Chers amis,

Les plus anciens d’entre vous à me lire s’en souviennent : mon principal argument, lors de mon combat contre le pass vaccinal, en 2021-2022 était, avec celui du consentement éclairé, celui du principe de précaution.

Il était – il est toujours – absolument irresponsable non seulement d’injecter en masse à une population saine une thérapie génique expérimentale, mais plus encore quand ledit produit repose sur une nouvelle technologie (l’ARNm) sur laquelle on n’a aucun recul

Sur ce dernier sujet les langues commencent à se délier.

Lors des campagnes de vaccination ayant débuté à la toute fin de 2020, après un processus de création de vaccin accéléré, toutes les personnes injectées ont de facto joué un rôle de cobaye, dans la mesure où, d’une part, l’étude de la balance bénéfice/risques de ces produits avait été éhontément bâclée, et où, d’autre part, ces produits étaient en phase expérimentale.

Tous ces arguments étaient à l’époque balayés d’un revers de manche par les autorités et les « sachants » des plateaux télé : les Olivier Véran, les Michel Cymès (qui, tiens, désormais font de la télé ensemble), les Jérôme Marty, et autres tristes lurons.

Quatre ans plus tard, le manque de prudence des autorités, et en particulier de la Commission européenne, fait la Une des journaux… mais pas en France.

Voici ce que publiait le Berliner Zeitung[1] il y a trois semaines (la traduction est automatique) :

Cette prise de risque aurait pu en valoir la chandelle, pourrait se défendre la Commission si, in fine, l’efficacité et l’innocuité de ces produits expérimentaux avaient été avérées.

Mais chaque mois qui passe laisse apparaître l’étendue des dégâts causés par ces « vaccins ».

Vous connaissiez déjà les effets secondaires en termes de cycles hormonaux, en termes de santé cardiovasculaire, en termes également – et ça, c’est particulièrement atroce – de mortalité prénatale.

Deux études publiées tout récemment, l’une sud-coréenne, l’autre italienne, confirment statistiquement, et ce sans contredit possible, ce que les personnels soignants et médecins constatent maintenant depuis trois à quatre ans : une explosion des cancers suite à la vaccination anti-Covid.

Cancer du poumon + 53 %, cancer de la prostate + 69 %

Depuis la campagne agressive d’injections anti-Covid en 2021-2022, tous, je dis bien tous les médecins, naturopathes et infirmiers que je côtoie me confient que leur patientèle ou leur clientèle « injectée » fait face :

  • soit à des « turbo-cancers », c’est-à-dire à l’apparition de cancers ultra-agressifs ;
  • soit à des récidives soudaines, dans le cas de cancers en rémission parfois depuis plus de dix ans.

Aujourd’hui les deux études dont je vous parle confirment le lien statistique entre la vaccination anti-Covid et ces cancers.

Ces études, indépendantes – c’est-à-dire non financées par les laboratoires pharmaceutiques ayant produit industriellement ces « vaccins » – comblent en quelque sorte le principal angle mort de cette affaire : celui du recul.

L’étude sud-coréenne[2], publiée le 26 septembre, visait à estimer l’incidence cumulée et les risques ultérieurs de cancers globaux un an après la vaccination contre le Covid-19 :

Il s’agit d’une très vaste étude populationnelle puisqu’elle porte sur plus de 8,4 millions d’individus entre 2021 et 2023, via la base nationale d’assurance santé de Corée du Sud.

Leurs observations sont accablantes.

Dans cette population, les personnes vaccinées présentaient une augmentation significative du risque de cancers à un an, par rapport aux non‑vaccinés, pour plusieurs localisations :

  • Cancer du sein : + 20%
  • Cancer du côlon-rectum : +28%
  • Cancer de l’estomac : +34%
  • Cancer de la thyroïde : +35%
  • Cancer du poumon : +35%
  • Cancer de la prostate : +69%

Un mot sur ces deux derniers cancers en particulier.

Il y a moins de deux mois, je vous écrivais une lettre sur les données qui s’accumulaient au sujet de la progression du cancer du poumon, quand bien même le tabagisme, lui, diminue[3].

