Chers amis
J’aborde aujourd’hui le sujet très sensible de l’interprétation de la proportion entre vaccinés et non-vaccinés dans les hospitalisations Covid.
C’est un sujet important et, bien que compliqué, il me paraît impératif que nous nous y attardions ensemble, vous et moi.
Suite à mes dernières lettres consacrées à la situation sanitaire, vous êtes quelques-uns à m’écrire, en substance : « oui, mais on voit malgré tout que seuls les vaccins protègent des formes graves car il y a proportionnellement moins de vaccinés en soins intensifs. »
Pierre, par exemple, m’a écrit ce commentaire mercredi :
« Les statistiques des admissions en réanimation montrent clairement que les non vaccinés sont majoritaires. Et citer des chiffres inverses sans rentrer dans le détail qui montrent qu’il s’agit de chiffres bruts sans préciser les proportions est encore une fois une tromperie pour ceux qui ne possèdent pas ces analyses. »
Pierre, vous avez raison : si l’on compare les « populations » de vaccinés et de non-vaccinés de la population totale, les non-vaccinés sont proportionnellement davantage représentés en soins intensifs que les vaccinés.
Je vais revenir plus précisément sur les chiffres dans un instant, graphiques à l’appui.
Et je vais m’efforcer de vous expliquer pourquoi, si les mathématiques semblent vous donner raison… la science et l’épidémiologie nous disent que nous faisons une erreur historique avec la politique vaccinale en cours.
Mon explication tient en trois étapes.
C’est un peu technique, mais de grâce, lisez-moi jusqu’au bout.
Étape n°1 : comment lire la progression des hospitalisations des « vaccinés » en France ?
Comme vous le savez, les chiffres des hospitalisations et du « statut vaccinal » de chaque patient sont publics, et disponibles en France sur le site de la DREES[1].
En revanche, ces données sont livrées brutes, et ne sont guère lisibles par les néophytes.
Thibaut Masco, que je remercie encore au passage de me laisser utiliser ses travaux, s’est justement attelé à la tâche titanesque de rendre lisibles ces chiffres[2].
Voici pour commencer les données des hospitalisations pour cause de covid-19 :
Comment lire ce graphique, et les deux suivants ?
Chaque bâton représente une semaine : les données commencent à la semaine 22, c’est-à-dire à celle du 31 mai 2021. La dernière semaine pour laquelle nous avons des données complètes est la semaine 45, soit celle du 8 novembre dernier.
Les « non-vaccinés » sont en bleu foncé. Toutes les autres couleurs indiquent des patients vaccinés, mais représentés différemment selon le nombre d’injections et la date de leur dernière injection.
Ce qui saute immédiatement aux yeux, c’est la progression nette des hospitalisations et des décès des « vaccinés » en 6 mois, au point de dépasser, il y a un mois, ceux des non-vaccinés.
Depuis un mois, donc, moins de 45 % seulement des hospitalisations pour Covid concernent des patients non-vaccinés.
Autrement dit : plus de la moitié des hospitalisés sont vaccinés.
Cette proportion et cette progression se retrouvent pour les entrées en soins critiques, avec un léger décalage dans le temps (ce qui est normal puisque l’hospitalisation précède dans la plupart des cas l’admission en soins intensifs) :
Mais aussi pour les décès attribués au Covid :
On peut retourner les chiffres dans tous les sens, ils sont clairs : peu à peu les patients vaccinés deviennent majoritaires parmi les victimes de formes graves du Covid.
Cette progression suit de très près, en réalité, la courbe de la campagne de vaccination en France. Début juin, Emmanuel Macron n’avait pas fait sa fameuse annonce du 13 juillet et la vaccination de masse n’avait pas atteint les proportions homériques d’aujourd’hui.
Il est donc tout à fait logique de retrouver de plus en plus de vaccinés parmi les hospitalisés et les morts du Covid, tout simplement parce qu’ils sont de plus en plus nombreux en France.
Première conclusion, donc : en valeur absolue, il y a plus de personnes vaccinées aujourd’hui à souffrir de formes graves du Covid, que de personnes non-vaccinées.
