Chers amis,
Je n’allumais déjà plus la télé, et j’évite désormais d’allumer la radio.
Chaque tranche info semble annoncer un cataclysme sanitaire. En substance : la deuxième vague du Covid arrive ! Fuyez les plages, ô pauvres insouciants, rentrez chez vous, et n’oubliez pas de mettre votre masque en chemin !
Il est vrai que les tests se sont généralisés. Fatalement, le nombre de « contaminations » augmente : quand on cherche, on trouve.
Cependant, les choses évoluent. Il y a cinq mois, s’enfermer à double tour était le nec plus ultra de la stratégie anti-virus du gouvernement. Aujourd’hui, c’est le port du masque.
Dans les deux cas, remettre en question la pertinence de cette stratégie vous expose (m’expose) à un procès en irresponsabilité.
Le masque : je t’aime moi non plus
Le masque revient de loin.
Je rappelle que Jérôme Salomon, directeur général de la santé assénait, début mars : « Les masques n’ont aucun intérêt pour le grand public[1]».
Édouard Philippe, alors premier ministre, lui emboîtait le pas quelques jours plus tard sur TF1 : « Le port de masque, en population générale dans la rue, ça ne sert à rien[2]».
À peine cinq mois plus tard donc, le port du masque est obligatoire dans les transports publics, dans les lieux clos, et (depuis quelques jours) à l’air libre, dans presque la moitié de Paris.
135 euros d’amende si vous l’oubliez ou faites le rebelle. C’est toujours utile de le rappeler.
On a appris, hier, que le port du masque serait « systématisé » dans les bureaux à la rentrée, à moins de travailler en bureau individuel[3]. On attend encore de savoir à quel régime les établissements scolaires seront soumis.
Il est vrai que nous avons changé de premier ministre, lequel avance littéralement masqué.
En France, on aime toujours voir de nouvelles têtes à la tête du pays ; il va devenir de plus en plus difficile de les distinguer.
Je pourrais vous écrire que ce gouvernement est inconséquent. Que nous sommes gouvernés par des girouettes. Que nous sommes victimes, et c’est peu de le dire, d’une mascarade.
Mais, dans ce volte-face spectaculaire, le gouvernement ne fait que suivre le flou artistique de la recherche scientifique, et le changement de position de l’Organisation mondiale de la santé.
Ces revirements ont en fait une explication très simple : on ne sait pas grand chose de l’efficacité réelle des masques.
Que dit la science ?
Vous avez dû voir passer des images « démontrant » l’efficacité du port du masque dans le contexte d’une conversation, à grands renforts de pourcentages.
Ces schémas ont abondamment circulé sur les réseaux sociaux. Malheureusement, ils ne s’appuient sur aucune donnée scientifique viable.
Une étude sud-coréenne confirmait il y a quelques mois ce que tout citoyen s’étant informé sur le Covid sait : le virus est si petit, qu’il circule sans problème entre les mailles de ces masques, même chirurgicaux[4].
Une étude danoise, en revanche, concluait que port du masque pouvait « contribuer » à la limitation de la progression du virus[5].
Mais… comme le dénonçait un épidémiologue britannique, les conditions dans lesquelles se déroulent les expériences concluant à cette efficacité ne ressemblent guère à celles de la vie normale : contenir un virus dans un laboratoire est une chose ; dans la vie de tous les jours, c’en est une autre[6].
Et… que dit l’OMS à présent ?
Elle dit, dans un document de recommandations concernant le port du masque, d’une part que :
« Il ressort de méta-analyses de revues systématiques de la littérature que le port du masque de protection respiratoire N95 à la différence du port du masque médical n’est pas associé à un risque statistiquement significatif plus faible d’affection respiratoire clinique ou de grippe ou d’infection virale confirmées au laboratoire »
Et d’autre part, que :
« les masques de protection respiratoire N95 ou de type similaire peuvent être associés à une plus forte réduction du risque que les masques médicaux ou les masques en coton à 12–16 couches[7]»
Autrement dit : seul le masque ci-dessous semblerait vraiment efficace, et encore l’OMS elle-même convient-elle que cette « efficacité » est à prendre avec des pincettes, puisqu’il faut prendre en compte les conditions des tests en laboratoire, dont je vous ai déjà parlé.
