid est tabou.
Le dialogue est impossible car, je m’en rends chaque jour un peu plus compte, il est en réalité interdit.
Le dialogue est impossible car toute posture critique, toute remise en question, est immédiatement « extrémisée » et « radicalisée » dans le débat public… et entre citoyens.
Où est la mesure, où est l’intelligence ici ? Et surtout, où est le respect non seulement des opinions de chacun, mais aussi et surtout de la science ?
En fait, les conditions du débat ne sont plus réunies.
Réduction du débat à un « pour ou contre »
Je ne regarde plus la télé depuis longtemps, mais j’écoute la radio.
Et depuis plusieurs mois, je suis atterré par ce que j’entends, notamment sur le service public.
La « contagion » du Covid-19 dans l’espace médiatique est en soi un problème, à mes yeux.
Ne serait-ce que sur le plan sanitaire : toutes les autres urgences de santé – et il y en a pléthore aujourd’hui – ont précisément été aggravées par l’obsession du Covid qui a « marginalisé » la recrudescence de cancers, de Lyme et des troubles dépressifs.
Plus récemment – depuis 6 bons mois – le débat ne se focalise plus tant sur le Covid… que sur les vaccins anti-Covid.
Vous remarquerez que l’on n’entend plus depuis longtemps parler d’hydroxychloroquine ou d’ivermectine. On a, à un moment l’automne dernier, parlé de vitamine D… et c’est tout.
Les grands médias ne parlent désormais que de vaccins. Autrement dit, ils ne parlent plus de traitements.
Nous en sommes arrivés à un tel stade d’absurdité que nous n’évoquons plus le SARS-CoV-2 comme une maladie à traiter.
Car un vaccin, je vous le rappelle, n’est pas un traitement : c’est un outil de prévention…
… et dans le cas du Covid l’efficacité de cet outil est, je le maintiens, particulièrement douteuse – les Seychelles, « pays le plus vacciné au monde » connaissent d’ailleurs aujourd’hui une résurgence des contagions parmi la population vaccinée[3].
L’attention médiatique, et donc l’attention du public, se sont focalisées sur les vaccins anti-Covid, à tel point qu’il n’est plus question que d’être « pour ou contre ».
On ne parle plus des malades. On ne parle plus de la maladie. On ne parle plus de la recherche pour traiter cette maladie. On ne parle que des vaccins, donc.
De quoi s’agit-il ?
Il s’agit de propagande.
Petite leçon de propagande
Je vais vous faire une confidence. Bien avant de n’avoir plus de télévision… j’ai travaillé pour la télévision.
De façon complètement indépendante.
J’ai en effet, il y a plusieurs années, réalisé des films documentaires pour elle : des documentaires pédagogiques, dont certains s’adressaient aux enfants.
L’un de ces documentaires portait sur la propagande[4]. J’y expliquais, au moyen d’un petit personnage animé, comment on pouvait « travestir » la réalité avec des mots, des sons et des images.
L’emploi régulier des outils de propagande est une marque de fabrique des états totalitaires et dictatoriaux, comme l’Italie de Mussolini, ou l’Allemagne d’Adolf Hitler.
Mais pas seulement. Les nations « démocratiques » recourent elles aussi à la propagande, particulièrement en période de crise, comme lors d’une guerre… ou d’une épidémie.
Il y a un siècle, la propagande d’État a déjà joué à plein régime lors d’une fameuse épidémie : celle de grippe espagnole. Mais c’était pour en minimiser la gravité, et en étouffer l’impact sur le moral de la population.
Aujourd’hui, nous assistons à un exercice de propagande remarquable qui vise à présenter la vaccination comme unique scénario de sortie de crise du Covid.
Des spots publicitaires vous montrent, à la télé, un rugbyman anticiper ses embrassades avec ses coéquipers au moment où il se fait injecter sa dose.
Des spots radiophoniques martèlent l’équation « se vacciner = se protéger » (soi et les autres).
De manière plus insidieuse, des éditoriaux et des reportages présentent les personnes critiques sur cette campagne de vaccination massive comme des « antivax ».
Une émission, diffusée récemment sur France Inter, présentait de façon à peine déguisée ces personnes récalcitrantes comme des personnes tour à tour égoïstes, simples d’esprit, voire complotistes.
C’est honteux… et c’est malheureusement une affaire quotidienne actuellement dans les médias français.
À qui profite la propagande et la censure ?
Quelle est la caractéristique de la propagande ?
C’est de faire passer un message coûte que coûte, et notamment tout à fait indépendamment… de la vérité.
Autrement dit, le fait que les vaccins anti-Covid protègent ou non du SARS-CoV-2 n’est même plus au centre du débat.
Cela doit être le cas, puisque cela est répété à longueur d’antenne et de télé. Vérité ou non, telle n’est plus la question.
C’est la contradiction et le questionnement qui deviennent, sinon impossibles, du moins de plus en plus difficiles.
La propagande a en effet un corollaire : c’est la censure.
Je l’ai vu, à ma modeste échelle, avec Théodora : tout dialogue est impossible, même avec une amie de longue date.
Mais cette censure se fait à une bien plus vaste échelle.
Les médecins et professionnels de santé qui osent remettre en question la doxa du moment ne sont plus invités sur les plateaux de télévision, au micro des radios.
Les simples citoyens qui osent exprimer leur opinion sont souvent bannis des réseaux sociaux.
Tout contradicteur est considéré comme pestiféré.
Il est temps de se demander : à qui profite cette propagande et cette censure ?
La réponse est triple :
– Aux gouvernements, qui cherchent une sortie de crise la plus rapide possible, et misent tout sur la solution vaccinale ;
– Aux industries pharmaceutiques, qui n’ont pas trouvé de nouvelle molécule brevetable depuis dix ans et voient, dans le développement des vaccins, la seule aubaine sérieuse de faire des bénéfices record ;
– Aux GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon) qui ont tout intérêt à soutenir cette vision industrielle et mondialisée de la santé.
À ce dernier sujet, saviez-vous que Google est co-propriétaire de l’une de ces fameuses compagnies de biotechnologies qui a contribué à développer le vaccin AstraZeneca ?
Cette compagnie, basée en Grande-Bretagne, s’appelle Vaccitech. Google en est actionnaire depuis 2017[5].
