Chers amis,

Si vous écoutez la radio, vous avez dû ces jours-ci tomber au moins une fois sur un spot émanant du ministère de la Santé et faisant la promotion du vaccin anti-HPV pour nos adolescents.

Ce n’est évidemment pas un spot publicitaire. C’est de la propagande pure et simple.

Dans la pure tradition de la propagande la plus décomplexée, puisque se fondant sur des allégations mensongères.

Cette actualité est l’une des trois qui illustrent l’exception vaccinale française.

Celle-ci n’est évidemment pas nouvelle, dans la mesure où la France est le seul pays au monde qui impose 11 vaccins obligatoires à chaque enfant, un chiffre aussi excessif que dépourvu de rationalité sanitaire.

Or l’administration de vaccins, comme tout acte médical, devrait être fondée sur une balance bénéfices/risques positive.

Et c’est là, hélas, que se distingue l’exception – je pourrais, également, écrire « l’obsession » – vaccinale française.

Jugez-en plutôt à ces trois faits ressortissant d’une actualité inquiétante :

1 – Vacciner tous les adolescents de France contre le HPV, sans distinction de genre

A l’hystérie vaccinale – pour reprendre le titre du livre[1] de deux médecins consacré aux graves problèmes entourant le vaccin anti-HPV – du Gardasil et du Cervarix, j’ai déjà consacré trois lettres.

La première[2], en 2019, expliquait :

  • pourquoi le principe même de ce vaccin était douteux – un cancer, ce n’est pas une maladie contagieuse comme la rougeole ou la rage, on ne peut pas être « vacciné » contre le cancer ;
  • que la preuve de l’innocuité de ce vaccin n’avait pas été faite (il a « sauté » en neuf mois les étapes de validation, qui prennent normalement trois ans au minimum) ;
  • que depuis sa mise sur le marché, l’incidence du cancer du col de l’utérus n’avait pas du tout baissé, et qu’elle repartait même à la hausse !

La deuxième[3], en 2020, relatait une étude « coup de tonnerre » émanant de la Royal Society of Medicine, la plus prestigieuse institution sanitaire de Grande-Bretagne, et qui constatait l’inefficacité des vaccins anti-HPV.

À ce stade, les auteurs de l’étude britannique dénonçaient en effet 3 trompe-l’œil :

1 – Des études invalides sur le plan du cancer

Les études ayant servi à « valider » l’efficacité des virus anti-HPV n’ont pas été conçues pour vérifier leur efficacité contre le cancer du col de l’utérus (ce qui aurait pris plusieurs décennies) : elles n’ont pu cibler que les stades précurseurs… et bénins.

2 – Des vaccins efficaces… contre des anomalies bénignes !

La seule preuve apportée par ces études est donc leur efficacité sur des néoplasies qui… se résorbent le plus souvent d’elles-mêmes. On ne peut donc en conclure que ces vaccins sont efficaces contre les stades avancés, voire cancéreux. 

3 – La loterie des souches de papillomavirus

Il existe plus d’une centaine de souches différentes du papillomavirus, dont seulement 12 seraient susceptibles de mener à un cancer du col de l’utérus[4]. Or, les vaccins anti-HPV ne ciblent qu’entre 2 et 7 de ces 12 souches cancérigènes.

C’est donc une singulière loterie !

On connaît l’effet pervers de cette loterie : les femmes vaccinées ne se testent plus au frottis (ce qui est le moyen le plus efficace de diagnostiquer un risque). Ça explique pourquoi, depuis la mise sur le marché de ces vaccins, on assiste donc… à une recrudescence des cas de cancer du col de l’utérus.

Enfin, la troisième lettre[5], l’an dernier, au moment où Emmanuel Macron décidait envers et contre tout bon sens sanitaire d’étendre cette vaccination non seulement à l’ensemble des adolescentes françaises… mais aussi à l’ensemble des adolescents.

Comprenez : les garçons.

La logique n’est pas sanitaire, elle est économique et industrielle : cela permet de doubler la « cible ».

