Covid-long, la face cachée du covid

Bonjour
J’ai eu la Covid en octobre 2020 avec séquelles neuro musculaires jusque mars 2021 perte goût et odorat également mais pas de toux du tout
J’ai eu les 2 ongles du gros orteil noirs comme morts
J’ai récupéré le gauche au bout de 8mois et le droit noircit quand je suis malade
J’ai eu à nouveau la Covid début août et mon ongle est à nouveau « mort »
J’ai fait des analyses de mycoses au cas où et rien
J’ai été cas contact à 2 reprises avec personnes très proches et mon ongle est aussi à nouveau tombé sur 2021 mais reste négative
J’ai une douleur qui revient périodiquement au bras à l’endroit ou j’ai eu un seul vaccin car au vu de mes séquelles je n’ai pas souhaité faire le rappel , j’ai fait radio écho pour voir si pas de souci épaule et rien décelé , ils évoquent peut être une capsulite en m’indiquant qu’ils ont eu plusieurs cas depuis le vaccin
Dernier gros changement j’ai des acouphènes depuis octobre 2020 comme par hasard qui ressortent de temps en temps comme il y a 15 jours où elles sont t réapparues fortement pendant mon nouveau Covid
Lors de mes symptômes en juillet j’ai fait 3 tests négatifs alors que ma fille et mari positifs et j’avais les mêmes symptômes qu’eux
J’ai été positive 14j Après les 1ers symptômes
Désolée je livre mon ressenti en vrac mais j’ai tellement été perturbée avec ces incohérences que ça fait du bien de les partager
Au passage j’ai perdu ma maman en Ehpad et je ne compte plus les incohérences rencontrées et ma révolte sur les protocoles appliqués
Sinon au niveau traitement je ne prend aucun médicament j’ai pris des tisanes de thym
De la vitamine D de la propolis et met sur mes poignees un mélange d’huiles essentielles tea tree ravinstara et naiouli
Bonne continuation à tous

Bonjour Rodolphe,
Je vous suis depuis quelques années et de toutes les lettres d’information alternatives que je reçois, vous êtes la seule que je continue à lire pour votre constante preuve de discernement et d’intégrité.

Toutefois sur le covid, je suis étonné que vous poursuiviez dans la validation de son existence quand de plus en plus d’informations fondées par des scientifiques de renom sans conflit d’intérêt démontrent à sa non-existence et par conséquent sa non contagion. Nous avons certes affaire à quelque chose mais qui n’est pas d’origine virale. Comme l’a démontré LC Vincent en bioélectronique et Gaston Naessens avec son somatoscope les virus se développent dans certaines conditions de déséquilibre et poursuivent un cycle qui est favorable pour l’évolution biologique de l’être humain.

Le documentaire « Terrain » est très argumenté et le livre du virologue Peter Duesberg « L’invention du virus du Sida » l’est également. Il faut absolument donner un autre éclairage à la dégradation physique (qui ressemble plus à un empoisonnement progressif multifactoriel) et trouver les vraies causes pour apporter de vraies solutions.

Bien à vous,
eddy

Bonjour, 1er covid mars 2020, douleurs thoraciques à ne plus pouvoir marcher, perte de goût, modification d’odorat, sensation d’avoir un chalumeau qui me brule l’œsophage… mais pas de fièvre donc covid déclaré « mineur ». Mai 2020, scanner et 1ere péricardite liée au covid, prise de colchicine qui me déclenche une hépatite médicamenteuse. Je vais recommencer à marcher doucement, à partir de janvier 2020. Mars 2021, 1ere dose Pfizer, 10 jours après 2eme péricardite, je prends l’initiative de ne pas faire la 2e dose, aucun médecin ou cardiologue ne prendra la décision. Je recommencerai à pouvoir marcher très lentement à partir de novembre 2021. Décembre 2021, 2e covid et 3eme péricardite, mon moral s’effondre, je ne sors plus, je ne peux plus embrasser mes enfants, je passe mes journées sur un canapé, je n’ai plus la force de vivre. Je vais remonter et à partir d’avril 2022 avoir enfin le droit de faire une rééducation respiratoire et cardiaque qui m’avait été refusé auparavant. Je vais enfin mieux, mais début juillet 2022, 3e covid et 4e péricardite. 1 mois horrible mais la rééducation faite au printemps va accélérer ma guérison, mais pas retrouver mon goût.
Je vous épargne, tous les pathologies « secondaires ». Je croyais mener une vie « saine » légumes-fruits, tisane… peu de viande, sports… mon mari a un diabète avec insuline, fumeur, obèse ne fait pas de sport, n’aime pas les légumes et RIEN.

Bonjour Rodolph,
Très intéressant votre article.
Question = et si le « covid long » n’était pas un syndrome post-infectieux ?
Ma théorie, issue de nombreuses observations en matière de nuisances environnementales, que l’on nous fait subir depuis de nombreux mois – ou années, s’oriente plutôt vers le caractère hautement toxique (chimique et électro-magnétique) de l’atmosphère notamment urbaine. Je pense, en particulier, au déversement de quantités considérables de gaz soufrés (H2S et SO2) et l’émission de champs électro-magnétiques pulsés hautes fréquences et hautes énergies, mis en œuvre pour manipuler continuellement notre climat (géoingéniérie).
D’ailleurs, en reprenant chaque symptôme individuellement, nous pouvons en retrouver la trace dans les différentes descriptions cliniques spécifiques de l’INRS, chez les personnes exposées (SO2, H2S, irradiation électromagnétique – avec ou sans nanomatériaux injectés).
A lire = https://www.geoengineeringwatch.org/wildfires-as-a-weapon-us-military-exposed/
Bonne santé.
Dr. Ph. D.