On comprend un peu mieux pourquoi, dans ce contexte, Google fait la guerre à tout discours considéré comme « antivax ».
Malgré tout, de courageux médecins et professionnels de santé continuent à se battre pour que l’évidence scientifique et le bon sens sanitaire puissent rester audibles malgré le rouleau-compresseur de la propagande et de la censure actuels.
C’est le cas aujourd’hui avec la perspective de vacciner les enfants, qui pose de graves problèmes éthiques.
Médecins courageux
Ainsi, le Dr Antoine Demonceaux dénonce l’absurdité complète de la vaccination anti-Covid des enfants en rappelant que « aucune étude ne peut formellement prouver l’innocuité des vaccins sur les jeunes classes. »
Il poursuit :
« En fait, on se trompe de cible. Les enfants sont les meilleurs vecteurs d’une immunité collective car ils propagent la maladie sans risques pour eux-mêmes.
« Si nous constatons que le vaccin est efficace et qu’il protège les personnes à risques graves, alors ce sont aux adultes de prendre leurs responsabilités en fonction de leur état de santé.
« Vacciner des enfants à ce jour, sans garantie pour leur santé future, semble être un choix hasardeux pris à leur insu et qui pourrait leur coûter cher. » [6]
Le Dr Éric Ménat va encore plus loin dans un texte courageux publié sur le site de l’AIMSIB[7] et intitulé « Sacrifier des enfants pour rien, ça se payera un jour »[8].
Dans ce texte d’une grande précision scientifique, ce médecin pointe les faits suivants :
– Les décès du Covid chez les moins de trente ans sont minoritaires (0,1% des décès) ;
– Les 80% d’immunité collective pour éradiquer une maladie relèvent de l’utopie (plus on vaccine, plus le vaccin mute) ;
– On ne sait RIEN de l’efficacité des vaccins actuels contre les variants, déjà provoqués par… la vaccination ;
– Le bénéfice de la vaccination pour les moins de trente ans est nul, en revanche les risques (de thromboses notamment) sont sérieux.
Ces médecins ne sont pas isolés. Je le sais parce que j’en côtoie.
En revanche – et c’est cela qui m’inquiète – ils sont marginalisés voire censurés par :
– les journalistes des grands médias (qui, par définition, ne sont pas des spécialistes des questions de santé) ;
– la triade gouvernement/industrie pharmaceutique/GAFA dont les intérêts sont directement menacés par ces alertes scientifiques et rappels de bons sens ;
– et, c’est sans doute le pire, par des citoyens lambda comme mon amie Théodora, qui ont totalement épousé le discours dogmatique en vogue, au point de ne plus être capables de remettre ces dogmes en question.
Un comble au pays des « Lumières ».
Ce comble est hélas profondément ancré dans notre société, je m’en rends compte.
La science prise en otage
Le meilleur moyen de décrédibiliser un contradicteur, c’est de déformer ses propos et de le caricaturer.
C’est ce à quoi l’on assiste actuellement au sujet des « antivax », mais aussi d’autres lanceurs d’alerte qualifiés de « complotistes ».
Toute critique ou remise en question des politiques sanitaires actuelles vaut à celui ou celle qui la profère d’être réduit à l’une de ces catégories.
Or, dans cet inquiétant sport devenu national et quotidien, on assiste à une instrumentalisation complète de la science.
La science, ou plutôt la Science avec un grand S, est devenue la valeur de référence dans le débat public : l’autorité absolue.
Il y a mille ans, l’autorité de référence, c’était l’Église ; il y a encore quelques siècles, c’était l’État ; aujourd’hui, c’est la Science.
Si l’homéopathie a été rétrogradée par le ministère de la santé, c’est parce qu’elle n’était pas assez « scientifique ».
Tout d’abord, entendons-nous : je ne suis pas « anti-scientifique », sinon je ne passerais pas mes journées à scruter les études qui sortent, ni n’aurais le réflexe de vérifier que ce que j’avance comme bienfaits pour telle ou telle substance est étayé par des recherches convaincantes.
Mais qu’est-ce que la science ?
Ce n’est pas un principe éthéré.
La science, ce sont des scientifiques. Donc, des hommes, et des femmes.
Des hommes et des femmes qui peuvent faire des erreurs.
Des hommes et des femmes qui ont, également, des opinions, des préjugés.
Des hommes et des femmes qui ne sont pas toujours incorruptibles (on appelle ça, dans le jargon, les « conflits d’intérêt »).
Il serait tout aussi absurde de dire que la communauté scientifique est pourrie, que de dire qu’elle est blanche comme neige.
C’est pourquoi je regarde toujours avec beaucoup de prudence et de distance critique ce qu’on nous assène comme « vérité » sous le sceau de la preuve scientifique.
Je vous rappelle qu’il y a à peine plus d’un demi-siècle, la dérive des continents et la tectonique des plaques n’étaient pas pris au sérieux par la communauté scientifique.
Qu’il y a 150 ans, l’idée de Darwin que les espèces animales et végétales évoluaient au fil du temps apparaissait au mieux avant-gardiste, au pire… complètement stupide.
Qu’il y a 500 ans, l’idée que non, la Terre n’était pas le centre de l’univers, a valu quelque excommunications (au mieux) à ceux qui osaient proférer de tels blasphèmes.
Je pourrais énumérer toutes sortes de vérités scientifiques erronées au sujet de la santé et de la médecine : que la Peste se transmet dans l’air (il y a 200 ans encore), qu’il était inutile de se laver les mains avant une opération chirurgicale (il y a 150 ans), etc., etc.
La liste des « vérités » scientifiques d’aujourd’hui considérées initialement comme des délires ridicules, est à peu près aussi longue que celle des « vérités » scientifiques d’antan qui nous paraissent aujourd’hui absurdes.
La vérité scientifique d’aujourd’hui n’est donc pas nécessairement celle d’hier ni celle de demain, et en réalité celle d’aujourd’hui est elle-même très discutable !
QUI aujourd’hui peut prétendre détenir la « vérité » scientifique sur un virus totalement inconnu il y a 2 ans, et sur un vaccin sorti de laboratoire il y a 6 mois ?
Un minimum de modestie, de conscience de ce que nous ne savons pas encore, devrait nous inciter à la prudence, à la réserve.
Mais cela ne « passe » pas dans le débat quotidien.