Il me semble que nous avons là, une partie au moins, de l’explication convaincante de cette hausse récente. + 53 % un an après une vaccination anti-Covid !!!

Dans une interview récente sur Europe 1[4], la journaliste Christine Kelly interrogeait l’oncologue Jean-Philippe Spano sur les causes de l’explosion prévue des cas de cancers d’ici 2050, qui a fait dernièrement les gros titres des journaux[5].

Réponse du médecin : « C’est le tabac et l’alcool ! Peut-être un peu l’environnement aussi »

La journaliste n’est pas tombée dans le panneau (ou dans le Spano ; pardon) et a relevé, comme je vous l’écrivais il y a deux mois, qu’on fumait de moins en moins. Mais aussi qu’on buvait de moins en moins… et a posé la question du rôle des injections anti-Covid.

« Oh non non non, pour ça on n’a aucune preuve », se défend le médecin.

Or juste après, un auditeur l’interpelle : il s’est fait vacciner à 52 ans, il était en parfaite santé jusque-là ; juste après l’injection, on lui détecte un cancer de la prostate ultra-agressif.

Le médecin ne sait quoi répondre. Sa langue de bois ne lui permet pas de reconnaître l’évidence.

Si l’étude sud-coréenne n’est pas une « preuve », à ses yeux, je me demande ce qu’il lui faut.

Une étude menée sur une population plus proche, par exemple ? Ça tombe bien, les Italiens viennent d’en publier une.

Plus de « chances » d’être hospitalisé pour un cancer après une injection anti-Covid

Dans une province italienne, près de 300 000 personnes ont été suivies pendant 30 mois[6].

Les résultats sont clairs :

  • Le risque d’hospitalisation pour cancer est significativement plus élevé chez les vaccinés, avec un risque relatif augmenté de 23 % pour ceux ayant reçu au moins une dose.
  • Pour les hommes vaccinés, ce chiffre monte à + 31 %.
  • Certains types de cancer montrent une hausse marquée : sein, vessie, côlon-rectum, cancers hématologiques.

Plus on a reçu de doses… plus le risque augmente.

Ces résultats confirment ceux de l’étude sud-coréenne. Même en prenant en compte les comorbidités et l’âge, l’augmentation persiste. Et ce n’est pas tout…

Oui, l’ARN des vaccins peut bel et bien intégrer votre génome

Je vais encore vous parler d’un cas de cancer lié au vaccin. Après, promis, c’est fini.

Il s’agit cette fois d’un cancer de la vessie.

Une équipe de chercheurs américains (dont le Dr Peter McCullough) a publié le mois dernier l’exposé d’un cas clinique saisissant : celui d’une jeune femme de 31 ans, sans antécédents médicaux, qui développe un cancer de la vessie de stade IV extrêmement agressif un an après avoir reçu trois doses du vaccin Moderna contre le Covid-19[7].

Le cancer de la vessie est rarissime chez les femmes. Et encore plus à cet âge.

Grâce à des analyses poussées (ARN sanguin, ADN tumoral circulant, exosomes urinaires), les chercheurs ont mis en évidence :

  • Des anomalies génétiques majeures sur des gènes impliqués dans la cancérogenèse (KRAS, ATM, MAPK1, PIK3CA…),
  • Des signes de dérèglement transcriptionnel et protéique massifs,
  • Et surtout, un événement d’intégration génomique inédit : un fragment de séquence génétique correspondant au gène Spike issu de la plateforme vaccinale a été retrouvé inséré dans le génome humain, sur le chromosome 19, dans une région régulatrice sensible.

Ce fragment correspond à une séquence de 20 bases parfaitement identiques à celle des vaccins Pfizer et Moderna :

Selon les auteurs, la probabilité qu’une telle correspondance apparaisse au hasard est de l’ordre de 1 sur 1 trillion !

En d’autres termes : ce n’est probablement pas une coïncidence.