Je l’affirme donc ici : l’entêtement des autorités françaises à vouloir vacciner l’ensemble des adolescents français n’est pas seulement une erreur scientifique, c’est une faute morale.

2 – L’entêtement des autorités françaises à fermer les yeux sur les effets secondaires des injections anti-Covid

Il y a dix jours, la publication d’un article[6] dans Le Figaro a suscité l’émoi :

Pourquoi l’émoi ? Parce que « l’omerta » dont il est question dans l’article concernait également jusqu’ici… la presse mainstream !

Je le sais d’autant mieux que cette même presse – dont fait partie Le Figaro – n’a pas hésité à tirer à boulets rouges sur l’auteur de ces lignes au moment où je mettais en garde contre l’absence de recul scientifique quant à l’innocuité et l’efficacité de ces vaccins.

Voir donc un tel article paraître dans un grand quotidien comme Le Figaro laisse l’espoir que les choses, en France, commencent à bouger…

… mais avec une certaine dissonance cognitive.

Je m’explique.

En France, la reconnaissance des effets secondaires liés aux vaccins contre le Covid-19 s’avère complexe pour de nombreux patients. Malgré les 200 000 cas d’effets indésirables signalés à la pharmacovigilance, les autorités – comme Le Figaro – continuent à refuser d’établir un lien de causalité direct avec le vaccin.

Or à l’inverse la plupart des médecins non vendus à Pfizer ou Moderna considèrent que ces 200 000 signalements d’effets secondaires ne constituent que la partie émergée de l’iceberg.

Il y en aurait donc beaucoup, beaucoup plus.

Ce refus de reconnaître des effets secondaires liés aux injections anti-Covid est, là encore, une exception française.

En Allemagne, le ministre de la Santé lui-même a, l’an dernier, évoqué des dégâts « consternants » au sujet des vaccins anti-Covid et de leurs effets secondaires, demandant même aux entreprises pharmaceutiques qui ont fait des « profits financiers considérables » de prendre part au programme de soutien aux personnes vaccinées souffrant de ces effets indésirables.[7]

En France, nous en sommes encore à nous voiler la face.

3 – L’ahurissante vaccination de 65 millions de canards en France

En France, la première campagne nationale de vaccination contre l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) a été menée du 1ᵉʳ octobre 2023 au 30 septembre 2024. Durant cette période, 61 millions de canards ont été vaccinés[8].

La deuxième campagne de vaccination a débuté le 1ᵉʳ octobre dernier. Entre le 1ᵉʳ octobre et le 1ᵉʳ novembre 2024, 4 millions de canards supplémentaires ont été vaccinés.

Ainsi, au total, 65 millions de canards ont été vaccinés en France contre l’influenza aviaire depuis le début de ces campagnes.

Et vous savez quoi ? La France est le seul pays au monde à avoir vacciné par dizaines de millions ses canards.

C’est complètement délirant, et surtout dangereux. Pour 3 raisons.

Cette vaccination de dizaines de millions de canards crée une pression sélective sur le virus de la grippe aviaire.

En d’autres termes, cela pourrait favoriser l’émergence de variants plus résistants, à l’instar de ce qui a été observé avec d’autres campagnes vaccinales dans le monde.

Les virus ne disparaissent pas, ils évoluent pour contourner les barrières immunitaires induites par les vaccins. Un mutant vaccinal résistant pourrait représenter une menace non seulement pour les animaux, mais aussi pour la santé humaine.

Ensuite, contrairement aux mesures de détection et d’abattage, la vaccination ne supprime pas nécessairement le virus des élevages.

Les animaux vaccinés peuvent devenir porteurs asymptomatiques et transmettre discrètement la maladie. Une épidémie silencieuse est alors plus difficile à surveiller et à contrôler, augmentant le risque de dissémination dans les élevages et les environnements naturels.

Enfin, et c’est sans doute le pire, la dernière campagne utilise des vaccins à ARN messager.

Oui, oui, la même technologie que pour les injections anti-Covid !