Au lieu de cela, la plupart des gouvernements, des médias et des industriels foncent tête baissée dans des politiques sanitaires basées sur une « évidence » scientifique… dont on s’apercevra demain qu’elle est probablement lacunaire, voire fausse.
Balivernes ? balivernes !
Le hasard (ou pas le hasard d’ailleurs) veut qu’un livre qui vient de sortir résume à lui seul l’étroitesse d’esprit et le manque de recul critique que génère la foi aveugle en une Science irréprochable.
Intitulé La Science des balivernes, ce livre[9] propose au lecteur, en quatrième de couverture de vous « vacciner contre la contagion des inepties ».
Je ne doute pas une seule seconde des bonnes intentions de son auteur, Thomas C. Durand (présenté en couverture comme « co-créateur de la chaine youtube de La Tronche en biais »), ni de sa bonne foi.
J’ai entamé la lecture de ce livre avec un vif intérêt. Je l’ai terminée avec un sentiment de révolte et de découragement.
Mais il ne faut pas se laisser se décourager, et c’est pourquoi je termine cette longue lettre par l’évocation de ce livre, qui résume tous les égarements auxquels nous faisons face actuellement au nom d’une « Science » toute puissante.
L’auteur place sur le même rang des « foutaises » :
– l’existence du monstre du Loch Ness ;
– le lien entre certains vaccins et l’autisme ;
– l’efficacité de l’homéopathie ;
– la construction des pyramides d’Égypte par les Atlantes ;
– la survie de l’âme après la mort du corps physique.
Cette liste à la Prévert s’étale sur 2 pages[10] et l’auteur nous promet d’apprendre à débusquer ces contre-vérités scientifiques.
Un seul critère, selon lui, fait foi : celui de la preuve scientifique.
Le premier problème, on le voit bien, est qu’on ne peut pas tout prouver scientifiquement : nous ne disposons pas d’outils pour tout mesurer ou vérifier scientifiquement.
La question de la survie de l’âme après la mort physique relève de l’intime conviction ou de la religion… pas de la science (en tout cas actuellement).
Prétendre que celle-ci est impossible parce que non prouvée scientifiquement vous donne déjà une idée du rétrécissement de l’expérience humaine quand on la passe au crible unique de la soi-disant « raison ».
Thomas C. Durand s’attaque également au complotisme. Et là, manque de chance, sa première démonstration… concerne une « contre-vérité » brûlante : la création du SARS-CoV-2 en laboratoire.
Bien orgueilleux ceux qui prétendent détenir la « vérité » sur le SARS-COV-2 et ses vaccins !
J’ai été l’un des tout premiers à qualifier de « complotistes » ceux qui, en février-mars 2020, avançaient l’idée que le virus à l’origine du Covid-19 pourrait s’être échappé d’un laboratoire de Wuhan.
Je fais mon mea culpa : je pense aujourd’hui… qu’on n’en sait rien.
Le président Joe Biden a lancé une enquête officielle pour dénouer cette affaire, donnant désormais un crédit très sérieux à cette hypothèse du virus de laboratoire[11].
Autrement dit, j’ai péché, si j’ose dire, par excès de confiance et d’incrédulité : pour moi cette hypothèse paraissait tellement improbable qu’elle était fausse. Or, en toute franchise, je manquais de connaissances à l’époque sur le sujet pour me prononcer de manière si péremptoire.
Aujourd’hui, je ne sais toujours pas si le SARS-CoV-2 s’est échappé ou non d’un labo… mais je me garderais bien de proférer toute vérité sur ce sujet !
Bref, le livre de Thomas C. Durand est amusant pour ce qui concerne le monstre du Loch Ness mais, disons, nettement plus fragile concernant le reste, et notamment le Covid.
Et là, c’est plus problématique, car tout en prétendant s’attaquer scientifiquement à certains chercheurs, l’auteur s’en prend en réalité aux hommes eux-mêmes.
Ainsi, Thomas C. Durand « démonte » le Pr Raoult et sa défense de l’hydroxychloroquine en prenant appui sur certaines études scientifiques.
Mais il « oublie » (volontairement ?) de préciser que la grande étude publiée par The Lancet qui a décrédibilisé l’hydroxychloroquine… était en réalité truquée, et que la revue elle-même a désavoué sa publication[12].
De la même façon, Thomas C. Durand prend un malin plaisir à ridiculiser Jean-Dominique Michel (alors même que son ouvrage de référence Covid : anatomie d’une crise sanitaire a été publié par le même éditeur, humensciences !) en l’attaquant sur son titre d’anthropologue… mais jamais en affrontant ses arguments.
Or, c’est le temps, et non la « Science », qui est en train de donner raison à Jean-Dominique Michel sur de nombreux points : le non-respect par les gouvernements des protocoles pandémiques prévus, l’obsession pour une réponse vaccinale au Covid au détriment de la recherche d’un traitement efficace, le recours à la peur pour faire accepter cette idée…
Avec le Covid-19, chaque mois, chaque semaine, nous prouve que nous avons accumulé les fausses pistes.
Je partage avec vous ici l’étude la plus récente et édifiante à mes yeux.
Vous vous souvenez que l’un des premiers risques évoqués des vaccins anti-Covid concernait le recours à la thérapie génique : on craignait (et on craint toujours) que l’ARN de ces vaccins intègre l’ADN humain.
« C’est impossible ! Farfelu » ont rétorqué plusieurs spécialistes aux généticiens qui alertaient sur ce risque.
Or, une étude parue dans PNAS par des chercheurs de Cambridge vient de révéler que l’ARN du SARS-COV-2 « infiltre » bel et bien l’ADN des patients touchés et « s’exprime » dans leurs cellules[13].
On croyait que c’était impossible (en réalité, c’est ce qui se produit déjà avec le virus du sida, notamment), et c’est aujourd’hui l’inverse qui est démontré.
Je précise que cette découverte concerne le virus lui-même, et non le vaccin : elle montrerait que plus longtemps on est « hôte » du virus, plus on court le risque que son ARN intègre notre ADN.
C’est désormais une piste d’explication très sérieuse non seulement des « Covid-longs », mais aussi des tests de dépistage qui continuent à être positifs alors que la maladie ne s’exprime plus.
