Chers amis,
J’ai reçu près de 1000 commentaires suite à ma lettre concernant les mesures Macron.
C’est énorme.
Pour l’immense majorité d’entre vous, vous dites votre colère et votre désarroi face aux mesures contre les non-vaccinés.
Mais j’ai aussi reçu quelques commentaires négatifs, voire violents.
C’est à eux que je souhaite répondre aujourd’hui.
Ils me reprochent de me mêler de politique.
Et oui, c’est vrai, je me mêle cette fois de politique.
Selon moi, à partir du moment où les hommes politiques outrepassent leurs prérogatives en matière de santé, la santé devient politique. C’est-à-dire un sujet de débat public, qui nous concerne tous, en tant qu’individus, citoyens, membres d’une collectivité.
La guerre de l’information fait rage, j’en ai conscience
Mais plus grave, quelques lecteurs m’accusent de diffuser des « fake news » (fausses nouvelles).
Ces accusations ne sont pas admissibles.
Elles exigent une réponse claire de ma part.
Depuis plusieurs mois, les informations diffusées dans les grands médias sont incomplètes.
On n’entend parler que de vaccins, plus du tout de solutions contre le Covid.
Le « grand sujet » ce sont les vaccins, présentés comme l’unique solution à la crise sanitaire, plus la maladie ou le virus.
A tel point qu’on ne saurait plus en parler, aux yeux des commentateurs politiques et de l’opinion, qu’en termes de « pour ou contre ».
Je voudrais vous donner un exemple simple.
Suite aux annonces d’E. Macron, Le Figaro a lancé une enquête d’opinion.
Voici le résultat[1] :
À la vue du titre, la messe semble dite.
Les Français adhèreraient massivement aux décisions coup-de-poing du chef de l’état.
Mais « 62% » de gens qui approuvent…
…ça fait 38% de gens qui désapprouvent.
Rapporté à la population française, cela représente 26 millions de citoyens.
C’est gigantesque.
Et quand on les interroge sur « l’efficacité » de ces mesures… les sondés ne sont plus que 52% à juger qu’elles ne sont « pas trop contraignantes » (délicieuse formule).
52%, soit un Français sur deux.
Je rappelle qu’une vaccination de masse comme la souhaite Emmanuel Macron doit concerner 90% de la population pour être efficace.
Le gouvernement a donc un sérieux problème d’adhésion devant lui.
Pourquoi est-ce que je passe mon temps à diffuser des informations que vous ne trouvez pas ailleurs ?
A mon niveau j’essaie de faire deux choses depuis le début de la crise.
D’abord, tenter de vous garder informés des solutions qui existent et ont fait leurs preuves contre le Covid – comme l’Artemisia et la vitamine D pour ne citer qu’elles.
Ensuite – et de plus en plus, par la force des choses et des évènements – lever le voile sur le pseudo « consensus scientifique » autour des vaccins.
Il n’y a pas de consensus scientifique.
Les données qui le montrent sont publiques. Il suffit d’aller les chercher.
Mais elles ne « percent » pas dans les grands médias. A la fois pour des raisons de ligne éditoriale (peur de passer pour un anti-vaccins)… et de compétence.
Car lire et interpréter ces données demande du temps et du travail, croyez-moi.
J’ai pour habitude de croiser mes sources, le plus souvent possible, et de faire l’interprétation la plus honnête que je puisse.
Je vous donne un exemple.
On m’a plusieurs fois attaqué à ce sujet : j’utilise les chiffres émanant de la Base de Données Européenne des rapports d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation de médicaments[2].
Le chiffre des 10 000 morts de la vaccination anti-Covid, je ne l’ai pas sorti de mon chapeau, il vient de là.
Il a été repris par plusieurs sites d’information, mais uniquement en anglais :
Ceux qui diront qu’il ne serait « pas prouvé » que ces 10 000 décès et ces 400 000 effets secondaires soient associés aux vaccins anti-Covid… me surprennent.
