Chers amis,
Si vous avez un peu suivi les politiques sanitaires des gouvernements depuis l’apparition du Covid, vous savez qu’un pays a un « train d’avance » sur tous les autres : c’est Israël.
Israël a été le premier pays à :
- vacciner en masse sa population, début 2021 ;
- instaurer un pass sanitaire (le « green pass ») conditionné à la vaccination, dès mars 2021 ;
- entamer une campagne de 3ème dose, obligatoire depuis septembre 2021 pour conserver le bénéfice du pass.
J’observe donc attentivement l’évolution de ce pays, lancé à toute allure dans une désespérante course en avant vaccinale…
… Alors même, paradoxalement, que c’est aussi Israël qui nous a rapidement appris que les vaccins anti-Covid n’empêchaient ni le virus de circuler, ni les patients de développer des formes graves de la maladie.
Vers la 4ème dose et au-delà
Israël a, je vous en parlais dans une précédente lettre, d’ores et déjà programmé une 4ème dose, annoncée en septembre dernier[1].
Le Dr Arnon Afek, membre du comité de conseil vaccinal associé au ministère de la santé israélien, aurait déclaré il y a quelques jours :
« Ceux qui pensent que nous n’aurons pas besoin de doses de rappel supplémentaires se trompent. Nous aurons besoin de la 4ème dose, de la 5ème dose, de la 6ème dose, de la 7ème dose.[2] »
Ce médecin, directeur du plus grand hôpital d’Israël, envisage ces doses de rappel comme une muraille pour se protéger des variants qui ne manqueront pas d’apparaître, selon lui, dans les pays africains, peu vaccinés.
Bref, c’est le projet d’une vaccination sans fin qui se dessine de plus en plus nettement en Israël.
Et ne vous y trompez pas : l’argument « africain » est tout à fait adaptable à la France et à l’Europe.
Car pour argumenter sur le mode de la « menace épidémique », il suffit de peu. Voyez ce qu’il se passe outre-Manche.
En Angleterre, il est de bon ton d’avoir peur d’Omicron
L’Angleterre tremble : Omicron commence à se propager de façon spectaculaire.
Vous le savez, on s’y attendait.
Le variant serait déjà responsable de 40% des contaminations diagnostiquées à Londres[3]. Le nombre de contaminations doublerait tous les deux à trois jours.
Le premier ministre Boris Johnson parle de « raz-de-marée » et a pris prétexte du « premier mort officiel contaminé par Omicron » pour lancer sa campagne de 3ème dose vaccinale.
« Premier mort », cela fait sensation : cela sous-entend qu’il y en aura d’autres, c’est sûr.
Mais un mot ici à propos de ce « premier mort contaminé par Omicron », dont vous avez probablement déjà entendu parler aux infos.
Ce dont vous n’avez pas entendu parler, c’est de :
- son âge ;
- sa condition physique (avait-il des comorbidités ?) ;
- son statut vaccinal (et si on ne communique rien à ce sujet, il y a fort à parier que, à l’instar de la majorité des Britanniques, il était doublement vacciné) ;
- la cause de son décès.
Car on parle bien de « premier mort contaminé par Omicron »… et non de mort provoquée par Omicron. Il y a tout de même là une sacrée nuance, qui nous rappelle les grandes heures des décès abusivement attribués au Covid lors de la première vague.
On peut s’étonner que l’Afrique du Sud, où sévit le variant Omicron depuis plusieurs semaines, ne déplore aucun mort, alors que la Grande-Bretagne, si.
Ne connaissant rien de ce décès, j’en suis réduit à observer deux choses : l’Angleterre a une population bien plus âgée et malade que l’Afrique du Sud… et également bien plus vaccinée.
Autrement dit… une population plus fragile.
2 doses de vaccin sont inefficaces, c’est désormais officiel
Face à ce « raz-de-marée » annoncé par Boris Johnson (avec le sens de la mesure qu’on lui connaît), le premier ministre britannique l’a avoué tout net lundi soir : « je crains qu’il ne soit désormais clair que deux doses de vaccin ne suffisent pas pour assurer le niveau de protection dont nous avons tous besoin [4] ».
Doublement des cas toutes les 48h, premier mort étiqueté Omicron annoncé en grande pompe, les conditions sont réunies pour relancer la grande machine anxiogène, terreau nécessaire à l’incitation massive à la 3ème dose.