L’autre problème (et là nous retombons sur le décidément si brûlant sujet de la vaccination) c’est que c’est sur la manipulation de cet ARN, que l’on croyait incapable de « pirater » l’ADN humain, que la technologie des vaccins à ARN messager repose.
Or… si c’est la durée de présence dans le corps de cet ARN qui détermine son intégration à notre ADN… que penser de la démarche qui consiste à en injecter à des millions de personnes dans le monde de façon à ce que cet ARN « demeure » dans l’organisme ?
On ne sait RIEN actuellement des conséquences de cette intégration de l’ARN du SARS-COV-2 à l’ADN humain. Sera-t-il inoffensif ? Conduira-t-il à développer d’autres pathologies, possiblement cancéreuses ?
Je le répète, nous n’en savons rien, pour la simple et logique raison que nous n’en sommes qu’au tout début de nos interactions avec ce virus, et des manipulations vaccinales.
Et c’est bien cela qui devrait nous inciter à la prudence, et à questionner le bien-fondé et le rapport bénéfice-risque d’un acte médical aventureux sur des millions de personnes dans le monde – y compris les enfants.
Demander un débat sur cela, exiger une plus grande transparence sur ces pratiques, ce n’est pas être « antivax », ma chère Théodora : c’est ne pas se payer de mots, et exercer son libre-arbitre.
Portez-vous bien,
Rodolphe
P.-S. : si vous avez vous aussi dû faire face à des réactions violentes en abordant ces questions de la gestion de la crise sanitaire et de la vaccination, laissez-moi votre témoignage, je le lirai avec intérêt.
[1] Kundera, M. (1967). La Plaisanterie. Gallimard. EAN : 9782070366385
[2] Sanofi. (27.05.2021) Covid-19 : la réponse de Sanofi. https://www.sanofi.fr/fr/Actualites/notre-reponse-a-la-covid-19
[3] Thévenot, J. (27.05.2021). Aux Seychelles, pays le plus vacciné au monde, les cas de Covid augmentent. http://www.slate.fr/story/209684/seychelles-pays-le-plus-vaccine-au-monde-cas-covid-augmentent
[4] https://www.onstage.fr/content/enqu%C3%AAte-dimages-2-2-%C3%A9pisodes
[5] https://www.vaccitech.co.uk/about/
[6] Vaccination des enfants : la position du Dr Demonceaux
https://nouvelle-page-sante.com/vaccination-des-enfants-la-position-du-dr-demonceaux/
[7] Association internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante
[8] Rédaction de l’AIMSIB. (23.05.2021). Sacrifier des enfants pour rien, ça se payera un jour. https://www.aimsib.org/2021/05/23/sacrifier-des-enfants-pour-rien-ca-se-payera-un-jour/
[9] Durand, T. C. (2021). La Science des balivernes. Humensciences. EAN : 9782379311918
[10] Pp.13-14
[11] Jaulmes, A. (27.05.2021). Coronavirus : Biden relance la piste du labo chinois. Le Figaro International. https://www.lefigaro.fr/international/coronavirus-biden-relance-la-piste-du-labo-chinois-20210527
[12] Les Echos. (19.06.2021). « The Lancet Gate » : saga d’une étude corrompue. https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931
[13] Zhang, L., Richards, A., Inmaculada Barrasa, M. et al. (2021). Reverse-transcribed SARS-CoV-2 RNA can integrate into the genome of cultured human cells and can be expressed in patient-derived tissues PNAS 118 : 21. e2105968118. https://doi.org/10.1073/pnas.2105968118
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Vous vous étonnez de la réaction de votre amie , professeur de philosophie , qui vous a qualifié d’antivax et rayé de la lite de ses contacts . Un professeur de philosophie enseigne la philosophie , mais cela ne veut pas dire qu’il est sage lui-même. D’ailleurs , il y a des prétendus philosophes de tous bords , comme il y a des historiens , des enseignants , des médecins, des académiciens , des journalistes , ect…, de tous bords politiques. La sagesse est loin d’être un corollaire du diplôme ! Comme ils possèdent une petite parcelle de savoir dans l’immensité de leur ignorance , ils sont bouffis d’orgueil et n’acceptent pas la contradiction. On peut constater qu’il y a plus de BON SENS chez les peu ou pas diplômés que chez les diplômés, infatués , aveuglés par l’orgueil et la vanité. Et c’est parmi les personnalités politiques , très diplômées , que l’esprit est le plus étroit , le plus réfractaire à toute sagesse et malheureusement aussi pour le peuple , le plus nuisible. C’est pour cela que le monde progresse à tout petits pas , quand il ne régresse pas !Car les prétendues élites ne sont préoccupées que d’imposer aux autres leurs choix ET SURTOUT LEUR DOMINATION , quelles qu’en soient les conséquences. » Notre âme ne branle qu’à crédit, liée et contrainte à l’appétit des fantaisies d’autrui, serve et captivée sous l’autorité de leur leçon; on nous a tant assujettis aux cordes que nous n’avons plus de franches allures ; notre vigueur et liberté est éteinte » .Montaigne
Bonjour Rodolphe
Vos lettres me sont d’un grand réconfort . Vous cherchez à comprendre , moi aussi . Merci .
En janvier dernier la directrice de l’Ehpad où résidait ma mère nous demandait (3 frères) l’autorisation (bidon) de la faire vacciner . J’ai donné mon désaccord en argumentant ma décision . Dans la fournée même je me suis fait littéralement incendier et traiter de tous les noms par un de mes frères avec qui je m’entendais bien . Anti ceci , anti cela , en psychiatrie çà se soigne … Le débat est clos . Cela rejoint votre article .
Il semblerait qu’un « programme mondial , une feuille de route » soit mis en marche par les GAFA , une poignée de milliardaires , Bill Gates et j’en passe . Rien ne peut les arrêter . Pourquoi la 5 G a-t-elle été déployée pendant le 1er confinement ? personne n’y a rien vu .
Comme le dit Philippe de Villiers dans son livre qui fait froid dans le dos , le masquage et les confinements sont le prélude à la vaccination , la vaccination le prélude au passeport vaccinal et sanitaire , le passeport le prélude au fichage numérique et ce fichage à la reconnaissance faciale , via la 5 G . Les GAFA sont là , et ne vous lâcheront plus !!!