Voyez-vous beaucoup de ces masques-là lorsque vous sortez ?
Non. Vous voyez, en écrasante majorité, des masques simples, ou des masques en coton.
Les masques, la paix sociale et le placebo
Je vous écrivais il y a quelques jours au sujet des placebos.
Oui, le masque est efficace d’une certaine manière… comme placebo.
C’est, au mieux, une mesure complémentaire de protection – si tant est que son efficacité soit un jour démontrée – aux côtés de celles, plus efficaces, de la distanciation physique, du lavage des mains.
En l’absence de traitement efficace contre le coronavirus, le masque rassure.
Malgré cela, sa généralisation pose trois gros problèmes. Trois dérives.
Première dérive : le masque détourne l’attention d’autres mesures plus efficaces
La première dérive du port du masque, c’est que son côté « rassurant » a aussi pour conséquence une « relâche » des gestes plus simples, et plus efficaces, que sont le lavage des mains et les précautions de bon sens.
Dans ses recommandations officielles, l’OMS précise en effet que « le seul port du masque ne suffit toutefois pas à assurer un niveau adéquat de protection[8]».
Ce relâchement n’est sans doute pas étranger non plus à la « reprise » dont tous les médias font un foin alarmiste.
En réalité, et je ne le répéterai jamais assez, la première mesure pour vous et vos proches est de renforcer votre système immunitaire.
Il est vrai que mettre un masque est plus simple. Mais c’est, une fois de plus, une défense moins efficace qu’un système immunitaire que l’on renforce au quotidien, notamment par l’alimentation et l’hygiène de vie.
Deuxième dérive : un désastre écologique en devenir
Vous avez vu les photos de la marée noire à l’île Maurice.
Nous sommes en train de préparer une marée bleue : du bleu des masques jetables qui jonchent les trottoirs et polluent déjà nos rivières et nos plages.
On pouvait s’y attendre. Outre que ces masques traînant partout sont à peu près tout ce qu’il ne faut pas faire si on veut éviter la circulation d’un virus dans l’air et dans l’eau, ils sont aussi une source de pollution massive, se chiffrant en tonnes de microplastiques ; et cela en quelques semaines à peine[9].
Troisième dérive : une société malade
Je n’insisterai pas là-dessus : vous avez fait probablement l’expérience aussi de la sensation d’étouffement et d’air vicié que provoque le port prolongé du masque.
Mais il y a en outre, vous le savez, masque et masque.
Les masques en tissu sont sans doute plus écologiques, mais encore moins efficaces que les masques chirurgicaux. Ils filtrent peu et deviennent des nids à microbes.
Respirer en permanence ses propres postillons et gouttelettes n’est pas la chose la plus saine du monde. Mais nous y sommes forcés à l’heure actuelle.
Il y a autre chose, et c’est une opinion personnelle : une société masquée est une société malade.
Quand, dans un espace public, on ne croise plus que des yeux sans visage – et encore ces yeux sont-ils parfois chaussés de lunettes de soleil ! – j’éprouve pour ma part un étrange sentiment de solitude, d’isolement.
La rue, les bus, les trains, les commerces, se peuplent de silhouettes se méfiant les unes des autres, regardant parfois d’un œil noir leurs voisines. On ne sait plus à qui on a affaire. Chaque passant semble se préparer à commettre un hold-up.
Ne plus avoir de visage, c’est souvent ne plus reconnaître son semblable.
On sait la place que l’expression des traits du visage occupe dans la communication non-verbale (la communication verbale étant-elle aussi compromise par le tissu et troublée par le fait de ne plus voir les lèvres) : la crise du Covid nous avait déjà considérablement éloignés les uns des autres pendant le confinement ; avec le masque, elle rend la proximité suspecte et parfois insupportable.
Alors, quoi ?
Je n’ai pas de solution. Je ne fais que noter l’absurdité de la situation dans laquelle nous nous enfonçons.
Notre seul salut, j’en suis convaincu, tient à deux choses :
- un grand courage et une solidarité accrue d’une part, malgré ces masques qui nous isolent ;
- et la confiance en nos ressources propres d’autre part, autant humaines qu’immunitaires.
Portez-vous bien,
Rodolphe
[1] DION Jacques, « D’inutile à quasi obligatoire : la comédie du masque a trop duré », Marianne, Avril 2020, disponible sur : https://www.marianne.net/debattons/editos/d-inutile-quasi-obligatoire-la-comedie-du-masque-trop-dure
[2]Ibid.