Ça marche : en Angleterre, des files d’attente de plusieurs heures se sont formées devant les centres de vaccination.
Personne ne semble s’émouvoir de cet aveu d’inefficacité de deux doses vaccinales à peine six mois après la seconde injection.
Les grands médias eux-mêmes ne s’en cachent plus : d’après le Figaro[5], la 3ème dose ferait passer la protection contre Omicron de 20% (avec deux doses) à 70%.
Les deux questions auxquelles ne répondent ni le dirigeants – Boris Johnson comme Emmanuel Macron – ni les médias, c’est :
- la dangerosité d’Omicron (qui, je le rappelle, n’est en rien corrélée à sa contagiosité) justifie-t-elle ce déploiement martial de vaccinations ?
- combien de temps cette 3ème dose sera-t-elle efficace d’après eux ?
Car nous y venons : rien n’indique, dans la « logique » actuelle (notez les guillemets) que cette dose sera la dernière.
Comme le suggèrent déjà les responsables Israéliens.
Vaccin ou… traitement ?
Dans ma lettre de vendredi dernier, j’ai insisté sur le fait qu’aucun vaccin ne nécessite normalement plus de 3 doses maximum pour être efficace – à l’exception du vaccin contre la grippe, dont la formule change chaque année.
Les vaccins anti-Covid, avec d’une part leur efficacité nulle en termes de contagion et de contamination, et d’autre part leur efficacité fragile et temporaire en termes de protection des formes graves, sont un cas de figure inédit en épidémiologie et immunologie.
Mais pas du tout en médecine !
Car un produit pharmaceutique que l’on est contraint de prendre régulièrement pour éviter ou contenir les effets d’une maladie, cela existe, et s’appelle un traitement.
Le diabétique qui doit s’injecter quotidiennement de l’insuline, le malade du sida en trithérapie pour combattre les effets du VIH, le patient auquel son médecin a prescrit des statines dans l’objectif de faire baisser son cholestérol, sont sous traitement.
Vous pouvez prendre le problème sous toutes les coutures : un produit pharmaceutique prescrit régulièrement, qu’il se prenne par voie orale, sous-cutanée ou autre, est un traitement, ni plus ni moins !
Et à qui prescrit-on un traitement ?
Réponse : à un malade.
… tandis qu’un vaccin est, lui, injecté pour éviter de tomber malade.
Ma conclusion est que les personnes vaccinées qui cèdent à l’injonction de la troisième dose, puis après elle de la quatrième, puis de la cinquième, de la sixième, septième… acceptent d’être considérées par nos dirigeants comme des malades à mettre sous traitement.
Cela fait donc, dans le cas de la France, un réservoir de 90,6 % de la population « malade », puisque c’est la proportion de citoyens de plus de 12 ans vaccinés[6] :
21,1 % des Français – soit 1 Français sur 5 – ayant reçu leur dose de rappel sont par conséquent, aux yeux de n’importe quel médecin honnête, maintenant sous traitement.
Cela est d’une ironie mordante… puisque parallèlement aucun réel traitement contre le Covid n’est officiellement accepté en France.
Tous des malades !
Notre société est malade.
Pas malade du Covid.
Mais malade psychiquement, et spirituellement.
C’est mon ressenti, et mon opinion… et des données les confirment : il y a deux semaines, le journal Le Monde titrait sur la dégradation de la santé psychique des Français, notant le haut plateau atteint, depuis 18 mois, des états anxieux et dépressifs, du recours aux antidépresseurs et des hospitalisations pour tentative de suicide[7].
« Les données s’empilent et se recoupent : la santé mentale des Françaises et des Français s’est détériorée avec la crise sanitaire. Un an et demi après le premier confinement, on ne constate pas de retour aux niveaux connus avant la pandémie.
Le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), publié le 23 novembre par l’agence Santé publique France (SPF), est consacré aux états anxieux et dépressifs des actifs qui demeurent à des niveaux élevés tout au long de l’année 2020. Les auteurs de ce focus redoutent que la santé mentale fragilisée des Français devienne un « problème de santé publique ». »
Le climat de restrictions tous azimuts, la polarisation des « pour » et « contre » le vaccin, les familles brisées et les amitiés brouillées par la tension, les annonces anxiogènes, font que nous avons bien plus de chances, en réalité, de mourir de peur ou de désespoir, que du Covid.