Et, quoi qu’on en dise, ces hospitalisations et ces morts nous enseignent que le vaccin a échoué à protéger ces patients des formes graves.
Étape n°2 : comment comprendre que les non-vaccinés, représentant 25% de la population française, représentent encore plus de 40% des formes graves ?
En ce début décembre, plus des trois quarts de la population française est considérée comme ayant un « schéma vaccinal complet »[3].
Mais les patients vaccinés en soins intensifs ne sont pas à 75% ! Ils sont actuellement un peu moins de 60%.
C’est le fameux argument « à population égale ».
Et c’est vrai : « à population égale », il y a proportionnellement plus de patients non-vaccinés victimes de formes graves du Covid, que de patients vaccinés.
Aussi, je vous l’accorde, c’est notre deuxième conclusion : en valeur relative, la population non-vaccinée reste plus exposée à des formes graves que la population vaccinée.
Mais si nous entrons dans le domaine du « relatif » et de la « proportion » comme le font celles et ceux qui brandissent immanquablement cet argument, que voyons-nous ?
Nous voyons que nous prenons le problème à l’envers : nous accusons les non-vaccinés d’être responsables de la saturation des hôpitaux parce qu’ils ne sont pas vaccinés… au lieu d’interroger le taux d’efficacité des vaccins à protéger les vaccinés des formes graves !!!
Autrement dit : si les vaccins à ARN messager avaient l’efficacité qu’ils prétendent avoir – et je parle ici uniquement de leur effet protecteur contre les formes graves, même pas de leur efficacité concernant la contamination et la propagation, car j’y reviendrai – la proportion de vaccinés à l’hôpital devrait rester basse et minoritaire… et ne pas participer à la hausse en valeur absolue des hospitalisations.
Vous me suivez ?
Or, ce n’est pas le cas.
À la question : ces vaccins arrivent-ils à protéger des formes graves ? Je réponds donc : oui, c’est vrai.
Mais à la question : cette protection est-elle suffisante ? Je réponds : non, de toute évidence.
Mais une fois que nous avons dit cela, nous n’avons traité qu’une partie du problème.
Car, je vous le rappelle, la « protection des formes graves » n’est qu’une dimension par laquelle on peut juger de l’efficacité vaccinale.
Et c’est là, à mon sens, que la logique de la lutte du « tout-vaccinal » s’effondre.
Étape n°3 : étudions le « coût » de cette efficacité relative
Un vaccin classique, bien conçu, reçoit normalement son autorisation de mise sur le marché parce qu’il remplit plusieurs critères :
- Il empêche la personne vaccinée de contracter une maladie s’il celle-ci est exposée au virus provoquant cette maladie ;
- Empêchant la contamination des individus, il limite donc la propagation du virus dans la population ;
- Si malgré tout, la personne vaccinée contracte la maladie, elle en développe une forme plus légère ;
- Le bénéfice de cette protection est supérieur au risque inhérent du produit vaccinal lui-même.
Sous le rapport des critères 1 et 2, les vaccins anti-Covid sont un échec cuisant. La cinquième vague qui sévit actuellement démontre que ces produits n’ont ni empêché Delta de circuler, ni empêché de nombreux vaccinés de développer des formes moyennes à sévères du Covid.
Pire, le pass sanitaire a probablement aggravé la situation en faisant se côtoyer étroitement :
- d’une part des personnes vaccinées, possiblement porteuses du virus et donc contaminantes,
- et d’autre part des personnes non-vaccinées dont on était sûr qu’elles n’étaient pas porteuses du virus puisqu’elles ont dû effectuer un test pour bénéficier du pass.
Le critère n°3 est « a priori » rempli, bien que nous ayons vu, au cours des deux étapes précédentes, que cette protection est lacunaire.
Nous en arrivons au problème spécifique de ces vaccins… que nous n’avions jamais rencontré avec aucun autre vaccin.
Et qui est celui, en plus de l’efficacité très partielle du vaccin, de l’efficacité temporaire.