[3]Le Monde, « Le port du masque sera systématisé dans les entreprises dès la rentrée » , 18 Août 2020, disponible sur : https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/08/18/le-port-du-masque-sera-systematise-
en-entreprise-d-ici-la-rentree_6049238_3244.html
[4] DELUZARCHE Caroline, « Coronavirus : tous les masques, mêmes chirurgicaux seraient inefficaces », Avril 2020, Future Santé, disponible sur : https://www.futura-sciences.com/sante/breves/coronavirus-coronavirus-tous-masques-meme-chirurgicaux-seraient-inefficaces-2368/
[5]The DELVE Initiative (2020), Face Masks for the General Public. DELVE Report No. 1. Published 04 May 2020. Available from http://rs-delve.github.io/reports/2020/05/04/face-masks-for-the-general-public.html.
[6] DAVIS Nicolas, « Report on face masks’ effectiveness for Covid-19 divides scientists” The Guardian, Mai 2020, disponible sur : https://www.theguardian.com/world/2020/may/04/scientists-disagree-over-face-masks-effect-on-covid-19
[7] Organisation mondiale de la santé, « Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 » 5 Juin 2020 , disponible sur : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf
[8]Ibid.
[9] BOURDIER Jeanne, « Covid-19 : une crise aux conséquences écologiques masquées » Sciences et Avenir, Aout 2020, disponible sur : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/covid-19-une-crise-aux-consequences-ecologiques-masquees_146738
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Bonjour,
Je viens de terminer la lecture de votre dernière lettre « l’été masqué ».
Je suis ravie du constat que vous faites, que je fais moi-même depuis plusieurs mois déjà. Ce monde est devenu fou.
Je suis d’accord sur le fait qu’avoir un bon système immunitaire nous protège efficacement des virus et bactéries bien plus qu’un traitement chimique et plus encore ce futur vaccin qui sera probablement obligatoire. Mais big pharma ne voit pas les choses de cette façon, les politiques suivent peut-être les directives de l’OMS (et encore !) mais qui sont celles dictées par, notamment Gates et les millions qu’il verse à l’organisation. Ce sont ces millions qui font la loi et font plier les politiques.
Le traitement préconisé par le Pr Raoult a été interdit (hormis pour les cas désespérés, quelle ironie !) et
des milliers de gens, notamment les personnes âgées dans les EHPAD, sont mortes parce que cette solution ne coûte pas cher et ne rapporte pas suffisamment à Big Pharma.
J’ai écouté la dernière interview du Pr Raoult, on meurt beaucoup à Paris qu’à Marseille !!!! Comme le souligne le Pr Perronne ou encore Jean-Dominique Michel, anthropologue médical, entre 20 et 25.O00 morts auraient pu être évitées avec le protocole Raoult.
J’ai écouté sa dernière interview et il renforce la préconisation de son traitement. A Marseille, on y meurt moins qu’à Paris….. cherchez l’erreur.
Pour en revenir aux masques, je suis bien d’accord que de ne voir que le haut du visage est insupportable. De voir surtout des yeux agressifs pour qui ne porte pas le masque. Avant qu’il ne soit obligatoire, je ne le portais pas dans les magasins et surtout pas en extérieur et je voyais ces regards désapprobateurs qui semblaient me dire que je suis dangereuse pour la société quand on ne venait pas m’agresser directement, me disant que c’était obligatoire et pourquoi on m’avait laissée entrer dans le supermarché.
Vous l’avez compris, je suis contre le port du masque obligatoire. Une psychose a été créée de toutes pièces, faire peur à tout prix pour obliger les gens à porter ces foutus masques qui nous empêchent, justement, cet été, de renforcer notre système immunitaire.
Ce n’est pas une crise sanitaire mais bien une crise économique.
La tuberculose fait 1.700 000 morts chaque année. Qui en parle ? Nous demande t-on de porter des masques alors que c’est une maladie qui est hautement contagieuse ? Plus que ce coronavirus.
On a créé une scission dans cette société, entre les pro et anti masques, les liens sociaux disparaissent et les gens en viennent aux mains dans certaines circonstances. C’est intolérable.