Oui, à mon sens, notre société est malade au point d’avoir complètement perdu « la tête ». Ou, si vous préférez, le sens commun, et le sens des priorités.
Le fait que nos gouvernements occidentaux se dirigent vers un traitement sans fin de leurs concitoyens est comme la confirmation, et la matérialisation, de cette maladie.
Nous ne sommes plus considérés comme des citoyens, mais comme des patients à traiter.
Comme des malades que l’on soumet à un traitement prétendument « pour notre bien ».
Tout cela est déprimant, et infantilisant… littéralement.
Puisque ces mêmes gouvernements entendent désormais appliquer le même traitement à nos enfants.
Jean Castex n’a-t-il pas déclaré que la vaccination des 5-11 ans était désormais selon lui une « nécessité »[8] ?
Nécessité statistique, oui : c’est en effet ce qui explique la distinction entre les 77,5% de la population « totale » vaccinée (qui ne comprend pas les moins de 12 ans) et des 90,6% de la population « éligible » vaccinée (+ 12 ans).
Bientôt cette population « éligible » sera donc répertoriée à partir de 5 ans.
Une société qui prétend non seulement vacciner la part de ses concitoyens les moins exposés aux formes graves du Covid, mais entraîner dans sa folie ses enfants à partir de 5 ans est bel et bien une société malade.
L’expérience de Calhoun dont je vous parlais dimanche dernier me rappelle que le moment où Univers 25 a tourné au cauchemar a eu pour « symptôme » le fait que les souris adultes s’attaquaient aux souriceaux… et même les mères à leurs petits.
Notre société est malade, mais le traitement dont elle a besoin n’est pas un vaccin expérimental.
La solution, à votre avis ?
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
Sources :
[1] La rédaction. (06.09.2021). Israël envisage une 4ème dose de vaccin. Est-ce que ce sera le cas en France ? Nice-matin. https://www.nicematin.com/faits-de-societe/israel-envisage-une-4e-dose-de-vaccin-est-ce-que-ce-sera-le-cas-en-france-712508
[2] Captaindaretofly (13.12.2021). Israel says Covid-19 vaccine booster shots will be needed FOREVER. The exposé. https://dailyexpose.uk/2021/12/13/israel-says-covid-19-vaccine-booster-shots-will-be-needed-forever/
[3] De la Grange A (13.12.2021). Royaume-Uni : une digue vaccinale face au « raz de marée Omicron ». Le Figaro. https://www.lefigaro.fr/sciences/royaume-uni-une-digue-vaccinale-face-au-raz-de-maree-omicron-20211213
[4] Sciences et Avenir (13.12.2021). Covid-19 : après la mort d’une personne due à Omicron, le Royaume-Uni mise sur la vaccination massive. https://www.sciencesetavenir.fr/sante/covid-19-un-mort-du-a-omicron-au-royaume-uni-qui-mise-sur-la-vaccination-massive_159794
[5] Cf. note 3
[6] Covidtracker, Vaccin Tracker. Combien de français ont été vaccines contre la Covid19? https://covidtracker.fr/vaccintracker/
[7] Deroeux I (29.11.2021). Quelles sont les données qui montrent la degradation de la santé psychique des Français? Le Monde. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/11/29/quelles-sont-les-donnees-qui-montrent-la-degradation-de-la-sante-psychique-des-francais_6104060_4355770.html
[8] Desmonceaux J (13.12.2021). Covid-19: pour Jean Castex, la vaccination des enfants est désormais “une nécessité”. Bfmtv. https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-pour-jean-castex-la-vaccination-des-enfants-est-desormais-une-necessite_AN-202112130084.html
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
ET oui la vague de vaccination continue ,et rien ne s.ameloire , pourquoi continuer a vacciner , ?on parle D,ISRAEL le pays le plus vaccine ,mais le virus est toujours la ,eh bien savez QU,UN SCIENTIFIQUE AMREICAIN ,et un chercheur ISRAELIEN penchent pour ,l,utilisation de la vitamine C et D DANS LA LUTTE CONTRE LA CORONAVIRUS la voie est entrain de s,ouvrir vers la disparition du virus , dans un progamme que j,ai difuse en 2020 jus qu,a ce jour contre le virus il est dit ceci pour empecher la propagation du coronavirusil faut utiliser un coktail de vitamines.mais pas n,importe lequel, J,ai proposer ce programme faisant partit d,un programme que j,avais utilser pour permetre a une jeune femme atteinte d,une panencephalite sclerosante subaigue de continuer a vivre (,probiotiques ,vitamine C D3 E et F) entre autre, la vitamine F se trouvent dans les huiles de lin de tournesol et de germe de ble biologique premiere pression a froid ,bonne route.