Bonne survie
Votre référence [13] sur l’intégration de l’ARN viral dans le génome présente de graves lacunes :
– Tout d’abord il s’agit d’expériences in vitro
– ensuite il s’agit d’ARN viral et non d’ARN messager des vaccins.
– les auteurs émettent de nombreuses hypothèses et parlent au conditionnel
– Et cela reste en attente d’analyse et de réponse de la part de la communauté scientifique
Au passage si c’était le cas, les personnes infectées seraient à beaucoup, beaucoup, plus de risques que les vaccinés, car le virus se reproduit massivement dans les cellules , pas l’ARNm des vaccins.
Votre manque de rigueur scientifique et vos parti pris expliquent peut être la réaction de votre ami Théodora….. (relire la loi de Brandolini)
Merci pour votre longue lettre dont j’ai apprécié la justesse et la pondération . Victime de jugements ,allant de inconsciente à égoïste, je suis profondément convaincue que ce vaccin est dangereux , et que nous avons en nous les moyens de nous immuniser ….que cela passe ,en partie , par l’élévation de la conscience .
Bonjour Rodolphe
Ne pas faire vacciner engendre la réprobation effectivement.
Cela fait irresponsable.
D’autres en Inde par exemple eux le voudraient bien…certes.
Le Vaccin empêche de propager le virus, ah bon?
L’esprit critique meurt au profit de retrouver sa vie d’avant.
Je me retranche avec un « je réfléchis,… je vais faire d’abord une sérologie ça me paraît un renseignement utile « .
Quand il y a une émission TV qui reçoit des personnes critiques par rapport à la stratégie vaccinale ca clignote derrière « anti complotisme »
Merci beaucoup pour ton travail.
Je lis toujours avec intérêt vos articles et celui-ci me rappelle ce qui m’est arrivé l’année dernière au mois de juillet. Comme vous, j’avais une amie avec laquelle nous faisions des réunions où nous parlions spiritualité. Depuis le début de la crise du COVID je l’appelai régulièrement. Au mois de juillet 2020, je l’ai appelée, elle venait de se faire poser des stets, et elle m’a demandé que l’on arrête nos relations en prétextant que « Nous n’avions pas le même sens de l’amitié ». Je n’ai toujours pas compris le sens de sa phrase. C’est bien triste pour des personnes qui sont soi-disant évoluées : votre amie philosophe et la mienne dans la spiritualité. Elles ont de l’instruction mais aucune intelligence parce que l’intelligence inclut celle du coeur qui ne juge pas l’autre ou au moins accepte ses arguments.
Je vous remercie pour vos articles et je vous souhaite une bonne journée entouré des vôtres.
Bonjour Monsieur Bacquet,
Je suis un biologiste moléculaire et virologue à la retraite et pense être un adepte radical de la pensée scientifique. Je prétends aussi à une ouverture d’esprit qui me paraît d’ailleurs être une base indispensable à la démarche scientifique et je ne peux que partager votre opinion sur les dérives dogmatiques que le « politique » impose de plus en plus aux scientifiques, aidé en cela par la prise de pouvoir du médical sur tout ce qui concerna la biosanté. Je lis régulièrement vos lettres et si je ne suis pas toujours d’accord avec vous, je partage cependant certaines de vos opinions. En particulier, il me paraît plus que regrettable (et c’est un euphémisme), que les traitements contre la covid19 n’aient pas été plus soutenus et/ou développés dans ce pays. Je ne peux cependant partager vos vues sur les vaccins même si je vous rejoins sur certains aspects comme la vaccination des enfants. On peut discuter à l’infini sur la stratégie qui consiste à vacciner mais contrairement à ce que vous dites, il semble bien que la vaccination commence à produire ses effets, pour un coût financier certes très élevé mais sans conséquences sanitaires graves. On peut toujours nier que l’amélioration soit due à la vaccination comme on peut aussi sans doute nier que c’est la vaccination qui a permis l’éradication de la variole et le contrôle de nombreuses maladies comme la poliomyélite, mais je suppose que vous n’êtes pas dans cet état d’esprit. Il ne vous aura pas échappé qu’un papier récent dans « Nature » démontre que les anticorps anti-SARS-cov-2 persistent sur une période longue aussi bien après une infection naturelle qu’après la vaccination.
Je respecte le fait que vous soyez contre la vaccination anti-SARS-cov-2 mais ce qui me met par contre en colère c’est la façon malhonnête dont vous influencez vos lecteurs, particulièrement en qualifiant de thérapie génique la vaccination avec des ARNs. J’espère qu’en tant que journaliste, vous savez assez sur la thérapie génique pour savoir à quel point cette affirmation est erronée. Il est vrai que le SARS semble pouvoir s’intégrer mais de manière extrêmement sporadique et exactement comme n’importe quel virus, et je ne parle pas des rétrovirus qui forment quand même presque 10% de notre génome. Mais jusqu’à présent, je n’ai rien vu suggérant une intégration des ARN messagers vaccinaux, et même si c’était très marginalement le cas, cette vaccination ne constituerait en rien une thérapie génique.
J’espère que mon mail vous fera réfléchir et vous ouvrira la voie d’une réconciliation avec votre amie.
Cordialement
Bonjour Mr Bacquet , je viens de lire votre article avec intérêt tant il est argumenté et bien construit !
Cependant , concernant l’intégration de l’ARN viral dans notre ADN , si il est effectivement possible qu’un virus puisse effectuer ceci , ce serait uniquement possible pour les rétro virus dont le Covid ne fait pas partie !
D’autre part , ce qui est injecté dans le corps lors de la vaccination n’est pas de l’ARN viral mais un message , un ordre de fabrication donné à nos cellules !
Je suis comme vous très circonspect vis à vis des vaccin a ARN messager et de leur inocuite a moyen ou long terme mais , même si j’entends une généticienne comme Mme Henrion Caude ou un virologue biologiste comme le Pr Montagnier ( entre autres ) nous mettre en garde contre une rétro transcription possible de l’ARN en ADN , je ne peux m’empêcher d’avoir des doutes à ce sujet ! La bio chimie cellulaire a ses propres règles et , même si la connaissance dans ce domaine n’est pas immuable et heureusement , la logique et notre réflexion ne suffisent pas à nous aider à trouver les bonnes réponses à nos questionnements .
En même temps , je me refuse de croire que de tels spécialistes soient tombés sur la tête de manière aussi soudaine …! On ne devient pas spécialiste a un tel niveau de responsabilité sans avoir un très haut niveau de compétence et de plus , aux vues du nombre de scientifiques internationaux mettant en doute la logique de la propagande , je me refuse également de croire que tous ces gens là soient devenus fous en l’espace d’un an !
Au moment où on prétend défendre la liberté expression, on nous prive de notre liberté de penser et d’agir selon nos propres convictions. C’est extrêmement grave. Bravo pour votre article, d’une sagesse et d’une objectivité dont chacun d’entre nous devrait faire preuve.
Merci, Rodolphe, pour ce témoignage. Je crains que nous soyons nombreux dans ce cas. Au vu de posts Facebook sur la crise empreints d’esprit critique et d’inquiétude pour les libertés publiques, une « amie » a tout simplement rompu tout contact avec moi, sans la moindre discussion, ce qui m’a fait de la peine.
Je compatis pour Théodora, c’est toujours difficile de perdre un ou une amie, et je partage complètement votre analyse.
Merci de cette lettre qui me rassérène un peu : je me sens moins seule.
Et merci pour votre merveilleux et si indispensable travail !
Merci de cette dernière lettre. Je dois avouer que votre position a bien évolué depuis le début de la pandemie et je vous en remercie. Le principe de precaution est bafouée au nom de la santé publique! Le principe d innovation a gagné, et Hypocrites ont crucifié Hippocrate.
Depuis le début de la crise j écoute Bill Gates cet apprenti sorcier dans tous les domaines (vaccins, moustiques ogm apres le Butjina Faso, c est 370millioks de moustiques ogm qui ont été lâchés en Floride pour tuer 4%des moustiques dangereux pour l homme, carnet vaccinal sous cutane, et son projet avec la suede qui a capoté envoyer des cendres de charbon depuis un satellite pour reflechir les rayons solaires et limiter le rechauffement climatique…) quand on a de l argent on s amuse bien comme Zuckerberg qui lâche 1 milliard de dollars par an pour la recherche sur la vie éternelle…
Mes parents se sont fait vacciner… ca m a sonné. Je ne crois pas déjà dans les vaccins dits classiques car pour moi c est bien l hygiène qui a permis tous les progrès que nous connaissons. Mais là on assiste à des états vrp de labos pharmaceutiques, les mêmes lois et interdictions/obligations mises en place dans plusieurs pays, sans aucune donnée scientifique attestant leurs bien fondés mais c est pas grave. Vaccinez la Terre entière comme le préconisait déjà la fondation Bill et Melinda Gates en juin 2020 (peut-être mars les videos se retrouvent) Mes parents sont + diplômés que moi, mais peut etre + obeissants. J ai toujours aimé posé des questions pour comprendre, trouver un sens, m approcher de la vérité et sur beaucoup de sujets. Mais lorsque j entends ma mère me dire qu elle ne pourra plus aider ses pensionnaires de l EHPAD par le biais de son association parce que non vaccinée et que c est la raisonnpour laquelle elle a accepté… je l ai engueulé j ai pas pu. Je lui ai dit que céder au chantage n était jamais la bonne solution. Personne lui avait mis un flingue sur la tempe et on est pas encore a l étape où non vacciné pas de retraite, pas de minimum vital, pas de travail… veillons a ce que ce pas ne soit pas franchi. Je lui ai dit c est parce que des gens vont céder pour voyager, partir en vacances, associations (de tous types) aller au stade etc… pour des petits plaisirs on ferme les yeux sur sa santé.
Bref, merci de vos interrogations et incompréhensions sur cette situation inédite, veritable fenêtre d Overton, avec une normalité inversée, respirer normalement c est être masque, aimer les autres, ne pas les voir ou se priver de leur affection. Nous ne sommes pas immortels dans cette dimension matérielle, nous n avons pas de temps a perdre, aimons nous, vivons, vibrons. Demain il sera peut-être déjà trop tard.
merci et encore mille fois merci ! je me retrouve tellement dans votre message ! j’en suis réconfortée
Cet article date du début de l’épidémie
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D’OÙ VIENT LE CORONAVIRUS?
Article inspiré d’une PUBLICATION EN MANDARIN TRADUITE par une —- JOURNALISTE CHINOISE —-, femme d’un ami habitant aux USA.
Des preuves sur l’origine du coronavirus! La vérité enfin dévoilée sur l’origine, la propagation et l’épidémie du nouveau virus.
Il y a quelques jours, l’OMS a tenu une conférence de presse de routine sur la nouvelle pneumonie coronarienne à son siège à Genève. Le chef du programme d’urgence sanitaire de l’OMS, Michael Ryan, répondait ainsi à l’attention des médias aux allégations du président américain Trump qualifiant le nouveau coronavirus de « virus chinois ».
Contrairement aux allégations sans preuves de Trump comme quoi le coronavirus est un «virus chinois», il faut bien constater que quelques temps auparavant personne n’a appelé « grippe nord-américaine » le virus H1N1. Pourtant c’était le cas, les preuves sont la…
UN PEU D’HISTOIRE :
Le projet du génome humain, le projet Manhattan de bombe atomique et le projet Apollo sont également connus sous le nom des « trois projets scientifiques ».
Le Projet du génome humain (HGP) est un projet d’exploration scientifique à grande échelle, transnational et interdisciplinaire. Son but est de déterminer la séquence nucléotidique des 3 milliards de paires de bases contenues dans le chromosome humain (dénommé haploïde), de dresser une carte du génome humain et d’identifier les gènes et les séquences qu’il contient. Le but ultime est la connaissance de l’information génétique. La stratégie, les idées et la technologie établies concernant l’étude des humains constituent une nouvelle discipline dans le domaine des sciences de la vie – la génomique, qui peut être utilisée pour étudier les micro- organismes, les plantes et d’autres animaux.
1. LES FAITS :
Par cette technologie d’édition des gènes née en 1970, les humains ont ouvert la boîte de Pandore qui contrôle l’évolution naturelle des espèces. La recherche sur le génome humain a déjà pris forme dans les années ‘70 et a pris une ampleur certaine dans de nombreux pays lors des années ‘80.