Je vous en ai parlé dans une précédente lettre : quand vous étiez petit, votre médecin vous vaccinait une fois, effectuait une dose de rappel X temps plus tard, et vous aviez des anticorps à vie.
La « 3ème dose » existe dans des cas très particuliers, mais elle est rare. Et plutôt 10 ans après la dernière dose…
Dans le cas des vaccins anti-Covid, elle est systématique 6 mois maximum après la précédente. Pourquoi ?
Parce que ces vaccins ne confèrent une protection jugée « optimale » (et nous avons vu que cette protection est en réalité très lacunaire) qu’à coups de doses « booster » répétées.
Cette faible efficacité tient à mon avis à deux raisons simples :
- la précipitation de la création de ces vaccins et le manque de recul sur la technologie à ARN messager utilisée ;
- le fait que ces vaccins aient nécessairement un train de retard sur les variants : le virus évolue plus vite que la recherche, et ses mutations sont elles-mêmes accélérées par cette pression vaccinale.
Cette immunité partielle et vite périssable des vaccins, qui nécessitent de sempiternelles doses de rappels, est du jamais vu dans l’histoire de l’épidémiologie.
Ainsi, le vaccin anti-Covid de Pfizer/BioNTech pourrait, selon un communiqué de l’industriel, être efficace contre Omicron… après trois doses (et non deux comme c’était jusqu’ici le cas)[4].
La campagne « 3ème dose » est par ailleurs à peine entamée que Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique, a d’ores et déjà annoncé devant la Commission des affaires sociales du Sénat qu’une injection de « 4ème dose » serait probable « à un moment donné »[5].
Le plus beau, c’est que cette faiblesse intrinsèque de la protection immunitaire apportée par ces vaccins fait évidemment les affaires de leurs concepteurs : en septembre dernier, le patron de Moderna a déclaré travailler sur un modèle de vaccins avec des mises à jour annuelles « comme un Iphone[6] » !
Cela m’avait fait rire, à l’époque… mais nous y arrivons : il est tout à fait vraisemblable que si l’on continue à effrayer la population avec le SARS-CoV-2, toute « mise à jour » de vaccin motivée par chaque nouveau variant sera présentée comme nécessaire… et déclarée obligatoire pour conserver le bénéfice du pass sanitaire.
Conclusion n°3 : l’immunité relative des vaccins se fait au prix d’une escalade insensée et jamais vue en termes de quantité et de régularité des injections.
Conclusion générale : on nous vend des béquilles à vie, obligatoires… et dangereuses
Résumons-nous.
Les vaccins actuellement employés n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni le virus de circuler.
Leur seul « bénéfice » affiché : empêcher de développer des formes graves du Covid-19.
Mais cette efficacité est :
- très partielle (d’où le fait que plus de la moitié des formes graves sont malgré tout contractées par des patients vaccinés) ;
- conditionnée à des doses de rappel tous les 6 mois.
Notre société est donc lancée dans une course en avant visant à maintenir une immunité vaccinale fragile, et limitée dans le temps.
Tout se passe comme si, ayant une jambe cassée, on nous demandait de marcher ad vitam avec des béquilles, plutôt que d’aider notre organisme à réparer la fracture puis à se rééduquer.
Mais ce n’est pas tout.
Si vous avez bien suivi mon raisonnement plus haut, vous avez dû remarquer qu’il restait un quatrième critère de l’efficacité d’un vaccin en suspens : c’est celui de la balance bénéfice-risques.
Ces « béquilles » immunitaires que l’on est en train de nous imposer, et qui seront remplacées tous les 6 mois, n’ont pas seulement pour défaut de nous empêcher d’éduquer notre système immunitaire naturel afin qu’il développe des anticorps naturels : elles augmentent considérablement notre risque de trébucher.
Autrement dit, de développer d’autres problèmes de santé.
Or ces problèmes de santé, ils sont désormais identifiés et (en partie) répertoriés.