Bonjour, je ne vous connaissais pas jusqu’à maintenant et j’ai lu votre article. Vous êtes hélas dans le déni complet : un virus, à l’instar des êtres vivants, évoluent. Un anticorps a pour but de cibler un virus spécifique. Vous évoquiez le cas de la grippe ou une vaccination constante est nécessaire pour s’en protéger et cette idée semble être confirmée. Hors, vous n’en faites rien face au covid. Pourtant c’est aussi une maladie. La vaccination contre la souche première ainsi que les premiers variants à démontré par le biais de données brutes une baisse des contaminations. La mise en place des confinement à également provoqué la même décrue. Nous avons affaire à une maladie ayant une évolution énormément rapide et dont les premiers vaccins ont moins voire plus d’effet du tout ( vu que leurs rôles étaient de faire produire des anticorps face aux premiers variants spécifiquement ). Tant qu’on ne fera pas front tous ensemble, le virus se fraye un chemin face aux anciens vaccinés et aux non vaccinés, mutant, évoluant à chaque contamination, rendant en conséquence les ‘anciens’ anticorps inefficaces.
Bonjour Rodolphe,
Je suis une lectrice régulière de vos lettres et, tout comme vous, je pense que ce monde est fou. Je ne comprends pas que les personnes de mon entourage ne s’en aperçoivent pas.
Je ne suis pas vaccinée contre le Covid et je ne me ferai pas vacciner (alors que j’ai tous mes autres vaccins à jour).
Je suis abasourdie devant l’aveuglement et la confiance des gens qui sont prêts à tout et qui perdent toute notion de précaution et de discernement.
Depuis le Covid, dans ma famille, je suis perçue comme le mouton noir, l’originale qui ne veut pas se plier aux règles et qui met la vie des autres en danger… je trouve très inconfortable et injuste de devoir me justifier constamment devant les accusations véhémentes dont je suis l’objet.
J’aspire à une vie plus apaisée et sereine… le climat actuel est loin de cet idéal…
En tout cas, merci pour vos messages pleins de bon sens. Cela rassure de voir que je ne suis pas le seul mouton noir…
Merci Rodolphe pour vos articles, pour vos points de vue sur ce que nous vivons qui n’a pas de nom et pour la pétition que vous avez lancée…toutes ces réactions me redonnent un peu d’espoir
Je suis surpris de l’ignorance de tous ces spécialistes de la santé invites dans les médias. Et pourtant depuis plus d’un siècle que l’on vaccine toutes sortes de maladies, rien, aucune étude indépendante digne de ce nom n’a prouvé l’efficacité d’un vaccin a stopper la maladie. Mais l’affaiblissement du virus et les défenses immunitaires des organismes ont suffit à l’arrêt de la maladie en question.
Par contre : informer, prévenir, tester et surtout bien se soigner dès les premiers symptômes me semblent relever du simple bon sens. Il existe au moins une cinquantaine d’ouvrages sérieux qui pourraient éclairer un tant soit peu nos politiciens et nos éminences grises médicales. Hélas, le loby « big pharma » veille au grain. (à engranger).
Bonjour,
J’apprécie beaucoup vos analyses, et je les partages…
Ce qui est remarquable, c’est que Monsieur Castex, nous dit ce qu’il faut faire,
pour ne pas être contaminés alors que lui même là été !!!
Bien cordialement.
Le Labousse.
Bien d’accord avec cette analyse. Le principe de précaution et la judiciarisation de la société nous emmènent dans un monde invivable. Il serait temps que les populations se réveillent et disent Stop à ce délire collectif. Comment faire ?
Cette attitude est dangereuse pour vos lecteurs dont j’étais jusqu’alors, et devrait relever de sanctions car elles mettent en risque la vie d’autrui, y compris des personnes qui par une prédisposition ou fragilité peuvent être cas contact. Vraiment, cela suffit !
