Chers amis,

Ça y est, depuis quelques mois, vous pouvez en trouver en pharmacie, dans les boutiques spécialisées, et même certains bureaux de tabac et supermarchés.

Je suis donc enfin autorisé à vous en parler.

Nous avons gagné. Mais la lutte aura été acharnée :

  • La Suisse l’a légalisé en 2011[1], il y a déjà 10 ans !
  • En 2017, le comité d’experts de l’OMS déclarait : « Il existe des preuves qu’il peut être un traitement utile pour certaines affections médicales comme l’épilepsie, l’anxiété, les maladies inflammatoires, les douleurs, les nausées, etc. Il ne crée pas de dépendance et n’est pas dangereux pour la santé.»[2][3]
  • 33 pays du monde entier l’ont légalisé dans la foulée comme l’Allemagne, l’Irlande, la Bulgarie, l’Uruguay, l’Afrique du Sud, le Brésil, les Pays-Bas, le Canada, la Norvège…[4],[5]
  • En juin 2018, la France décide d’interdire sa commercialisation, à rebours des autres pays, dans un avis publié par la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA)[6].
  • Coup de théâtre en novembre 2020 : la Cour de justice de l’Union Européenne rend un arrêt qui juge illégale cette interdiction[7].
  • Sous la pression européenne, le 23 juin 2021, la Cour de cassation française le légalise.

En quelques mois, 1500 points de vente de ce produit ont ouvert dans toute la France…

Aujourd’hui, 1 Français sur 10[8] et plus de 71 millions des Européens[9] en consomment déjà, et la tendance ne fait que s’accélérer.

Vous en avez forcément entendu parler…

Je veux parler du CBD :

Cannabis et CBD, c’est comme vin et jus de raisin

Pour ceux d’entre vous qui ne connaîtraient pas encore, le CBD est le composé naturel contenu dans la plante de chanvre, et qui lui donne ses propriétés médicinales.

Dès 1550 av. J.-C., des papyrus attestent que les Égyptiens utilisaient le chanvre comme remède pour les problèmes oculaires et les douleurs menstruelles[10].

Puis la plante fut utilisée comme anti-inflammatoire par les Grecs et les Romains, comme anxiolytique par les Indiens, comme antiépileptique par les Arabes[11] .

Avant d’être interdite il y a 51 ans, sous prétexte que certains cultivaient des variétés spécifiques de chanvre : le cannabis.

Mais que ce soit clair : le CBD, ce n’est PAS du cannabis.

Ça vient de la même plante, le chanvre, mais c’est comme pour le raisin : vous pouvez en faire du jus ou du vin !

Le chanvre est en effet composé de deux principes actifs majeurs :

  • Le CBD, le composé médicinal, qui ne provoque aucune forme de dépendance ni aucun effet psychotrope (c’est chimiquement impossible) – il est principalement issu d’une variété haute entre 3 et 6 mètres.
  • Le THC, le psychotrope servant à faire des « joints » qui font « planer ». C’est lui qu’on connaît sous le nom de cannabis ou marijuana – il est principalement issu d’une variété de plante courte et touffue.

Certaines variétés de chanvre sont riches en THC, d’autres en CBD.

Et il est extrêmement facile de les séparer chimiquement pour n’isoler que le CBD.

CBD et cannabis n’ont donc rien à voir.

Dans la conclusion d’une étude clinique parue dans The Lancet[12], des addictologues de renommée mondiale recommandent même, pour les sevrer, de prescrire du CBD aux fumeurs… de cannabis.

Une confusion entretenue par Big Pharma

Ce sont en réalité les laboratoires pharmaceutiques et leurs lobbys qui veulent vous faire croire que le CBD, c’est du dangereux cannabis.

Il y a 51 ans, ils ont gagné.

Ils ont réussi à interdire un remède millénaire, le chanvre et son précieux CBD, en faisant croire aux autorités que CBD = chanvre = cannabis.

Si l’on se fie aux quelque 10 000 études scientifiques parues sur le CBD, les bienfaits du chanvre médicinal sont pourtant nombreux : apaisement des douleurs (articulations, mal de dos, de tête…), du stress et de l’anxiété, lutte contre les troubles du sommeil, contre les troubles de l’humeur et alimentaires, aide au sevrage tabagique[13]…

Si les labos entretiennent volontairement la confusion, c’est en vérité pour éviter de libérer l’énorme potentiel thérapeutique du CBD…

…dont ils savent qu’il menacerait leurs parts de marché sur des médicaments chimiques « stars » qui rapportent des dizaines de milliards chaque année.

Prenez simplement les anti-douleurs : ils représentent un marché en constante croissance, actuellement estimé à 48 milliards de dollars par an[14] avec des médicaments… que vous prenez peut-être… ?

Vous prenez de la codéine ?

  • Sachez que les opiacés et tous leurs dérivés comme la codéine, le Tramadol ou la morphine sont très efficaces contre la douleur aigue à court terme, mais tout à fait inefficaces et surprescrits contre la douleur chronique.
    Ils comportent de dangereux effets secondaires et il faut sans cesse augmenter leur dose pour conserver leurs effets antalgiques. C’est aujourd’hui la première cause de mortalité par overdose en Europe et aux Etats-Unis[15]!

Vous prenez des médicaments contre les douleurs articulaires ?

  • Les médicaments contre les douleurs articulaires et inflammatoires de l’arthrose, l’arthrite ou la polyarthrite rhumatoïde sont les plus rentables qui soient pour l’industrie. Le médicament Humira, par exemple, est le n°1 mondial des ventes de médicaments en 2020 avec 20,39 milliards de chiffres d’affaires pour le labo américain AbbVie[16]!
    Problème : ce médicament, comme d’autres de la même famille, ne fonctionne pas toujours et peut causer des éruptions cutanées, des étourdissements ou des infections respiratoires[17] ;

Vous prenez du paracétamol ?

  • Le paracétamol est le médicament le plus consommé au monde (le Doliprane à lui seul rapporte 111 millions d’euros par an juste en France[18]).
    Mais savez-vous qu’il est toxique pour le foie et les reins au-delà de 4 g / jour ? Que sa consommation régulière même à petites doses pourrait augmenter la tension artérielle et la survenue de problèmes cardiovasculaires, notamment chez les femmes[19]? ;

Vous prenez de l’aspirine ou de l’ibuprofène ?

  • L’aspirine et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l’ibuprofène sont également parmi les médicaments les plus populaires.
    Ils peuvent pourtant entraîner des brûlures d’estomac et des hémorragies digestives5, et sont théoriquement à réserver à des prises isolées et à faible dose.

Aujourd’hui, grâce à la ré-autorisation du CBD, c’est à notre tour de gagner !

Car tous ces médicaments chimiques peuvent être remplacés au moins en partie par le CBD[20].

La messagerie secrète de votre organisme

Comment ça marche ?

Grâce à un système de communication « secrète » de votre organisme : le système endocannabinoïde.

Il n’a été découvert qu’en 1992 grâce aux travaux du Pr Raphael Mechoulam, et les médecins considèrent qu’il s’agit d’une des avancées médicales les plus importantes du XXe siècle.

Le système endocannabinoïde, c’est un réseau complexe de récepteurs présents dans votre cerveau, vos poumons, votre foie, vos intestins, votre peau et même votre utérus ou vos testicules.

Il joue un rôle majeur dans la régulation de tous les processus physiologiques du corps : la gestion du poids, de la température, de la glycémie, du rythme cardiaque… mais aussi le contrôle des émotions, de la douleur, ou les capacités d’apprentissage !

Les études scientifiques les plus récentes, publiées dans de prestigieuses revues scientifiques[21],[22],[23], montrent que des dysfonctionnements de ce système seraient en fait impliqués… dans pratiquement toutes les maladies humaines !

Quand il fonctionne bien, il harmonise toutes les fonctions de votre corps grâce à des messagers, les endocannabinoïdes.

C’est fou et pourtant : notre corps fabrique de lui-même des cannabinoïdes, des molécules chimiquement très proches du CBD !

Quand le système endocannabinoïde fonctionne mal, un apport extérieur en cannabinoïdes peut l’aider à se réharmoniser.

C’est le rôle que joue le CBD, il est assimilé à 100% par votre organisme (on dit qu’il est bio-compatible), n’a aucune toxicité et ne produit aucun déchet dans le corps.

C’est pour cela que les médecins les plus à la pointe en parlent comme l’antidouleur du IIIe millénaire, tout aussi puissant et moins nocif que les opiacés, les dérivés de la morphine ou le paracétamol.

Et ce n’est pas tout.

Épilepsies, insomnies, anxiété…
Un remède d’avant-garde

Je vous ai parlé de la douleur, mais le CBD a bien d’autres indications que l’on commence à peine à découvrir.

À l’avenir et à mesure que la science progresse, il pourrait avantageusement remplacer d’autres médicaments comme :

  • La Dépakine : utilisée contre l’épilepsie depuis 55 ans, la Dépakine est tristement célèbre pour avoir causé entre 15 000 et 30 000 naissances d’enfants handicapés[24], ayant valu une condamnation de Sanofi et de l’Agence du médicament ;
  • Les benzodiazépines: ces calmants prescrits par les psychiatres pour soulager l’anxiété créent rapidement de l’accoutumance et peuvent provoquer des troubles de la mémoire, des changements de personnalité, de la somnolence et des insuffisances respiratoires[25] ;
  • Les imidazopyridines : des somnifères chimiques puissants prescrits contre l’insomnie et les troubles du sommeil, qui provoquent parfois des faiblesses musculaires, des allergies cutanées ou des troubles digestifs[26];
  • Et même le Viagra : véritable « machine à cash » pour son fabricant (un certain Pfizer), qui n’est malheureusement pas sans danger pour le cœur. Des études pionnières suggèrent en effet que le CBD pourrait lutter contre les troubles de l’érection[27];

Ça marche et ça commence à se savoir

Depuis que le CBD a été légalisé en juin dernier, les médias en parlent régulièrement.

Ils rapportent d’innombrables témoignages de personnes qui ont soulagé leurs maladies grâce à lui :

« À cause de l’arthrose, j’avais très mal à un genou au point de ne plus pouvoir dormir. J’ai commencé à prendre des anti-inflammatoires, mais mon estomac criait au secours ! Je me suis que je n’avais rien à perdre et j’ai commandé une boîte de CBD sur un site 100% légal. Ça a commencé à faire effet au bout d’une semaine. Je n’avais plus mal, je n’y pensais même plus ! J’ai continué pendant 1 et je n’ai jamais eu aucun effet secondaire. Aujourd’hui, même si mon cartilage est toujours détérioré, je n’ai plus mal et je n’en prends plus. » – Michelle[28]

« Je souffrais d’une gangrène de la mâchoire. Rien ne me soulageait. Je survivais avec la douleur et les maux qui s’y greffent. C’est alors que j’ai découvert le CBD. J’ai recommencé à vivre. Je pouvais enfin supporter la douleur et les contraintes médicales inhérentes à ma pathologie. Voilà pourquoi je m’y suis intéressé. » – André au journal L’Indépendant[29]

« J’en consomme parce que j’ai eu des problèmes de sommeil toute ma vie. Ça m’a vraiment changé la vie. » – une consommatrice régulière à TF1[30].

« Je faisais du sport 15h par semaine et j’ai commencé à avoir des douleurs vraiment prononcées au dos, donc j’ai arrêté le sport, mais la douleur n’est jamais partie. J’ai pris du poids, ce qui n’a pas arrangé les choses et je suis arrivée au stade où quand j’ai voulu me remettre à fond dans le sport, je me suis retrouvée bloquée. Je me suis dit que j’allais super mal vieillir et que j’allais me retrouvée en fauteuil roulant à 60 ans. J’ai été voir un neurochirurgien, qui m’a diagnostiqué une hernie discale volumineuse. Il m’a dit qu’il fallait que je fasse des infiltrations et qu’il y avait une probabilité que je me fasse opérer. Il m’a donné tout un tas de médicaments à prendre. Ça a soulagé ma hernie discale, mais au bout de 2 jours je les vomissais, j’avais des douleurs abdominales terribles ! Je suis allée voir une ostéopathe qui m’a parlé du CBD. Au bout de 3 prises de CBD, mes douleurs allaient beaucoup mieux. La douleur ne disparaît pas totalement, mais elle est largement atténuée et je peux refaire du sport et revivre au quotidien ! » Aurélia au média en ligne Brut[31]

« Lors de la Fête des mères, j’ai été prise de crampes aux mains, à force de confectionner des bouquets de fleurs. Tout de suite j’ai pensé aux huiles essentielles à base de CBD. Je ne suis pas très médocs, je préfère ce qui est naturel. Alors je l’ai appliqué sur mes mains et c’était magique. Je n’ai plus eu mal de tout le week-end et ça fonctionne aussi pour les raideurs au dos, à la nuque etc. Maintenant, de l’huile, j’en achèterai plus souvent. » – Alice au journal Ouest-France[32]

Le CBD, ça marche et ça commence à se savoir.

Reste à savoir, pour chaque indication de santé, comment et à quelle dose le prendre.

Huiles, fleurs, résines, crèmes, pollens…
Quelle forme choisir ?

Vous l’avez peut-être constaté, des boutiques de CBD ouvrent un peu partout en France.

Le CBD y est vendu sous forme :

  • d’huiles,
  • de capsules,
  • de fleurs séchées,
  • de résines,
  • de pollens,
  • de cristaux,
  • de thés et tisanes,
  • de crèmes,
  • de pommades chauffantes,
  • de patchs,
  • de liquides pour cigarettes électroniques,
  • de chewing-gums, biscuits, friandises et boissons aromatisées,
  • …et même de croquettes pour nos amis les chiens !

Il peut être difficile de s’y retrouver.

D’autant que selon une récente étude de 60 millions de consommateurs[33], le taux de CBD n’est pas toujours garanti.

Certains produits au CBD analysés en laboratoire en contiennent jusqu’à 2 fois plus ou 2 fois moins que les doses indiquées sur l’emballage !

Comme le marché est nouveau et que la réglementation n’est pas encore au point, certains revendeurs peu scrupuleux en profitent.

Avec mon équipe, nous avons donc rencontré un médecin-phytothérapeute, l’un des plus grands spécialistes du CBD en Europe depuis de nombreuses années, pour vous aider à y voir clair.

Grâce à lui je vous dirai, dans une prochaine lettre, quelle est la meilleure forme pour chaque indication de santé, à quel dosage vous devez en prendre, et quelles précautions vous devez respecter si vous suivez un traitement médicamenteux.

Je vous le dis tout de suite : toutes les formes de CBD que vous pouvez trouver sur le marché n’ont pas la même efficacité, loin s’en faut.

Gardez donc l’œil sur votre boîte aux lettres électronique et d’ici là,

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet

Sources :

[1] Confédération suisse (30.05.2011). Ordonnance du DFI sur les tableaux des stupéfiants, des substances psychotropes, des précurseurs et des adjuvants chimiques. https://www.fedlex.admin.ch/eli/oc/2011/363/fr

[2] The beemine lab (16.09.2021). L’OMS sur la consommation de cbd. https://thebeeminelab.com/fr/loms-sur-la-consommation-de-cbd/

[3] Expert Committee on Drug Dependence (6-10.11.2017). Expert Peer Review for Cannabidiol (CBD). Thirty-ninth meeting. World Health Organization. https://www.who.int/medicines/access/controlled-substances/5.2_CBD_PeerReview2.pdf

[4] Yomesh (2021). Legal Status Of CBD Around The World. Plain Jane Blog. https://blog.plainjane.com/legal-status-of-cbd-around-the-world/#Where-is-CBD-legal