L’interview du Dr Alexandre Henrion-Caude, généticienne brillante, est aussi très intéressante. Elle compare le port du masque à : « prenez un mouchoir, crachez 3 fois dedans et mettez-le sur votre visage toute la journée ». C’est exactement ce que l’on nous fait, on nous empoisonne en quelque sorte.
Je suis étonné, même abasourdie de voir la docilité des Français, la soumission totale.
Merci pour votre article
LE NEZ VICTIME DE LA GUERRE?
Et si c’était le nez, la cible centrale de cette « Guerre Sanitaire » ?
Lors du test PCR, une main introduit un long bâton ouaté dans les narines et le pousse profondément dans la cavité nasale. Il y a des modèles d’écouvillons souples et des modèles rigides, tous produits en Chine… Le modèle dur de cet écouvillon introduit dans la profondeur du pharynx peut faire très mal. Le manipulateur remue la tige à l’intérieur de la tête, et il peut toucher une partie très fine du crâne en contact avec le cerveau : Tout en haut de la cavité nasale se trouve un os très fin, la lame criblée d’une épaisseur de 1mm, perforée de multiples trous. Les nerfs olfactifs passent dans ces trous et rejoignent la bulbe olfactive dans le cerveau. Les tests PCR sont effectués dans la profondeur de nos têtes. Et on ne peut pas savoir si c’est sans danger…
« Rappelons que la perte d’odorat correspond à l’at¬teinte de la barrière hémato-encéphalique. Dans ce cas il est conseillé de surveiller l’apparition des troubles relatifs à la maladie d’Alzheimer dans les prochaines années. C’est ainsi qu’on peut diagnostiquer 10 ou 20 ans plus tard, cette maladie neuro-dégénérative. »
Dr. Jean-Pierre Willem
Encore une fois, le commentaire est un peu trop péremptoire. Indéniablement, il vaut mieux un masque que rien!!!! Rien n’est dual, il existe une infinité de gris entre le noir et le blanc. Car ce qui importe beaucoup c’est la charge virale, d’autant qu’une récente étude a découvert un lien de dose à effet, entre l’importance de la charge virale de contamination et la sévérité de la maladie. D’autre part, votre raisonnement est faux car le principe du port du masque généralisé est l’inverse de ce que vous et la majorité des gens pensent; le masque ne protège pas le porteur mais les autres. Cela s’appelle « la solidarité » que l’on rencontre plus souvent dans les sociétés asiatiques plutôt qu’occidentales. De plus le port du masque, je pense va plus responsabiliser les gens et les inciter à respecter tous les gestes barrières car ça les interpelle et les mobilise. Je ne défends pas le gouvernement, qui à mon sens, a fait preuve d’une gestion calamiteuse sur les premiers mois. Mais une critique systématique est tout aussi catastrophique. Bonne journée à tous et portez vous bien.
Je ne vois pas en quoi le port du masque fait oublier les autres manières de se protéger,bien au contraire
Je ne vous trouve pas assez sévère envers le gouvernement et pire encore l’OMS. Tout ce qui se passe est totalement voulu. Les faits le prouve : interdiction de prescrire la chloroquine en janvier, autorisation du revotril en ephad en mars, gonflement des chiffres des morts (dans beaucoup de pays c’est confirmé), les tests ne sont pas fiables, les personnes positives ne sont pas malades… sans compter qu’à la troisième fois pris sans masque, c’est la prison ! Nous sommes manipulés et pas pour notre bien !! Ça c’est sûr ! Quant à l’OMS, c’est devenu un organisme quasiment privé, dirigée par Bill Gates, celui-là même qui prône les vaccins… et la boucle est bouclée !