Car cette base de données est indépendante. Elle n’a aucun intérêt à gonfler, majorer, minorer ces chiffres. Financée par l’Union Européenne, elle une mission d’observation impartiale.
Il est plus que probable, bien au contraire, que ces chiffres ne soient que la partie émergée de l’iceberg.
Je vous l’écrivais dans ma lettre du 13 juillet, une proportion très importante de ces chiffres comptabilisés concernent des personnels soignants, c’est-à-dire les victimes sur lesquelles les informations « remontent » bien.
Les décès anonymes, eux, ne sont pas comptabilisés.
Malgré cela, certains tiennent bon : « rien ne prouve » que ces patients étaient effectivement victimes du vaccin… ça n’était qu’une suspicion.
À ceux-là je réponds : c’est l’ensemble des relevés des effets secondaires de tous les médicaments présents sur cette base de données qui seraient, si cette argumentation est la bonne à jeter à la corbeille.
Quand j’ai fait mes comparatifs entre la proportion de la population vaccinée en Grande-Bretagne et la proportion de patients admis pour des formes graves de Covid alors qu’ils étaient vaccinés, là encore j’ai lu et entendu des commentaires du type : « ça ne veut rien dire », « c’est une question de mathématiques, comme il y a une plus large proportion de personnes vaccinées, c’est normal qu’elles soient davantage représentées à l’hôpital ».
Je rappelle à toutes fins utiles qu’un vaccin « habituel » empêche de contracter la maladie associée à un virus.
Nos vaccins anti-Covid n’ont pas été conçus pour cela : ils empêchent « seulement » de contracter une forme grave de la maladie.
Mais alors, s’ils empêchent de développer des formes graves…
…pourquoi la proportion de malades atteints de formes graves du Covid et vaccinés augmente-t-elle ?
Les défenseurs de la vaccination anti-Covid à grande échelle et les porte-étendards de l’obligation vaccinale se rendent à mes yeux coupables d’un trait distinctif de certains malfrats pris la main dans le sac : « même devant l’évidence, toujours nier ».
86% des infections Covid sont aujourd’hui des patients vaccinés
Mais oseront-ils nier ce qui est en train de se produire en Israël ?
Il s’agit là encore de données officielles et publiques.
Regardez bien ce graphique :
Important : elles viennent d’un site gouvernemental officiel. Les chiffres originaux sont à retrouver ici[3] ; le site est en hébreu, mais si vous avez activé la traduction automatique, vous pouvez lire la page.
Il s’agit du suivi du nombre de contaminations au Covid en Israël.
En vert : les cas positifs de personnes non-vaccinées ; en bleu : les cas positifs de personnes 20 jours après leur seconde dose de vaccins
Que remarque-t-on ? La proportion de personnes vaccinées parmi la population, après avoir baissé, a grimpé. Spectaculairement.
Plusieurs « décodeurs », comme ceux du Monde, ont analysé cette proportion, en disant qu’elle était en trompe-l’œil.
Il est tout à fait logique, disent-ils, que la proportion de vaccinés augmente parmi la population contaminée.
Elle reflète la proportion de vaccinés dans la population tout court.
C’est tout à fait logique oui. Tout à fait mathématique.
Le Monde écrit ainsi : « Le raisonnement peut être poussé jusqu’au bout : si 100 % des Israéliens étaient vaccinés, toutes les nouvelles contaminations proviendraient de personnes vaccinées. Leur part dans les nouveaux cas en Israël ne fait ainsi que refléter le fait qu’ils sont désormais très majoritaires. Mais cela ne remet en aucun cas l’efficacité des vaccins à endiguer l’épidémie. [4]»
Cette dernière phrase met la puce à l’oreille.
Car nos spécialistes des chiffres et des statistiques, les yeux rivés sur leurs chiffres, n’ont précisément pas vu ce qui crevait les yeux.