C’est, à ma connaissance, la première fois qu’une telle intégration potentielle de matériel génétique vaccinal est documentée dans le génome d’un être humain.

C’est la première fois qu’elle est documentée…

… Mais ce n’est pas la première fois qu’on en parle.

Voici ce que je vous écrivais en janvier 2021 (vous pouvez consulter l’article sur le site Alternatif Bien-Être[8]) au moment où je dénonçais l’escroquerie consistant à déguiser des thérapies géniques à ARN messager en « vaccins » :

Plusieurs scientifiques, dès janvier 2021, ont dénoncé ce danger inhérent à l’injection de masse d’ARNm : Luc Montagnier, Alexandra Henrion-Caude, que je citais, Jean-Marc Sabatier.

Tous ont été vilipendés, moqués, black-listés, y compris le Dr Luc Montagnier qui avait reçu le prix Nobel !

Ce cas leur donne raison sur toute la ligne : la transcriptase inverse, c’est-à-dire l’intégration d’ARN messager étranger au génome du patient après injection des thérapies géniques, n’est plus une théorie : c’est une réalité documentée.

Ce risque va bien au-delà des seules injections anti-Covid.

C’est toute la généralisation de la technologie à ARN messager dans les « vaccins » qui pose problèmey compris dans les élevages animaux destinés à la consommation humaine.

Je me suis entretenu avec le chercheur Jean-Marc Sabatier à ce sujet : il explique, dans notre entretien publié sur YouTube, en quoi la vaccination massive à ARN messager des élevages de canards en France est une folie.

Pour être certains de ne pas manquer nos prochaines publications sur notre chaîne, je vous invite par ailleurs à vous y abonner ; c’est évidemment gratuit.

Portez-vous bien,

Rodolphe


[1] https://www.berliner-zeitung.de/politik-gesellschaft/geopolitik/eu-kommission-gesteht-corona-impfstoffe-wurden-ohne-vollstaendige-daten-freigegeben-li.2357156 – Franz Becchi, « EU-Kommission gibt zu : Corona-Impfstoffe wurden ohne “umfassende” Sicherheitsdaten freigegeben », in. Berliner Zeitung, 16 septembre 2025

[2] https://biomarkerres.biomedcentral.com/articles/10.1186/s40364-025-00831-w – Hong Jin Kim, Min-Ho Kim et al., « 1-year risk of cancers associated with Covid-19 vaccination : a large population-based cohort study in South Korea », in. Biomarker Research, 26 septembre 2025

[3] https://alternatif-bien-etre.com/maladies/cancer/le-tabagisme-diminue-le-cancer-du-poumon-progresse-pourquoi/ – Rodolphe Bacquet, « Le tabagisme diminue. Le cancer du poumon progresse. Pourquoi ? », site d’Alternatif Bien-Être, 20 août 2025

[4] https://x.com/camille_moscow/status/1975326706463539670 –

[5] https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/09/25/cancer-le-nombre-de-deces-va-fortement-augmenter-dans-le-monde-d-ici-a-2050_6642839_3244.html – Delphine Roucaute, « Le nombre de décès lié au cancer va fortement augmenter dans le monde d’ici 2050 », in. Le Monde, 25 septembre 2025

[6] Cecilia Acuti Martellucci, Angelo Capodici, Graziella Soldato, et al., « Covid-19 vaccination, all-cause mortality, and hospitalization for cancer: 30-month cohort study in and italian province », in. EXCLI Journal, 1er juillet 2025

[7] https://zenodo.org/records/17122912 – John A Catanzaro, Nicolas Hulscher & Peter A McCullough, « Genomic Integration and Molecular Dyregulation in Agressive Stage IV Bladder Cancer Following COVID-19 mRNA Vaccination », in. Zenodo, 15 septembre 2025

[8] https://alternatif-bien-etre.com/coronavirus/pourquoi-le-vaccin-covid-nexiste-pas-encore/ – Rodolphe Bacquet, « Pourquoi le vaccin Covid n’existe pas (encore) », site d’Alternatif Bien-Être, 26 janvier 2021