Bonjour Rodolphe Bacquet,
Je vous lis depuis longtemps, mais c’est la premiere fois que je me permets de commenter un de vos articles. Je souhaite vous remercier pour celui-ci, car je me sens terriblement seule dans ces temps d’injonctions sanitaires que j’estime contreproductives, absurdes et inutiles. Je trouve tragique de ne plus avoir acces au visage des autres, et surtout, de voir le consentement majoritaire des gens a se soumettre a une telle mesure. La liberte d’expression est depuis longtemps muselee, mais aujourd’hui et encore plus demain, il sera juge carrement irrespectueux de juste montrer son visage. George Orwell n’aurait jamais pu imaginer une telle dystopie… Je crois vivre une tres mauvaise plaisanterie, et j’essaie de ne pas ceder a l’angoisse qui s’empare de moi a chaque nouvelle annonce de mesure restrictive. Heureusement, j’ai beaucoup d’amour autour de moi pour me proteger de ce cauchemar ambiant. Mais je m’autoconfine chez moi avec les miens pour ne pas affronter ce monde masque qui se voile la face pour ne pas voir les desastres bien plus terribles que ce petit virus grippal. Comme vous le dites si bien, je porte le masque juste pour qu’on me foute la paix, car maintenant on risquera au minimum son travail si on se montre un peu recalcitrant a cette absurdite. Et je ne crains que ce ne soit que le debut d’autres mesures sinistres qui s’annoncent.
Merci en tout cas pour vos lettres, elles me font me sentir moins seule.
Continuez, je vous en remercie infiniment.
Amicalement votre,
Cristina
Je suis entièrement d’accord avec ce que vous dites. Les gens deviennent paranoïaques et se regardent de travers. Je suis à Megève pour la semaine où la mairie a instaurer le port du masque dans la ville, dans les rues, sur les places de jeu (pétanque, jeux pour enfants , …). Nous sommes au grand air et devons nous pourrir la vie avec un masque quand il suffirait que les gens gardent leur distance et se lavent bien les mains. Port du masque dans des endroits fermés j’accepte mais au grand air quelle exagération! À Megeve le masque est aussi obligatoire pour entrer au centre sportif jusqu’au vestiaires mais pas nécessaire autour des piscines où s’agglutinent enfants et parents sans distance règlementaire !!! Où est la logique? Vivement la fin de toute cette mascarade.
Le gouvernement et l’OMS ont prouvé, mois après moi, qu’ils ne méritaient plus d’être écoutés mais bien écartés. Les contraventions sont illégales (Cf. Me Brusa sur Youtube) :
https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/07/IllegaliteAmendes.pdf
entièrement d’accord avec vous ; j’ai 85 ans et d’après les médias nous sommes les plus fragiles (donc s’enfermer …) je regrette mais je n’ai pas de maladie, je prends les précautions d’usages dans les magasins mais je retire mon masque dès que je suis dans la rue (sinon j’ai des difficultés à respirer)
Bien d’accord avec vous! La guerre civile n’est pas loin. Un argument de plus pour diviser les gens. La peur et la colère sont leurs armes. Dieu nous en garde!
Bien à vous
Lors d’une promenade au bord d’un lac (Ambarès en Gironde) j’ai croisé d’autres promeneurs eux même non masqués. Quel plaisir de se dire bonjour avec un large sourire!
Nul doute que cette « mascarade » est montée de toutes pièces pour asservir les populations. Pour preuve, tous les asservis, sans exception, se détournent de mes regards interrogateurs, inquisiteurs ou compassionnés (selon mon ressenti général et spontané de la personne que je croise). Personne ne me regarde en face, tous ont des yeux tristes. Même les jeunes. À tel point que je me demande s’ils réfléchissent à quelque chose. Pourtant, à s’intérioriser ainsi, il doit bien se passer quelque chose dans leur tête, parsambleu :-P
Tout à fait d’accord. Et que penser des sourds et malentendants qui lisent sur les lèvres ?
Merci … enfin un discours qui fait une analyse juste des faits.
Quand comprendrons nous que personne ne sait rien de ce virus y compris les scientifiques qui nagent.
Quelques uns ont eu le bon goût de se taire après avoir confié leur ignorance…
Cessons de vouloir savoir ce qui va se passer dans les prochains mois.
Soyons prudents et vigilants dans notre quotidien et conservons notre bon sens et sang froid…..cela me semble être la meilleure attitude possible Fermons nos médias en quête de scoops démoralisateurs
Multiples pathologies Graves.. et…80 ans
Bonjour
Je trouve votre article très pertinent
Je suis restauratrice et j’avoue Que je n’en peu plus🤪le soir vers 10 h je craque et je l’enlève j’étouffe et moi qui ne savais pas ce qu’était Les maux de têtes je l’ai appris
En effet je demande Que mes clients passent au gel hydre alcoolique cela me parait plus logique
Merci pour vos message ils me font du bien
Antoinette