Ces vaccins fonctionnent en programmant les cellules des canards pour qu’elles produisent des protéines virales spécifiques, déclenchant ainsi une réponse immunitaire.

Bien que cette approche soit innovante et prometteuse, elle n’est pas sans danger. En fait, elle fait bondir le risque de transmission asymptomatique : les canards vaccinés pourraient toujours être porteurs et excréter le virus, facilitant une propagation désastreuse.

Comme chez l’homme, l’utilisation de l’ARNm suscite des préoccupations quant à son impact environnemental et sa sécurité sur le long terme, étant donné le manque de recul sur cette technologie appliquée à grande échelle dans le domaine vétérinaire.

Ensuite, nous ne savons rien des risques que poseront, pour la santé humaine, les canards à la « sauce ARNm » : quelles seront, sur votre organisme, les répercussions de la consommation d’un foie gras de canard à l’ARNm ?

Personne, aujourd’hui, ne peut le dire.

Une fois de plus, la France est le seul pays à se lancer dans une telle entreprise. C’est de la folie pure et simple.

Qu’elle le fasse sur un échantillon, dont elle suit et observe les conséquences sur plusieurs mois, pourquoi pas.

Mais dans de telles proportions… personne d’autre ne fait ça. Sinon par bon sens, du moins par prudence.

Pas la France. C’est ça, l’exception vaccinale française.

Volaille, êtres humains : tous sont les cobayes d’une expérience de vaccination de masse à ciel ouvert.

Au nom de quoi ? D’un dogme médical aveugle et dépassé. Et d’intérêts économiques et industriels faisant fi des conséquences sanitaires à long terme.

Vous pouvez me laisser votre avis sur ces questions en commentant ici cette lettre.

Portez-vous bien,

Rodolphe


[1] Nicole et Gérard Delépine, Hystérie vaccinale, Fauves éditions, 2018

[2] https://alternatif-bien-etre.com/maladies/cancer/ce-medicament-augmenterait-le-risque-de-cancer-qu-il-est-cense-combattre/ – Rodolphe Bacquet, « Ce médicament augmenterait le risque de cancer qu’il est censé combattre ! », site d’Alternatif Bien-Être, 2 août 2019

[3] https://alternatif-bien-etre.com/maladies/cancer/vaccin-anti-hpv/ – Rodolphe Bacquet, « Vaccin anti-HPV : la supercherie enfin dénoncée par une étude majeure”, site d’Alternatif Bien-Être », 24 mai 2020

[4] IARC. Biological Agents – A Review of Human Carcinogens – Human Papillomaviruses. Lyon: IARC, 2012

[5] https://alternatif-bien-etre.com/alternatif-bien-etre/alerte-macron-annonce-la-generalisation-dun-vaccin-contenant-de-la-mort-aux-rats/ – Rodolphe Bacquet, « Alerte : Macron annonce la généralisation d’un vaccin contenant de la mort aux rats », site d’Alternatif Bien-Être, 28 février 2023

[6] https://sante.lefigaro.fr/social/sante-publique/on-se-heurte-a-un-mur-ces-grands-perdants-du-vaccin-covid-19-qui-luttent-pour-la-reconnaissance-d-effets-indesirables-20241117 – Elisabeth Pierson, « “On se heurte à un mur” : ces grands perdants du vaccin Covid-19 qui luttent pour la reconnaissance d’effets indésirables », in. Le Figaro, 17 novembre 2024

[7] https://atlantico.fr/article/decryptage/effets-secondaires-des-vaccins-contre-le-covid-mais-que-voit-le-gouvernement-allemand-qu-on-ne-voit-pas-en-france – Antoine Flahaut, « Effets secondaires des vaccins contre le Covid : mais que voit le gouvernement allemand qu’on ne voit pas en France ? », in. Atlantico, 15 mars 2023

[8] https://agriculture.gouv.fr/influenza-aviaire-le-plan-daction-vaccination-de-la-france?utm_source=chatgpt.com – « Tout ce qu’il faut savoir sur le plan de vaccination influenza aviaire de la France », site du Ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt