Chers amis,

Les températures ont chuté ces dernières semaines et vous avez sans doute allumé le chauffage chez vous.

Si vous êtes un peu frileux, il y a même des chances pour que vous ayez monté un peu trop le thermostat.

Vous allez voir que pour préserver votre sommeil et votre santé, il vaut mieux le faire redescendre.

Je vais vous dire aussi :

  • tout ce que vous devez savoir pour vous chauffer sainement
  • et pourquoi, plus encore que la température, vous devriez surveiller le taux d’humidité de votre logement.

À quelle température chauffez-vous vos pièces ?

Pour votre santé, la bonne température dans votre logement doit globalement être comprise entre 17°C et 19°C quand vous l’occupez.

Plus précisément :

  • à 17°C dans l’entrée, les couloirs ou les toilettes ;
  • à 19°C dans les toutes les autres pièces de vie : cuisine, salon, bureau…
  • jusqu’à 21-22°C maximum dans votre salle de bains[1] : c’est la seule pièce où vous pouvez éventuellement chauffer un peu plus, pour votre confort lorsque vous sortez de la douche.
  • Et enfin, entre 16°C et jusqu’à 18°C maximum dans votre chambre : selon le Centre du sommeil de l’Hôtel-Dieu de Paris[2] : au-delà de 18°C, votre sommeil court plus de risques d’être perturbé.

La raison est simple : notre température corporelle chute naturellement de 1°C à 2°C la nuit.

Cela fait partie de notre rythme biologique normal et du passage de notre organisme du mode « veille » au mode « sommeil ».

La fraîcheur a un effet vasoconstricteur, qui favorise le ralentissement de la circulation sanguine et l’entrée dans le sommeil.

Notre corps atteint sa température la plus froide entre 2h et 5h du matin : il se regénère alors en entrant en « mini-hibernation ».

Si vous chauffez trop votre chambre, vous entravez ce mécanisme naturel, et risquez d’avoir des nuits moins reposantes et de dérégler votre horloge interne !

Attention, il existe deux exceptions : si vous dormez en couple, la température idéale de votre chambre doit plutôt avoisiner les 16°C… en raison de la chaleur dégagée par le corps de votre partenaire.

À l’inverse, dans la chambre d’un bébé ou d’un enfant en bas âge, la température doit être plus élevée car leur corps se réchauffe moins bien. Les pédiatres recommandent d’y maintenir une température entre 18°C et 20°C, été comme hiver[3].

Baissez la température pour augmenter votre « graisse brune »

Vous n’êtes toujours pas convaincu(e) et pensez qu’il est plus confortable de monter le thermostat jusqu’à 19°C ou 20°C ?

Sachez qu’en abaissant la température de votre chambre à 18°C, vous pourriez doubler en un mois votre volume de graisse brune selon les scientifiques[4].

La « graisse brune » ?

C’est une « bonne graisse » très présente chez les nourrissons, les petits mammifères et tous les animaux qui hibernent. Elle permet de maintenir une température stable dans tout le corps.

Les scientifiques ont longtemps cru que ce tissu, localisé dans le cou, au-dessus des clavicules et près de la colonne vertébrale et du cœur, disparaissait après l’âge d’1 an.

De récentes études[5] prouvent aujourd’hui le contraire : il est possible d’augmenter notre quantité de graisse brune en dormant dans une atmosphère plus fraîche et en frissonnant.

Cette « bonne graisse » a la particularité de « s’activer » avec le froid et de brûler énormément de calories ! Elle aiderait donc à maigrir et peut s’avérer très précieuse pour vaincre l’obésité et le diabète.

Comment bien régler vos radiateurs

Concrètement, comment faire pour avoir la bonne température dans chacune de vos pièces ?

Cela peut paraître bête, mais je vois beaucoup de personnes qui utilisent mal les vannes des radiateurs.

Il ne sert à rien de les mettre toutes sur 5 au retour de votre week-end en espérant que la pièce se réchauffe plus vite ! Ce n’est pas la fonction de ces vannes : cela ne chauffe pas plus vite mais jusqu’à une température plus élevée. Exactement comme un four !