En France, c’est l’ANSM qui s’occupe de ce travail de pharmacovigilance, et plus de 115 000 cas ont été recensés au 25 novembre, dont un quart sont graves[7] :
Je rappelle qu’il s’agit là des cas officiellement recensés, et que (je ne m’en cache pas, c’est mon opinion) ces chiffres sont vraisemblablement en-dessous de la vérité.
Nous savons par ailleurs que les cas de maladies cardiaques inflammatoires (myocardites et péricardites) ont bondi depuis moins d’un an, pour atteindre des niveaux inouïs. Là encore, je partagerai bientôt avec vous le remarquable travail d’enquête de Thibaut Masco.
À présent, je vous invite à multiplier toutes ces incidences d’effets secondaires par nombre de doses et par an si, comme nous en prenons la direction, une dose de rappel tous les 6 mois est imposée à l’ensemble de la population.
C’est glaçant, n’est-ce pas ?
Au final, la politique du « tout-vaccinal » :
- n’empêche pas les vaccinés d’attraper le virus ;
- n’empêche pas le virus de circuler ;
- n’empêche pas le virus de muter (au contraire) ;
- n’empêche que partiellement les vaccinés de développer des formes graves ;
- nous fait baisser la garde sous le rapport de l’immunité naturelle ;
- bloque la recherche pour des traitements adaptés aux formes de covid graves ;
- démultiplie les occurrences d’effets secondaires dans la population vaccinée.
Pour finir, je réponds à Pierre, et à celles et ceux qui me reprochent de ne pas remettre « en perspective » les chiffres de la répartition vaccinés/non-vaccinés des hospitalisations pour cause de Covid.
La perspective, elle est là.
Il s’agit de prendre acte de la protection non seulement incomplète mais dramatiquement temporaire de ces vaccins, et de questionner cette faible efficacité sous le rapport :
- de son coût humain (les effets secondaires, les morts),
- de son coût sanitaire (explosion des dépressions, circulation persistante du virus, accélération de ses mutations),
- de son coût social (l’inquiétante polarisation de notre société) ;
- de son coût économique (les milliards distribués aux labos qui développent ces vaccins – milliards qui sont, évidemment, de l’argent public, donc notre argent).
Persister de façon obstinée dans cette vaccination de masse en pleine épidémie en vaut-il la chandelle ?
Je vous laisse me répondre.
Portez-vous bien,
Rodolphe
Sources :
[1] République française, Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques. https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/
[2] Pour obtenir les rapports de la Lettre « Santé non censurée », vous pouvez vous inscrire à cette lettre en cliquant ici
[3] Manon C (01.12.2021). Vaccination covid : 77,5% des français primo-vaccinés, 10,3% ont reçu la dose de rappel. Sortir à Paris. https://www.sortiraparis.com/actualites/coronavirus/articles/257532-vaccination-covid-77-5-des-francais-primo-vaccines-10-3-ont-recu-la-dose-de-rappel
[4] France24 (08.12.2021). Pfizer-BioNTech assure que son vaccin est « efficace » contre Omicron après trois doses. https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211208-pfizer-biontech-assure-que-son-vaccin-est-efficace-contre-omicron-apr%C3%A8s-trois-doses
[5] La rédaction avec AFP (08.12.2021). Covid-19 : ce qu’il faut retenir de la journée de mercredi. DNA.fr https://www.dna.fr/sante/2021/12/08/covid-19-rien-n-indique-qu-omicron-provoque-des-formes-plus-severes-selon-l-oms
[6] L’Indépendant. (23.09.2021). Covid-19 – Le patron de Moderna veut proposer des vaccins avec des mises à jour annuelles « comme un Iphone ». https://www.lindependant.fr/2021/09/23/covid-19-le-patron-de-moderna-veut-proposer-des-vaccins-avec-des-mises-a-jour-annuelles-comme-un-iphone-9808199.php
[7] ANSM, Agence nationale de la sécurité du médicament et des produits de santé. (03.12.2021). Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la Covid-19 – Période du 12/11/2021 au 25/11/2021. https://ansm.sante.fr/actualites/point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-la-covid-19-periode-du-12-11-2021-au-25-11-2021
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En soumettant mon commentaire, je reconnais avoir connaissance du fait que Total Santé SA pourra l’utiliser à des fins commerciales et l’accepte expressément.