Votre attitude de simplification et désinformation constante avec des recherches de benefices
et qui s’accentue est pour le moins rresponsable,
Vos articles sont très intéressants
Merci de nous permettre de lire des lignes de personnes sensées c’était à se demander si c’était nous qui étions dans l’erreur car tous autour de nous sont dans la paranoïa de la covid tous ou presque ont déjà leur 3ème dose c’est fou d’être des moutons de panurge à ce point.
Je me permets de vous raconter ce qui m’est arrivée il y a qq semaines.
J’étais patiente d’un cabinet dentaire depuis plus de 30 ans et mes 4 enfants y sont passés aussi. Mon dentiste est parti en retraite fin 2019. Il y a qq semaines j’ai eu un abcès avec une molaire couronnée comme c’était en fin de semaine je me suis mixée des clous de girofle que j’ai appliqué sur la gencive pour calmer la douleur. Ça a super bien fonctionné mais j’ai préféré consulter donc 1er rdv avec le nouveau.
« Avez vous des pathologies, des traitements etc » « je fais juste un peu d’hypertension « »vous prenez du … » la il me cite qq médicaments contre l’hypertension »
« Non je prends un EPS olivier aubépine « »ah oui je vois » facon un peu ironique que je ne relève pas. Conclusion de la 1ere rencontre après une radio: préférez vous l’extraire ou la soigner? Ce a quoi je reponds si elle peut être soignée je préfère. Donc rdv pris la semaine suivante pour 1h de soin.
La semaine suivante il me dit qu’après avoir montré la radio à ses consoeurs il faut l’extraire. Ok pour l’extraction. Pendant l’extraction je lui signale qu’il appuie fortement sur la dent d à côté « c’est normal » okje ne dis plus rien. Rdv pris pour le 3 dec.
Malheureusement arrivée chez moi en notant sur l’agenda, je n’étais pas disponible donc j’appelle en laissant mon message.
Le soir qq m’appelle pour changer le rendez-vous et je signale que j’ai l’impression que ma dent (poussée) n’est plus tout a fait à sa place « ce n’est pas possible » qq jours après je suis obligée de changer encore la date du rendez-vous. Je rappelle redis mon message sur le repondeur et je mentionne tjs le problème de ma dent.
Qd la personne me rappelle on reprend Rdv et parle de mon problème et là elle me redit que c’est impossible que si je ne suis pas contente du nouveau dentiste je peux aller ailleurs car ils ont suffisamment de travail.
Je me présente au jour du rdv « installez vous » « alors vous avez un problème » » oui »et j’explique en disant aussi que je n’avais pas apprécié la réponse de la secrétaire qui s’avérait être son assistante.
« On va voir ça » il me fait ouvrir labouche puis se redresse et me dit texto »de toute façon je n’arriverai pas à vous convaincre j’ai tout de suite cerné votre profil de ne pas prendre de médicaments que j’aurais des problèmes avec vous » sur ce je lui reponds » c’est du delit de sale gueule » » non madame » et il me présente une feuille qu’il signe et me dit au revoir.
J’en ai déduis qu’il avait bien prémédité de me mettre dehors. Tout cela pcq je ne prends pas de médicament il faut croire « sérieux » pour traiter mon hypertension !
Vous êtes un aveugle menant des aveugles. C’est vraiment triste d’être éduqué et de nier les vrais statistiques et faits constamment avérés concernant la vaccination. Vous êtes de plus particulierement dangereux de par votre éloquence. J’espère que votre auditoire reviendra à la raison
Notre société est malade, mais le traitement dont elle a besoin n’est pas un vaccin expérimental.
La solution, à votre avis ?
Le plus grand médecin du monde entier a la solution et les moyens de la mettre en oeuvre. Le lien suivant vous donnera quelques éléments de réponse.
Bonne lecture
Fred
https://www.jw.org/fr/biblioth%C3%A8que/rubriques/divers/aide-bible-monde-post-pandemique/
Merci pour toutes ces infos sont essentielles. Le problème de notre santé et de sa gestion ne commence t’ils pas avec la base erronée de la recherche qui est l’expérimentation animale. Pratique pseudo-scientifique archaïque et cruelle qui a confisqué d’autres voies de recherche . Pro Anima, Antidote soutiennent des chercheurs éclairés qui travaillent pour remplacer le modèle animal défendu par Big Pharma et la pensée dominante.