Si vous disposez d’un thermostat centralisé comme il s’en fait de plus en plus aujourd’hui, sachez que celui-ci va se baser sur la température de la pièce dans lequel il est installé.

Voici alors mes conseils :

  • On recommande d’installer le thermostat centralisé dans une pièce de vie comme le salon, et de mettre les vannes des radiateurs de la pièce dans laquelle il se trouve sur 5 (grandes ouvertes, c’est préférable pour éviter que les vannes ne se grippent). Il n’y aura pas de risque de surchauffe, car c’est le thermostat qui limite le chauffage à la température demandée.
  • Dans les chambres, mettez les vannes sur 2, les radiateurs chaufferont alors seulement à 16-17°C. Dans la chambre des enfants, ou si un enfant joue dans votre chambre, augmentez la vanne sur 3, pour atteindre les 20°C.
  • Dans la salle de bain, ouvrez la vanne de votre radiateur jusqu’à 3 ou 4 quand vous l’utilisez, selon votre ressenti et le confort recherché.
  • Si vous avez un thermostat manuel, pensez à baisser la température à 15°C chaque fois que vous sortez et aux alentours des 12°C à 14°C en cas d’absence prolongée de plus de 24 heures. Car non, contrairement à un mythe tenace, il n’est pas plus économique de laisser le chauffage tourner à la température désirée la journée pour « maintenir la température » ! Au contraire : la quantité d’énergie « perdue » par la déperdition normale de la chaleur est nécessairement plus grande.
  • Enfin même si vous vous absentez très longtemps, n’éteignez jamais complètement vos radiateurs : mettez-les sur la position antigel (souvent en forme de flocon de neige : *), qui permet de chauffer si la température descend sous les 7°C et évite que les tuyaux n’explosent.

Un dernier conseil pour ce qui est des radiateurs : ils doivent toujours être dégagés de tout obstacle. Des meubles ou de lourds rideaux devant un radiateur empêchent l’air chaud de se répandre dans la pièce et risquent d’induire en erreur la détermination de température du thermostat. 

Le taux d’humidité : tout aussi important que la température !

Quand on pense au chauffage, on pense à la température, mais on oublie un facteur tout aussi important : le taux d’humidité.

Il y a une règle d’or : quelle que soit la pièce, le taux d’humidité doit toujours être compris entre 40% et 50%. L’idéal étant d’atteindre les 50%.

  • Au-dessus de 50%, l’air est trop humide : vous risquez de voir se développer des moisissures. En petites quantités, cela ne pose d’ordinaire pas de problèmes. Mais si l’humidité dépasse largement le seuil des 50%, les moisissures seront présentes chez vous de façon importante, sous formes de taches ou de spores ; elles peuvent provoquer des troubles respiratoires, des allergies cutanées, des yeux irrités, voire des intoxications plus générales (fièvre, frissons, vomissements, fatigue…).

En dessous de 40%, l’air est trop sec, il assèche vos muqueuses et les fragilise : votre gorge, vos yeux et votre peau peuvent s’irriter et vous êtes plus à risque de développer des maux de tête, une toux sèche, des maladies ORL comme des rhumes ou des sinusites, ou des problèmes respiratoires comme des bronchites[6],[7] ;

Comment atteindre les 50% d’humidité chez vous

Le problème en automne-hiver, c’est souvent l’air sec.

D’abord parce que le fait de chauffer assèche l’air, ce qui n’est pas sans danger pour votre santé. C’est une raison de plus qui doit vous inciter à ne pas surchauffer chez vous !

Ensuite parce que contrairement à ce qu’on pourrait penser, plus il fait froid dehors, plus l’air en général est sec.

C’est l’une des bases de la physique thermique qui explique cela : l’air à 30°C peut contenir 31 grammes d’eau par mètre cube, mais l’air à 5°C ne pourra contenir au maximum (quand l’humidité relative est de 100% et que l’air est saturé d’eau) que 7 grammes d’eau par mètre cube.

Vous devez donc particulièrement veiller au taux d’humidité chez vous en automne-hiver.

Si votre thermostat n’indique pas le taux d’humidité, je vous conseille vivement d’investir dans un hygromètre. On en trouve pour une quinzaine d’euros dans le commerce.

Si vous constatez que le taux d’humidité est inférieur à 40% chez vous, la solution la plus simple est d’installer un humidificateur d’air dans votre salon et votre chambre.

Mais des solutions plus économiques et naturelles existent aussi.

Un vieux truc de grand-mère est tout simplement de placer de petits récipients d’eau à côté des radiateurs : l’eau s’évaporera sous l’effet de la chaleur et humidifiera la pièce. Il faut alors penser à les reremplir au quotidien.

Vous pouvez également placer chez vous des plantes vertes reconnues pour humidifier l’air grâce à leur « transpiration », en plus de purifier l’air en absorbant le formaldéhyde et d’autres substances toxiques.

La fougère de Boston, une des meilleures plantes humidifiantes qui soit.

Le spathiphyllum, le schefflera, la fougère de Boston, le Pothos, le Gerbera et l’Areca dypsis lutescens, sont connues pour être d’excellentes plantes humidifiantes.

En plus d’être une excellente plante dépolluante, le Pothos aide à faire monter le taux d’humidité de votre intérieur

Peut-on se chauffer au bois sans polluer ?

Au gaz, au fioul, au bois, électrique, solaire, pompe à chaleur, chaudière individuelle ou collective…

Il existe aujourd’hui une grande diversité de moyens pour vous chauffer.

Tous présentent des avantages et des inconvénients, qui dépendent en grande partie de la nature de votre logement, de son environnement et de votre budget.

Pour ma part, j’ai toujours trouvé le feu de cheminée, avec sa chaleur douce, ses flammes, ses crépitements qui rythment mes lectures et son petit cérémonial pour « changer la bûche » beaucoup plus réconfortant.

Face à l’envolée des prix de l’électricité et du gaz, le bois est en plus actuellement le mode de chauffage le plus économique, le plus traditionnel, utilisant une énergie renouvelable (même si pas tout à fait renouvelée !).

Seulement voilà…

La cheminée traditionnelle, « à foyer ouvert », ne peut pas devenir la seule source de chauffage de votre logement et doit un rester un « chauffage plaisir ».

Son rendement est très médiocre : lors de la combustion d’une bûche, 85% de l’énergie part dans les fumées[8].

Surtout, les cheminées jouent un rôle loin d’être anecdotique dans la pollution de l’air : « 2 heures de feux de cheminée équivalent à 2 000 km parcourus avec un vieux diesel en termes d’émissions de particules », a indiqué récemment le ministère de la Transition énergétique[9].

Cela m’a choqué mais la réalité des chiffres est là : les 6,5 millions d’appareils au bois en France émettent plus de deux fois la quantité de particules fines rejetées dans l’air par les voitures[10].

Alors doit-on s’interdire le chauffage au bois, comme entend le faire le gouvernement dès 2022 en interdisant « la construction de nouvelles cheminées à foyer ouvert »[11]  ?

Pas tout à fait, d’abord parce que l’interdiction ne vise que les cheminées à foyer ouvert, et que les cheminées à foyer fermé ont un rendement énergétique beaucoup plus intéressant (entre 70 et 85%) et émettent entre 3 à 8 fois moins de particules[12], parce qu’elles permettent une combustion beaucoup plus complète du bois.

Si vous possédez déjà une cheminée, vous pouvez la transformer en « insert » fermé, avec une vitre de protection et une enceinte de combustion.

Pour moins polluer, il y a quelques astuces à connaître :

  • Toujours utiliser du bois bien sec ;
  • Recharger en bois dès qu’il n’y a plus de flammes, sur le lit de braises, en ouvrant la porte le moins longtemps possible ;
  • Allumer le feu par le haut : cette technique utilisée en Suisse et sans doute contraire à ce que vous avez appris, divise par 2 les émissions polluantes de l’allumage[13], qui est la phase la plus polluante. Pour cela, empilez les bûches en plaçant les plus grosses en dessous et en laissant un peu d’air entre chacune, puis posez le petit bois d’allumage dessus. Le bois brûle alors de haut en bas et les gaz de combustion nocifs sont éliminés dans les flammes.

Une autre alternative pour se chauffer au bois reste le poêle à bois, qui a une efficacité énergétique tout à fait honorable, ou encore les chaudières au bois (à bûches, à granulés, à pellets, voire mixtes), plus chères, mais très performantes et moins polluantes.

Modernisez votre installation

Si l’on met de côté les questions poétiques, économiques, techniques et écologiques, ce que je peux vous dire c’est que du point de vue de la santé, le plus important, c’est d’avoir une installation récente et bien entretenue.

C’est avant tout une question de sécurité : si votre installation est vétuste, sachez que le risque d’incendie, d’explosion ou d’intoxication au monoxyde de carbone est réel : près de 100 personnes décèdent malheureusement chaque année en France à cause d’une chaudière mal entretenue[14].

Ensuite pour votre santé, sachez que l’évolution récente des technologies de chauffage contribue grandement à l’amélioration de l’hygrométrie et de la qualité de votre air intérieur, en diffusant une chaleur plus douce, plus homogène, et qui assèche moins l’air.

Gare à l’effet « grille-pains »

Prenons l’exemple des anciens radiateurs électriques, les convecteurs qu’on surnommait « grille-pains ». Ils ont tendance à chauffer trop vite, assécher beaucoup l’air et provoquer de brusques changements de températures, mauvais pour l’organisme… en plus de facilement prendre la poussière, où peuvent proliférer les acariens qui causent des allergies !

Alors que les radiateurs électriques de dernière technologie (radiateurs à inertie, à diffusion, à chaleurs douces, panneaux rayonnants…) tendent eux à préserver une chaleur idéale et continue, en plus d’une meilleure hygrométrie.

Vous avez donc tout intérêt à moderniser votre chauffage : il existe d’ailleurs des crédits d’impôts importants, à la fois pour améliorer l’isolation thermique de votre logement et pour l’installation d’un nouveau système à plus haute performance énergétique.

N’hésitez pas à vous rapprocher d’un professionnel du chauffage si votre installation est vétuste ou datée[15], il pourra vous conseiller et effectuer au besoin un audit énergétique.

Entretenez votre chaudière, ramonez votre cheminée, purgez vos radiateurs

Quelle que soit l’installation que vous avez retenue, rappelez-vous de l’entretenir régulièrement :

  • Un professionnel doit entretenir votre chaudière tous les ans ;
  • Si vous avez la chance d’avoir une cheminée, elle doit être ramonée au moins 1 fois par an, et parfois 2, dont une pendant la période de chauffe (selon l’endroit où vous habitez, je vous recommande de vous renseigner auprès de votre mairie). C’est la même chose pour les poêles à bois, et il s’agit d’une obligation légale passible d’amende en cas de non-respect ;
  • Vos radiateurs doivent être purgés une fois par an, idéalement avant le début de la période de chauffe : il s’agit d’une opération simple que vous pouvez faire vous-même. Vous trouverez facilement des guides sur Internet[16]. Pensez aussi à les nettoyer régulièrement pour éviter l’accumulation de poussière.

Ce n’est pas parce que vous chauffez qu’il ne faut pas aérer !

Quand on fait tourner le chauffage, il paraît bien absurde de laisser les fenêtres ouvertes.

Nous sommes d’accord.

Pourtant qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, il est une règle de santé à respecter impérativement : aérez chez vous au moins 20 minutes par jour.

La raison est simple : l’air intérieur est 5 à 10 fois plus pollué que l’air extérieur.

L’idéal est d’aérer 10 minutes le matin, juste après le réveil, et 10 minutes le soir, avant d’aller vous coucher. Si vous habitez en ville, il vaut mieux éviter d’ouvrir vos fenêtres entre 14h et 18h : c’est là que l’air extérieur est le plus pollué par les gaz d’échappement.

Aérer chez vous permet d’équilibrer le taux d’humidité, et de le rapprocher du taux idéal de 50%, dont je vous ai déjà dit l’importance.

Mais c’est aussi l’une des seules façons, avec les systèmes de ventilation permanents (la fameuse VMC) et les – coûteux – purificateurs d’air, de renouveler l’air chez vous et de le purifier en éliminant :

  • les virus, bactéries et champignons del’air que vous respirez ;
  • les acariens, pollens et autres allergènes ;
  • les composés volatiles toxiques issus des peintures des murs, des meubles, des moquettes, tapis, produits d’entretien, des fumées de cuisson ou du tabagisme… ;

J’espère vous avoir convaincu de ne pas trop chauffer chez vous !