Sur le graphique que j’ai partagé avec vous, on voit la « prévision » du Monde se réaliser : la proportion de vaccinés est en train de monter à grande vitesse.
Et il n’y a guère de doute que d’ici quelques jours à quelques semaines, 100% ou presque des contaminés seront en effet des personnes vaccinées.
Mais 100% de quoi ?
Il faut regarder les valeurs absolues.
Elles disent que les contaminations sont en train de repartir spectaculairement à la hausse.
On pourrait donner raison au Monde si nos 100% de contaminés vaccinés restaient dans les clous de la tendance à la baisse.
Or c’est exactement l’inverse que l’on constate.
Non seulement l’épidémie est repartie en Israël, mais les compteurs sont en train d’exploser.
Autrement dit, la conclusion ultime du Monde qui consiste à dire que « cela ne remet en aucun cas l’efficacité des vaccins à endiguer l’épidémie » ne tient pas une seconde.
Si le vaccin était aussi efficace… les contaminations ne connaîtraient pas le boom que l’on voit actuellement en Israël.
Il reste à ce stade deux inconnues :
- l’ « efficacité » réelle des vaccins contre le variant Delta ;
- et le taux de cas graves au sein de cette hausse des contaminations en Israël.
Pour cela, on manque encore trop de recul à ma connaissance.
Je refuse donc, jusqu’à nouvel ordre, cette obligation vaccinale qui 1) omet volontairement ou nie les faits scientifiques 2) se montre scandaleusement anti-démocratique.
Je vous invite dans ce contexte à lire, diffuser et signer la pétition ci-dessous. Le plus largement possible.
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
[1] Bordas, W. (13.07.2021). Une large majorité des Français soutiennent les mesures annoncées par Emmanuel Macron. Le Figaro, Politique. https://www.lefigaro.fr/politique/une-large-majorite-des-francais-soutiennent-les-mesures-annoncees-par-emmanuel-macron-hier-soir-20210713
[2] Base de données européennes des rapports d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation des médicaments : https://www.adrreports.eu/fr/index.html
[3] https://data.gov.il/dataset/covid-19/resource/9b623a64-f7df-4d0c-9f57-09bd99a88880
[4] Dagorn, G. (02.07.2021). Covid-19 : les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas en Israël (et c’est une bonne nouvelle). Le monde, Les décodeurs. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/07/02/covid-19-les-vaccines-representent-40-des-nouveaux-cas-en-israel-et-c-est-une-bonne-nouvelle_6086759_4355770.html
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Rodolphe, on ne peut pas discuter avec les endoctrinés par les medias : même quand on leur dira qu´il n´y a jamais eu de virus mortel, ils continueront de mettre un masque, ils exigeront leurs vaccins. Ils ne supportent pas la vérité, ils préfèrent l´agression ou faire l´autruche. Il fut un temps oú j´ai essayé de leur expliquer qu´on allait droit dans le mur, désormais je les laisse mijoter dans leur soupe de nénis, nous perdons du temps et beaucoup d´énergie qui est nettement mieux employée ailleurs. Bien à vous.
Je suis soulagée qu’il y ait des personnes concernées comme vous pour nous tenir informé des faits réels devant cette crise. Heureusement que vous êtes la Rodolphe et vous remercie INFINIMENTS pour votre sérieux et vos recherches. Je suis attristée que nous nous trouvions montrés du doigt même au sein de notre propre famille, comme au travail. Je tiendrai quand même grâce à votre soutien. Il ne faut pas que le gouvernement réussisse à diviser pour mieux régner. Vive la liberté et vive notre santé
Bonjour,
MERCI, entièrement d’accord avec vous. Courage
Je suis entièrement d’accord avec vos arguments. Le Covid est une maladie bénigne pour la majorité des gens, et dangereuse seulement pour les personnes à co-morbidité. Il faut donc laisser les premiers acquérir une immunité naturelle, et vacciner les seconds (à condition qu’ils soient consentants). Les médecins traitants sont les mieux placés pour orienter leurs patients.
Vouloir vacciner tout le monde est stupide et contraire au bon sens. Rendre la vaccination obligatoire est un acte totalitaire.
Pour une personne en bonne santé, ces vaccins à base d’anti-corps fabriqués en labo ne peuvent qu’affaiblir les défenses naturelles.
bravo pour votre article..bien dit. moi je suis non vacciné. je suis souverain et libre. et je ne suis pas le seul. continuez a nous écrire LA VERITE. Merci
Un véritable sursaut. La plateforme Doctolib a enregistré un nombre record de prises de rendez-vous de vaccination contre le Covid-19, lundi 12 juillet, après les annonces d’Emmanuel Macron sur l’obligation vaccinale des soignants et l’élargissement du pass sanitaire. Jeudi, 2,6 millions de créneaux avaient été réservés depuis la déclaration du chef de l’Etat, selon Doctolib.
Les Français réticents vis-à-vis de la vaccination restent toutefois nombreux, y compris parmi les soignants. Selon eux, le recul sur le vaccin, son procédé et ses éventuels effets indésirables n’est pas suffisant. Un propos récurrent, que franceinfo a soumis à la virologue Mylène Ogliastro et au vaccinologue Daniel Floret.
« On a déjà un recul de l’ordre d’un an »
Depuis l’ouverture de la campagne de vaccination en décembre 2020, 36 millions de personnes ont reçu au moins une dose d’un des quatre vaccins homologués en France. A l’échelle mondiale, plus de 2 milliards de premières injections ont été recensées, touchant un quart de la population de la planète, selon la base de données Our World in Data (en anglais).
« Ça fait quand même quelque chose de consistant », appuie Daniel Floret, vice-président du Comité technique des vaccinations, rattaché au Haut Conseil de la santé publique. « On a déjà un recul de l’ordre d’une année pour les personnes qui ont été dans les essais cliniques », ajoute-t-il.
« L’autre point important, c’est que les effets indésirables des vaccins apparaissent habituellement dans les jours voire dans les semaines qui suivent la vaccination. »
Daniel Floret, vaccinologue à franceinfo
Dans le cas des vaccins contre le Covid-19 autorisés dans l’Union européenne, les quelques effets indésirables graves identifiés sont survenus rapidement : après quatre jours en moyenne pour les rares myocardites identifiées après une injection du vaccin Pfizer-BioNTech, en moins de dix jours pour les thromboses liées au vaccin d’AstraZeneca et « quelques semaines après la vaccination » avecle vaccin Janssen pour le syndrome de Guillain-Barré, lui aussi très rare, recense Daniel Floret.
Par le passé, les seuls effets secondaires réellement établis en lien avec une vaccination se sont déclarés peu de temps après l’injection, assure le chercheur.
« Les effets indésirables à long terme, c’est une croyance. (…) On a quand même un siècle de recul par rapport à la vaccination. »
Daniel Floret, vaccinologue à franceinfo
Daniel Floret cite notamment l’exemple des rares « cas de narcolepsie » après le vaccin Pandemrix contre la grippe A (H1N1), apparus, selon lui, « deux mois à peu près après la vaccination ». En 2013, au sujet du Pandemrix, l’Agence nationale de sécurité du médicament avait évoqué un délai moyen d’apparition des symptômes de quatre mois chez les enfants et cinq mois chez les adultes, avec des extrêmes compris entre deux jours et deux ans et demi.
L’ARN messager, « ce n’est pas récent »
Autre point soulevé par les plus réticents à la vaccination : les scientifiques manqueraient de recul sur la technologie employée par les vaccins, à savoir l’ARN messager pour Pfizer-BioNTech et Moderna et les vecteurs viraux pour Janssen et AstraZeneca. Un point de vue que réfutent les spécialistes interrogés par franceinfo.
« L’ARN messager est une technologie connue depuis les années 1990, utilisée en immunothérapie et contre le cancer. »
Mylène Ogliastro, virologue à franceinfo
« Ce n’est pas récent », insiste Mylène Ogliastro, chercheuse à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae). Cette technique avancée se fonde sur l’utilisation d’un code génétique appelé acide ribonucléique (ARN) qui, une fois dans l’organisme, permet la production de protéines spike – des marqueurs du virus – pour engendrer une réponse immunitaire.
« Vous avez vu la rapidité avec laquelle on est allé pour avoir une solution ? Avec des vaccins classiques, on en serait encore à se demander à faire des tests pré-cliniques », s’enthousiasme la virologue. Les travaux sur les vaccins ont également été accélérés grâce aux recherches sur le premier syndrome respiratoire aigu sévère (Sars) identifié au début des années 2000, rappelle-t-elle.
L’ARN messager « ne persiste pas » dans le corps
Daniel Floret se veut rassurant. « L’ARN messager disparaît de la cellule très rapidement après son introduction, donc il ne persiste pas, décrit le vaccinologue. Il en va de même pour les particules lipidiques, qui sont le vecteur de l’ARN messager. »
« On ne voit pas bien pourquoi l’ARN messager pourrait avoir des effets secondaires à long terme. »
Daniel Floret, vaccinologue à franceinfo
Quant aux vaccins à vecteurs viraux Janssen et AstraZeneca, qui se fondent sur l’utilisation d’un virus appelé adénovirus détourné de ses fonctions d’origine, là aussi, les spécialistes certifient leur fiabilité. « On a davantage de recul puisqu’il y a déjà des vaccins à vecteur viral qui existent et pour lesquels on n’a pas eu de problème particulier », notamment « contre Ebola », détaille Daniel Floret.
« On est sur une technologie de pointe mais on a quand même l’habitude d’utiliser des virus pour vacciner : les vaccins viraux vivants atténués, ça existe depuis des dizaines d’années », appuie le vaccinologue, en citant notamment les vaccins contre la rougeole, la rubéole ou encore les oreillons.
« Une phase de vigilance aiguë »
ARN messager ou adénovirus, ces technologies reposent donc sur plusieurs années de travaux. Néanmoins, certaines personnes réticentes à la vaccination mettent en avant la poursuite des tests de sécurité des vaccins contre le Covid-19. Ceux-ci se trouvent en effet encore en phase 3 d’étude, sur des milliers de personnes. La phase 3 de Pfizer devrait se terminer en mai 2023. L’objectif : collecter davantage d’informations, après avoir mesuré la toxicité des vaccins en phase 1 et leur efficacité en phase 2.
Sommes-nous donc des cobayes ? Daniel Floret réfute cette idée. « Le fait que la phase 3 ne soit pas terminée, c’est essentiellement une garantie de sécurité, explique-t-il. Les personnes inscrites dans l’essai clinique vont être surveillées au long cours. C’était une exigence des agences réglementaires qui montaient les essais cliniques. »
La virologue Mylène Ogliastro abonde. « On est vraiment dans une phase de pharmacovigilance aiguë, c’est-à-dire qu’il y a un niveau de vigilance extrêmement élevé et mondialisé », observe la chercheuse.
« On vaccine beaucoup et on surveille beaucoup. »
Mylène Ogliastro, virologue à franceinfo
La chercheuse de l’Inrae regrette cependant la suspension, durant deux jours, en mars dernier, du vaccin AstraZeneca, après l’identification de plusieurs cas de thromboses. Malgré un « risque réel » de complications, « ça n’a servi à rien de suspendre AstraZeneca pour deux jours », déplore-t-elle. « Cela a simplement jeté l’opprobre sur le vaccin. »
« On demande de la transparence et il y en a. Et quand il y en a trop, cela génère de l’angoisse. »
Mylène Ogliastro, virologue à franceinfo
Les deux spécialistes sont unanimes : la protection de la société en ces temps de pandémie passe par la vaccination. Au-delà du risque individuel posé par une absence de vaccination, se pose aussi un risque collectif : « continuer à laisser circuler le virus et donc continuer de le diversifier », avec le danger de nouveaux variants, qui pourraient être capables « de résister davantage aux vaccins ou de contourner le système immunitaire ».
Rodolphe BACQUET, regarde :
https://dejavu.legal/fr
Bonjour
Comment puis-je je vous aider, comment puis je participer à vous aider à vous battre dans vos combats, notamment le pass sanitaire??
Bonjour
C’est plus une question qu’un commentaire, malgré le fait que j’adhère à tout ce que vous écrivez réellement.
Dites moi comment je peux faire pour être active , vous aidez contre ce pass sanitaire notamment ?? Comment puis-je participer hors manifestations, dans d’autres secteurs d’intervention, le vôtre notamment ??
Il faut arrêter de monter la tête de vos lecteurs à coup de fausses informations.
Les références que vous fournissez sont des sites complotistes (European Union Times, Global research,….) et non pas les données officielles. C’est insupportable et irresponsable.
bonjour ,
je voudrais vous envoyer une pièce jointe ,ou coller dans cette bulle ,mais je n’y arrive pas ?
comment faires
cdt
Je vous soutiens TOTALEMENT dans vos réflexions. Merci de votre résilience ! Il est difficile d’ouvrir les yeux à des gens qui refusent tout effort intellectuel afin de comprendre que les politiques nous obligent d’être « vaccinés » comme du cheptel, sans distinction et anti-démocratiquement. On peut considérer cette mesure comme un génocide d’idiots.
Bien à vous et continuez sur votre chemin !
SOIGNANT, responsable et CITOYEN,
De mon CORPS, je prends soin
Vitamine D, zinc’ omégas 3 …
Il sait c’qui lui convient
Son IMMUNITE ? Leur dit me rci !
Masques, gel, m’y suis habitué,
Peu plaisants mais c’est ok ….
VACCIN, pass’ d’abord la 3ème phase,
Plus tard, peut-être qu’on t’accueillera
Pour le moment passe ton chemin
LIBERTE d’exercer, est-ce trop exiger ?
Liberté de CONSCIENCE, tu n’es pas vaine !
Monsieur le PRESIDENT
Halte au tout-vaccin(s)
Ouvrez les yeux
Dites oui à Dame Nature,
Elle a tant à offrir, regorge de pépites !
Messieurs VERAN Salomon et consorts,
Où étiez-vous pour parler de PREVENTION?
N’était-ce là rien qu’un gros mot ?
IVERMECTINE, c’est pas tripette !??
Mieux vaut tard que jamais
A vous d’vous raviser
L’est permis d’en douter
Mesdames et Messieurs les PARLEMENTAIRES
Ecoutez notre appel
Calmez le jeu, sortez-nous de ce mauvais rêve !
Ne la surjouez pas
Comm’ en haut lieu,
Ramenez l’exécutif à la raison !
Suis COLIBRI, je fais ma part ….
Bonjour, ce qui me plait le plus c’est que 97% des cas sont des non vaccinés ! (Dixit Veran) Normal..!!!. si on considère que ce sont les seuls qui sont contraints de faire un test pcr si pas vaccinés !
Bonjour à tous
Voilà, je suis soignante dans un hôpital d’une petite ville dans le Grand Est…
Nous avons été très impacté par le Covid au différentes vagues
Mais surtout à la 1ère (mais je ne vous apprends rien)
Par esprit de solidarité et par déontologie, je me suis faite vacciner en janvier considérant que ce geste était normal en tant qu’infirmière.
Pour ma part, je pense que chacun d’entre nous est libre en son âme et conscience d’adhérer ou de ne pas adhérer aux déclaration de nos dirigeants.
Mais je vous en prie, n’agissez pas sous forme de polémique et ne monter pas les individus les uns contre les autres, on a besoin de tolérance et d’empathie les uns envers les autres.
Bon week-end à tous et restez prudents