Chers amis,

Marie-Claire vient de m’écrire :

« Bonjour,

Un immense merci pour vos articles très intéressants, lisibles et compréhensibles. Bravo.

Chaque fois quelque chose à apprendre sans être sollicitée pour un abonnement, une inscription ou un achat.

C’est très appréciable de ne pas avoir à supprimer le texte avant même de le lire car trop de harcèlement.

Encore merci de tout cœur pour votre enseignement précieux.»

Merci, chère Marie-Claire, de me prouver que mes conseils servent à quelque chose. Ce sont des commentaires comme le vôtre qui me donnent l’énergie et la passion de continuer mes recherches.

Cependant, j’ai peur de vous décevoir. 

Non pas parce que mes lettres seront moins intéressantes et utiles, du moins je l’espère : j’y consacre le plus clair de mes journées et vais continuer à le faire.

Mais parce que les sollicitations que vous décrivez, j’en accepte quelquefois moi-même, quand elles me rendent service.

Et il arrivera que je vous en envoie si elles sont pertinentes.

Dans ma boîte électronique, j’ai 10 437 messages non lus. 98 % de ces messages sont des « spams », des publicités, des promotions, etc.

Ces spams m’exaspèrent surtout quand on veut me vendre tout et n’importe quoi, du voyage aux Bermudes au slip anti-transpirant.

C’est une coulée de boue. J’ai parfois envie de crier « stop !!! ».

Mais je dois reconnaître que dans toute cette boue, il y a parfois quelques pépites, des propositions qui m’apportent, à moi, quelque chose d’extrêmement utile.

Par exemple c’est grâce à un message de Michel Dogna que j’ai appris l’existence du tabaschir (une substance très siliceuse efficace contre l’arthrose) et que j’ai pu en acheter facilement.

J’ai pu récemment m’initier aux fleurs de Bach grâce à un excellent programme payant de Martine Viniger… proposé sur ma messagerie.

Il ne faut pas être méprisant avec les moyens qu’emploie parfois le destin pour nous tendre une perche qui peut améliorer notre vie !

« Il faut que je partage ça ! »

Je ne vous demande rien en échange de mes articles.

Je vous écris gratuitement, vous me lisez gratuitement, et c’est très bien comme ça.

Vous êtes libre de vous désinscrire de cette lettre si elle vous ennuie ou pire, si elle ne vous rend pas service. 

Et pourtant écrire ces lettres me prend un temps fou et ne me rapporte pas d’argent. 

Pourquoi je le fais ?

Parce qu’au fur et à mesure des années que j’ai passées à travailler dans la santé naturelle, il m’est venu un élan irrésistible de partage.

Je pense que cet élan est profondément ancré en moi. Il n’est peut-être pas surprenant que dans une vie antérieure j’ai été enseignant.

Le résultat c’est qu’il ne se passe pas une semaine sans que je me dise une fois, deux fois, trois fois : « Non, ça, c’est incroyable ! Je suis sûr que les gens ne sont pas au courant ! Il faut leur dire !!! »

Et les conseils que je vous envoie sont des conseils que j’aurais, moi, aimé recevoir à des moments de ma vie.

Vous le savez bien, maintenant que vous me connaissez, je pense que les médecins ne sont pas les seuls acteurs du monde de la santé.

Quant aux industriels et lobbyistes qui ont à l’heure actuelle une mainmise sur la santé « médicamenteuse »… je n’hésite pas à en qualifier certains de criminels.

Alors je continue à publier, et à publier, inlassablement.

C’est du travail

Seulement voilà… je n’ai ni fait un héritage mirobolant, ni épousé une femme qui m’entretient, ni trouvé un généreux mécène qui me subventionne.

J’ai un autre métier en parallèle de celui d’auteur de ces lettres : je suis rédacteur en chef.

C’est le travail qui me permet de subvenir à mes besoins.

La bonne nouvelle, c’est que les publications dont je m’occupe, j’en suis extrêmement fier :

  • je publie une fois par mois un journal de 32 pages de solutions naturelles de santé, que j’estime unique en son genre ;
  • je crée des programmes vidéos avec des naturopathes et des médecins ouverts d’esprit, qui rendent réellement service à ceux qui en profitent ;
  • je teste quelques produits sains et bienfaisants que je vous propose si je suis vraiment convaincu qu’ils vous seront utiles.

De tout cela je n’ai absolument pas honte, bien au contraire.

J’ai le sentiment de vous rendre service, et tous les jours des messages de lecteurs me confirment que c’est le cas.

Ces programmes et ces publications ne se font pas tout seuls. Ils coûtent de l’argent. Les journalistes pointus et investis avec qui je travaille, les naturopathes généreux et brillants, les personnes extraordinairement engagées qui y participent, il faut aussi les payer.

Or, mon journal Alternatif Bien-Être, pour ne citer que lui, ne contient pas la moindre page de publicité.

Je m’en sors par les abonnements que je vous propose, à mes publications ou à mes programmes vidéo.

Cette lettre que vous recevez 3 ou 4 fois par semaine, elle restera gratuite, aussi longtemps que je le pourrai.

Mais pardonnez-moi et surtout comprenez-moi si je vous « sollicite » de temps à autre pour vous proposer un abonnement au journal ou à un programme que je crée.

Je suis sûr que vous y trouverez votre compte.

Parce que je pense que, dans tout le travail que ma petite équipe et moi faisons jour après jour, il y aura un jour LA pépite qui va vous aider à mieux vivre. 

C’est le sens de mon travail, et celui des personnes passionnées et passionnantes qui m’accompagnent.

C’est ce qui me rend fier de tout ce travail accompli.

Portez-vous bien, 

Rodolphe Bacquet