En 1984 à Alta, dans l’Utah, White R. et Mendelssohn M. ont été chargés par le département américain de l’Énergie (DOE) d’organiser une conférence professionnelle pour discuter de l’importance et des perspectives de détermination de la séquence d’ADN de l’ensemble du génome humain (Cook Deegan RM, 1989).
En mai 1985, une motion présidée par Sinsheimer, leader du DOE (Dpt Of Energy) à Santa Cruz en Californie, proposa la recherche de détermination de la séquence
complète du génome humain, c’était le projet «Human Genome Project» du département américain de l’Énergie.
La faisabilité du plan a été discutée à Santa Fe (Nouveau-Mexique) en mars 1986 et le DOE a annoncé la mise en œuvre du plan.
Le projet a officiellement démarré en 1990. Des scientifiques des États-Unis, de Grande-Bretagne, de France, d’Allemagne, du Japon et de Chine ont participé à ce projet de 3 milliards de dollars sur le génome humain.
La publication en 2001 des projets de travail sur le génome humain (le projet international sur le génome humain financé par le Fonds public et la société privée Serena Genome Corporation, chacun complété et publié séparément) est considérée comme une étape importante dans la réussite du projet sur le génome humain.
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2. SOURCE DU VIRUS ET HISTORIQUE DES RECHERCHES CONNEXES EN CHINE :
Le virus SRAS ou SARSR est apparu dans le Guangdong, en Chine, en décembre 2002.
Le SRAS a proliféré en 2003 et la Chine a commencé à étudier le virus.
Depuis 2004, l’équipe de Shi Zhengli a voyagé dans 28 provinces et villes de Chine, collecté des milliers de spécimens de chauves-souris chinoises et a coopéré avec l’équipe américaine pour effectuer une analyse génétique des virus ainsi que d’autres recherches. Elle a passé 13 ans à voyager à travers le pays chinois, à percer des trous dans tous les endroits pour attraper les chauves-souris, et a finalement démontré que le virus du SRAS provenait des chauves-souris chinoises. De fait, les partenaires de Shi Zhengli pendant ces 13 ans de recherche sur les chauves-souris comprennent l’ « American Ecological Health Alliance » et les « National Institutes of Health ».
En 2008, l’équipe de Shi Zhengli publie ses progrès et découvertes détaillés sur les chauves-souris.
Depuis 2014, la technologie d’édition de gènes CRISPR a provoqué une révolution dans la communauté scientifique et le développement de la technologie mondiale d’édition de gènes s’est accéléré.
Le 31 janvier 2015, la mise en place du Laboratoire national de biosécurité de Wuhan (Laboratoire Wuhan P4) de l’Académie chinoise des sciences a été achevée, marquant ainsi que la Chine dispose officiellement des conditions matérielles pour la recherche et l’utilisation d’agents pathogènes graves.
En octobre 2015, les chercheurs de Wuhan P4 annoncent avoir fait plus de progrès dans l’étude des virus transmis par les chauves-souris, y compris des études sur le VIH. Ils entreprennent également des recherches et des expériences communes avec les États-Unis. La Chine a ensuite été invitée par les États-Unis à rejoindre leur programme de recherche et de synthèse de virus.
Le 9 novembre 2015, l’équipe de Shi Zhengli a publié un article dans le magazine PLosPathgens intitulé « Un groupe de coronavirus de chauve-souris ressemblant au SRAS montre la possibilité d’émergence chez l’homme ».
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4. CHRONOLOGIE DE L’EPIDEMIE ET DE PROPAGATION DU VIRUS
Fuite du virus en 2019
En juillet, la base d’armes biochimiques des États-Unis à Fort Detrick a perdu contrôle de gestion du virus et a été infectée. Plus tard, l’infection s’est propagée de plus en plus.
Près de la base de Fort Derick se trouve la base d’entraînement militaire américaine pour les Jeux militaires de Wuhan. En raison de la nature cachée de l’infection virale, de nombreuses personnes infectées ne savaient pas qu’elles l’étaient. Le virus a continué de se propager de manière incontrôlée. La fuite de virus a causé la grippe de nombreux excellents athlètes et suscité leur incapacité à participer aux jeux. Même s’ils étaient encore compétitifs, ils n’étaient pas en forme. En conséquence, les États-Unis n’ont pu envoyer que des soldats de moindres qualités sportives pour participer aux jeux.
Début août, en raison de la propagation croissante du virus et de l’attention des dirigeants de haut niveau, la base biochimique de Fort Detrick a dû fermer d’urgence.
Le virus a commencé à se propager aux États-Unis en septembre, en même temps que la grippe américaine habituelle. Un grand nombre de faits montrent que la soi-disant éclosion de grippe aux États-Unis l’hiver dernier et ce printemps est en fait une épidémie mixte de grippe et de nouvelle pneumonie due au coronavirus. Cette épidémie de coronavirus était presque synchronisée avec celle de Wuhan. Cependant, par rapport au Wuhan, les États-Unis sont fortement moins peuplés et l’épidémie est moins rapide. En raison de la capacité insuffisante des États-Unis à détecter la nouvelle épidémie, cela ne s’est pas produit à temps. Le nouveau virus et la grippe ne sont pas faciles à différencier en peu de temps, car les deux types de patients présentent des symptômes similaires, des évolutions similaires et la TDM (méthode de transmission) est presque la même. Il peut donc être facile de les confondre.
En octobre, le Johns Hopkins Medical Center aux États-Unis a toutefois organisé une répétition du traitement de la peste appelée Case 201, réunissant 15 personnalités-clés des professions politiques, commerciales et médicales de divers pays, dont Avril Haynes, un ancien sous-chef de la CIA, et L’académicien Gao Fu, directeur du CDC chinois.
5. Du 17 au 27 octobre, les 7es Jeux militaires mondiaux ont eu lieu à Wuhan. Certains athlètes américains étaient malades, déjà infectés par le virus.
Le virus s’est propagé dans le Wuhan en novembre pendant que le virus continuait à se propager dans des régions moins peuplées des États-Unis. Le virus s’est largement propagé dans le Wuhan en décembre.
Le 30 décembre, le Wuhan se trouvait gravement touché et le marché des fruits de mer a été fermé.
Le premier lot de groupes nationaux d’experts du CDC est entré en action le 31 décembre.
Éclosion à grande échelle du virus dans le monde en 2020
La Chine a débuté son épidémie à grande échelle en janvier.
Le 5 janvier, la Wuhan Health et la Health Commission declaraient ne constater «aucune transmission interhumaine». Le même jour, un «centre» à Shanghai signalait que le CDC national avait détecté une transmission interhumaine de pneumonie inconnue à Wuhan (la lettre officielle soumise à la Health and Medical Commission serait transmise au CDC).
À 10 heures le 23 janvier, Wuhan a commencé à fermer la ville.
La théorie de la maladie des chauves-souris a été annoncée le 25 janvier, mais ce n’était pas la vérité.
Le 15 février, un couple de Nagoya, au Japon, s’est rendu à Hawaïpour des vacances et a été infecté par une nouvelle apparition d’un coronavirus, qui a ensuite été confirmée comme n’ayant rien à voir avec le coronavirus détecté en Chine. Le même jour, cinq personnes de Wakayama, au Japon, ont été recensées comme contaminées, ce qui n’avait rien à voir avec la Chine.
Le 15 février, le ministère des Sciences et de la Technologie a publié les «Lignes directrices sur le renforcement de la gestion de la biosécurité du laboratoire de microbiologie des virus de haut niveau», appelant à renforcer la gestion des laboratoires, en particulier des virus.
6. Après le 20 février, l’épidémie s’est propagée rapidement dans le monde. L’affirmation selon laquelle les États-Unis sont les coupables de l’épidémie a commencé à circuler. Le 22 février, la médecine chinoise a commencé à entrer sur le champ de bataille à grande échelle et l’épidémie en Chine a commencé à être efficacement contrôlée. Le 24 février, le ministère chinois de la Culture et du Tourisme a émis un rappel de sécurité pour se rendre aux États-Unis. Le 25 février, le responsable américain du CDC a émis une alerte rapide sur le site officiel, appelant divers domaines aux États-Unis à unir leurs forces et à préparer la suspension du travail et des cours. Mais le président Trump, qui a été invité à la conférence de presse, a continué d’insister sur le fait que « tout est sous contrôle ». De façon inattendue, seulement un jour plus tard, il y a eu une annonce de transmission communautaire de cause inconnue, ce qui indiquait que l’épidémie
globale du coronavirus aux États-Unis était devenue irréversible.
Le 27 février, à midi, heure de l’Est des USA, CNN News a rapporté une nouvelle stupéfiante: la première infection confirmée de cause inconnue est apparue en Californie. Cela signifiait que la pneumonie néo-corona aux États-Unis a commencé une «transmission communautaire» extrêmement dangereuse. Le 28 février, le virus s’était propagé sur six continents.
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Résumé systématique des problèmes importants liés à l’épidémie mondiale de virus
1. D’où provient la source de l’épidémie mondiale?
Des États-Unis: par accident, la plus grande base d’armes biochimiques-Fort Detrick a perdu contrôle des cultures de virus.
2. Quelle est la source du virus?
Virus SRAS + virus VIH + autres.
3. Le virus est-il produit naturellement ou artificiellement?
Édition et synthèse manuelles (virus artificiel).
4. Qui ou quelles organisations sont impliquées dans la planification, la recherche et les expériences sur virus?
Équipe américaine et équipe chinoise.
5. Le virus a-t-il été propagé intentionnellement ou non?
Par inadvertance, fuite, infection et propagation à grande échelle.
6. Quand le virus est-il apparu, quand s’est-il échappé et quand s’est-il propagé?
Survenu en juillet 2019
Diffusion en août 2019
Propagation en septembre 2019
7. Quel pays a été le premier foyer de virus?
Les États-Unis.
8. Pourquoi l’épidémie de virus n’a-t-elle pas été découverte aux États-Unis, mais en Chine?
1. Un virus grippal à grande échelle a également éclaté aux États- Unis au même moment.
2. La plupart des Américains s’attendaient au virus de la grippe qui a semblé se produire.
3. Les agences américaines compétentes et les responsables n’ont pas révélé au public que des virus nouveaux se sont propagés aux États-Unis.
4. Les institutions médicales n’y ont pas prêté l’attention nécessaire, mais le virus a continué à se propager.
5. La plupart des gens du peuple choisissent traditionnellement un traitement simple pour la grippe, ce qui a conduit à la propagation du nouveau virus
6. La Chine a découvert et pris les premières mesures, ce qui a provoqué une prise de conscience mondiale et a focalisé les regards sur la Chine en tant que premier foyer déclaré.
9. Combien de personnes le virus tuera-t-il dans le monde?
Trois réponses scientifiques:
1) Environ 9 000 ~ 12 000
2) 12 000 à 15 000
3) Environ 18 000 à 24 000.
Tout dépend des mesures de contention.
—> NDLR: Ces chiffres datent du début de la pandémie.
10. Quelle est la propagation prévisible du virus cette fois-ci?
Des pays du monde sont infectés.
11. Quand le virus prendra-t-il fin?
En Chine, ce sera vers avril.
Dans les autres pays, en juillet et août.
Certains pays peuvent continuer jusqu’en octobre environ.
12. Quel impact le virus aura-t-il sur l’économie mondiale?
sérieusement le développement économique des pays du monde entier, entraînera une série d’effondrements économiques et aura également un impact global sur la politique, la science et la technologie, la culture, les moyens
subsistance des personnes, l’éducation, etc. Cet impact sera sans précédent.
13. Quel impact cet incident aura-t-il sur la recherche future de virus?
Le monde parviendra à un consensus, signera des traités importants pertinents et contrôlera strictement la recherche virale.
Merci pour vos articles ils me font du bien car je me sens bien seule à ne pas avoir accepter le vaccin et j’aimerais savoir quoi faire pour faire changer les choses
Difficile d’être entourée de vaccinés persuadés que c’est inéluctable
Bonjour Cher Rodolphe,
Vous avez entièrement raison. Le débat devient de plus en plus compliqué, voire verrouillé. Le clivage « pour/contre » est prégnant de nos jours au point d’occulter totalement la raison et le bon sens. Je comprends votre désarroi car je le partage également. Vous n’êtes pas seul, rassurez-vous. J’espère sincèrement que votre (ex) amie réfléchira, d’autant plus que son métier (professeure en philosophie) devrait l’y inciter et qu’elle reviendra à de meilleurs sentiments à votre égard. Courage à vous. De tout cœur avec vous, Cher Rodolphe.