Les statistiques sont interprétables dans tous les sens… Je suis moi-même mathématicienne et spécialisée dans l’interprétation des statistiques.
Votre opinion est très subjective !
Je suis d’accord avec vous. Méfiance car en rencontrant trois infirmières exerçant dans trois hôpitaux de départements différents, il leur est demandé de passer des vaccinés en non vaccinés. Elles n’ont pas le droit de le dévoiler sous peine de licenciement. A se renseigner si ce fait est vraiment réel. Et, tous les vaccinés hospitalisés pour effets secondaires sont comptabilisés où par les hôpitaux, dans les Covid ou non ? Je me pose la question depuis longtemps. Il y en a tant.. Tout reste tu. Merci pour tout ce que vous faites. Cordialement
Ce témoignage d’une infirmière va dans le même sens (à 21 minutes), à savoir dissimuler un nombre trop important de vaccinés qui tomberaient gravement malades du Covid et qui seraient hospitalisés. Reste à savoir si c’est un cas isolé ou pas. A noter que le journaliste balaie ça d’un revers de main, c’est sûr que cela ferait désordre si cela s’avérait vrai et fréquent.
https://rmc.bfmtv.com/emission/5eme-vague-croyez-vous-a-un-reconfinement-le-debat-des-grandes-gueules-2051509.html
je ne suis pas vacciné tant que la pression sur les non vaccinés de attend mais je vous conseil de lire la lettre de m ATTALI de 1981 sur l eugénisme et vous aurez la réponse
Les labo ne demandent pas mieux que de vendre un nouveau vaccin .Sommes_nous esclaves de leur gros appétit .Personnellement je prends des vitamines :D , C, E, et du zinc . N’est-ce pas aussi bien que de se faire vacciner ?
Vraisemblablement les vitamines ne peuvent que vous faire du bien. Quand à savoir si ça peut suffire à lutter contre le virus, vous aurez la réponse si vous vous contaminez.
Bonjour, Il y a une donnée qui n’est prise en compte par personne et qui me semble importante pourtant.
Le public a été mis en garde que durant le processus de vaccination, il y a une baisse de l’immunité naturelle afin que l’ARN messager puisse s’implanter. Au vu des derniers résultats des performances des vaccins, il semblerait qu’il n’y a pas de récupération de cette baisse d’immunité puisqu’à 8 mois, le taux d’efficacité du vaccin devient NÉGATIF par rapport aux non-vaccinés.
Si chaque dose supplémentaire détériore un peu plus l’immunité naturelle, les multi-vaccinés finiront en déficience totale. Cette situation a un nom: Syndrome
Immuno Déficience Acquise, communément appelé SIDA.
Sombre avenir si ce risque est avéré.
Cordialement
Pourquoi vous ne parlez pas du pourcentage des vaccinés avec rappel qui sont en soins critiques ou réanimation. Ce pourcentage est très faible. Ce qui donc démontre l’intérêt de la vaccination complète. Votre article est donc faux
Merci Rodolphe
A 81 ans j’ai attrapé le vrai Covid (décembre 2020) je m’en suis sortie avec l’antibiotique de Raoul : grosse fièvre (39/40 pendant 8jours) grosse fatigue . Mais pas de séquelles. Je refuse tout vaccin et toutes info télé ou radio… (depuis le début !)
Je tiens bon mais j’en ai marre et suis très inquiète pour les jeunes
Où sont passés les révolutionnaires de 1789 ? Mai 68 ? Gilets jaunes et autre ?
La moindre jugeote aurait dû ouvrir les yeux face à tant d’incohérence ….
Où allons nous ?
Bonjour Mr.Rodolphe, j`ai 70 ans et du Québec, j`ai connu enfant l`almanach que ma mère achetait et c`était plus les histoires qui m`intéressaient , et j`aimais fouiller dedans . Dans les campagnes il était beaucoup consulté pour les prévisions de températures et de la lune et ça faisait même partie des conversations sur les perrons de l`église . Les femmes y trouvaient maintes suggestions pour la vie de tous les jours . Je trouve que c, est une excellente idée que vous avez eu de sortir ce livre des boîtes . Je ne l,achète pas, car maintenant je lis peu et des produits de santé comme les plantes et les champignons , etc. ne se retrouvent pas ici (ex: l`euphraise pour le bain d,oeil) . Les gens ont besoin de retourner aux sources et à la simplicité , je suis sûre que votre almanach aura un franc succès et nourrira bien des conversations. Je vous souhaite le meilleur pour Noel et la Nouvelle Année .
je vient de vous lire et j’avoue que vous m’avez scotché , car je suis complètement d’accord avec votre analyse très documenté, ce qui fait plaisir a vous lire !, ça nous change de ces professeurs et médecins ainsi que certains membres du gouvernement nous sortir des explications un peu hasardeuses y compris certains médias journalistique !!, merci encore pour vos analyses éclairées !
Vaccination de masse indispensable ….pour le nouvel Ordre mondial !
Bonjour et merci pour votre travail. Moi je suis du Québec et les vaccinés soient une dose ou deux sont considérés vraiment vaccinés, 14 jours après l’injection. S’ils sont hospitalisés avant ces 14 jours, ils sont considérés non vaccinés. S’il y a décès, ils font partie de la liste des non vaccinés. Est-ce ainsi chez vous?
Monsieur Bacquet,
Méfiez-vous des chiffres et des affirmations erronées (involontaires, j’espère…). Il est FAUX de prétendre que :
1 – Un vaccin doit protéger totalement. Non, aucun vaccin ne le fait, dont celui de la grippe.
2 – Plusieurs doses de vaccin faciliteraient les variants… En fait, on n’en sait encore rien
Ensuite, méfiez-vous des chiffres… En Belgique, les chiffres officiels donnent plutôt la 1/2 des hospitalisations pour chaque catégorie : vaccinés et non-vaccinés.
Je rejoins Philippe (dans les commentaires) : la proportion doit être +/- la même en France, car nos deux pays ont à peu près le même taux de vaccination globale.
Par ailleurs, plus ce taux de vaccinés augmente, plus nombreux seront les vaccinés hospitalisés. C’est tout à fait normal. Imaginez même l’impensable: 100% de la population vaccinée. On n’aurait que des vaccinés hospitalisés.
Non, les faits marquants (que vous esquivez un peu rapidement) sont les suivants :
1 – Les RAISONS de cette augmentation de vaccinés hospitalisés :
– Personnes âgées, premières à être vaccinées, le vaccin ayant perdu en efficacité.
– Personnes âgées et/ ou en comorbidités = plus fragiles
– 90% de seniors sont vaccinés : on en retrouve alors plus en hospitalisation
– Personnes vaccinées, ayant crû qu’elles ne couraient plus aucun risque
– Comme dit plus haut : plus il y a de vaccinés = plus nombreux les risques d’hospitalisation
2 – Les RISQUES de complications GRAVES :
En Belgique, les non-vaccinés courent 6 à 8 X plus de risques de se retrouver, soit en soins intensifs, soit en réanimation. Cela est confirmé par le corps médical soignant.
Merci donc de nuancer votre utilisation des données, sinon vous affaiblissez vos prises de position permanentes dans la pandémie en cours.
Bonjour, et merci pour votre mail. J’ai une question après lecture : avez-vous les données par vaccin (Pfizer, Moderna, Astra, J.J.) ? et auquel cas, les résultats sont-ils similaires , que ce soit tel ou tel vaccin ?
Bonjour, Et un grand merci pour ces infos. Une question cependant : auriez-vous les chiffres par vaccin (Pfizer, Moderna, J. Johnson, Astra z.) ? Si oui, quels en sont les résultats ? Sont-ils identiques, que ce soit tel ou tel vaccin ? Cordialement
Qu’est-ce que la bithérapie dont parle Hubert?
Comment trouver un médecin comprenant ma position consciente de non vaccinée et acceptant de me soigner si c’était nécessaire? Merci.