Si vous êtes très frileux et craignez d’avoir froid en baissant le chauffage, pensez aux couettes d’hiver, aux plaids, aux gros pulls en laine, aux chaussons, aux bouillotes et aux boissons chaudes !

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet


[1] Engie (18.12.2019). La température idéale pour votre maison : les conseils pièce par pièce. https://particuliers.engie.fr/economies-energie/conseils-economies-energie/conseils-eco-gestes-au-quotidien/temperature-piece-par-piece.html

[2] Lepetitcorps M (22.10.2021). Voici la température idéale de votre chambre pour bien dormir. Ouest-France, l’édition du soir. https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-10-22/voici-la-temperature-ideale-de-votre-chambre-pour-bien-dormir-c5fe5c75-6f5b-4e0c-83eb-3c0cb99e3989

[3] Solidarités-santé (05.03.2018). La santé de votre enfant au quotidien. https://solidarites-sante.gouv.fr/prevention-en-sante/sante-des-populations/enfants/article/la-sante-de-votre-enfant-au-quotidien

[4] Chen K Y, Brychta R J, Linderman J D, et al. (2013). Brown Fat Activation Mediates Cold-Induced Thermogenesis in Adult Humans in Response to a Mild Decrease in Ambient Temperature. The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism 98 (7), pp E1218–E1223, https://doi.org/10.1210/jc.2012-4213

[5] M. Ellis (2014). Good’ brown fat stimulated by cold, study shows, Medical News Today. https://www.medicalnewstoday.com/articles/278646.php

[6] Air&me. Quel est le bon taux d’humidité pour la chambre et la maison? https://www.airandme.fr/blog/deshumidification/quel-est-le-bon-taux-dhumidite-pour-la-chambre-et-la-maison/

[7] Gauthier M. (2014). Pollution atmosphérique – numéro spécial – Froid, chauffage, santé. Énergie, Santé. https://www.appa.asso.fr/wp-content/uploads/2020/03/Gauthier_2014.pdf

[8] Conseils thermiques. Comparatif des cheminées. https://conseils-thermiques.org/contenu/cheminee.php

[9] Auvigne S (16.10.2021). Le chauffage au bois, avantages et inconvénients. Franceinfo. https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-conseil-conso/le-chauffage-au-bois-avantages-et-inconvenients_4791805.html

[10] Jacque M (02.08.2021). Pollution de l’air : la France s’attaque aux émissions du chauffage au bois. Les Echos. https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/pollution-de-lair-la-france-sattaque-aux-emissions-du-chauffage-au-bois-1336313#:~:text=D’apr%C3%A8s%20le%20Centre%20interprofessionnel,qui%20circulent%20dans%20le%20pays.

[11] Podevin S (23.07.2021). Feu de cheminée et particules fines : le plan du gouvernement pour lutter contre la pollution de l’air. Franceinter. https://www.franceinter.fr/environnement/feu-de-cheminee-et-particules-fines-le-plan-du-gouvernement-pour-lutter-contre-la-pollution-de-l-air

[12] DRIEE-IF (Direction Régionale et Interdépartementale de l’Environnement et de l’Énergie d’Île-de-France). L’interdiction d’utiliser un foyer ouvert, dans le plan de Protection de l’Atmosphère pour l’Île-de-France. http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Questions-reponses-Foyers_ouverts_IDF-mars_2014_cle261e12.pdf

[13] Que choisir (21.09.2019). Chauffage au bois.https://www.quechoisir.org/decryptage-chauffage-au-bois-gare-a-la-pollution-n70855/

[14] Habitat. Chaudières et risques d’accidents. https://www.m-habitat.fr/chaudieres/achat-entretien-et-depannage/chaudieres-et-risques-d-accidents-160_A

[15] Vous pourrez trouver un professionnel certifié, proche de chez vous, à l’adresse suivante : https://www.faire.gouv.fr/trouvez-un-professionnel

[16] Voir par exemple : https://ma-solution-chauffage.viessmann.fr/blog-expert/entretien-reglage/comment-purger-ses-radiateurs