[5] Leila (04.09.2019). La liste des pays du monde où le CBD est légal. Quid de la France ? Sciencepost. https://sciencepost.fr/la-liste-des-pays-du-monde-ou-le-cbd-est-legal-quid-de-la-france/

[6] Bouchet-Petersen J (18.06.2019). Cannabis CBD: la loi n’était donc pas si claire. Libération. https://www.liberation.fr/france/2018/06/18/cannabis-cbd-la-loi-n-etait-donc-pas-si-claire_1659872/

[7] Governement, Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives. (24.11.2020). Cannabidiol (CBD) le point sur la législation. https://www.drogues.gouv.fr/actualites/cannabidiol-cbd-point-legislation

[8] Franceinfo (14.12.2021). CBD : le nouvel eldorado français. https://www.francetvinfo.fr/sante/drogue-addictions/cannabis/cbd-le-nouvel-eldorado-francais_4880437.html

[9] Futura Santé (08.12.2021). CBD : est-ce vraiment légal en France ? https://www.futura-sciences.com/sante/questions-reponses/cannabis-cbd-ce-vraiment-legal-france-16454/

[10] Le Scientifique, documentaire (25.09.2015). https://www.youtube.com/watch?v=bOPOVj-Jwgg

[11] Ibid

[12] Freeman T P, Hindocha C, Baio G, et al. (2020). Cannabidiol for the treatment of cannabis use disorder: a phase 2a, double-blind, placebo-controlled, randomised, adaptive Bayesian trial. The Lancet 7(10): 865-874.https://www.thelancet.com/journals/lanpsy/article/PIIS2215-0366(20)30290-X/fulltext#seccestitle10

[13] Honnet T (01.12.2021). Efficacité, légalité, risques… Ce que vous devez savoir avant de tester le CBD. Madame Figaro. https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/cbd-efficacite-risques-legalite-tout-ce-quil-faut-savoir-conseils-011221-199325

[14] Imarc Groupe. Analgesics Market: Global Industry Trends, Share, Size, Growth, Opportunity and Forecast 2021-2026. https://www.imarcgroup.com/analgesics-market

[15] Feingold D, Goor-Aryeh I, Bril S, et al. (2017). Problematic use of prescription opioids and medicinal cannabis among patients suffering from chronic pain. Pain medicine, 18(2), 294-306. DOI: 10.1093/pm/pnw134

[16] Dunleavy K (03.05.2021). Humira. Fierce pharma.https://www.fiercepharma.com/special-report/top-20-drugs-by-2020-sales-humira

[17] Vidal.fr (23.11.2021). Dans quels cas le médicament Humira est-il prescrit? https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/humira-23865.html

[18] Renou F. Quels sont les médicaments les plus vendus en France? Journal du net. https://www.journaldunet.com/economie/sante/1020120-quels-sont-les-medicaments-les-plus-vendus-en-france/1020133-doliprane.amphtml/

[19] Roberts E, Delgado Nunes V, Buckner S, et al. (2015). Paracetamol: not as safe as we thought? A systematic literature review of observational. Ann Rheum Dis 75(3): 552-9 doi:10.1136/annrheumdis-2014-206914

[20] Sensiness.com (02.02.2021). 7 effets et bénéfices prouvés du CBD (+ effets secondaires). https://www.sensiness.com/cbd-effet/

[21] Di Marzo V, Piscitelli F. (2015). The Endocannabinoid System and its Modulation by Phytocannabinoids. Neurotherapeutics 12(4):692-8. doi: 10.1007/s13311-015-0374-6. PMID: 26271952; PMCID: PMC4604172.

[22] Cristino L, Bisogno T, Di Marzo V. (2020). Cannabinoids and the expanded endocannabinoid system in neurological disorders. Nat Rev Neurol. 16(1):9-29. doi: 10.1038/s41582-019-0284-z. Epub 2019 Dec 12. PMID: 31831863.

[23] Zou S, Kumar U. (2018). Cannabinoid Receptors and the Endocannabinoid System: Signaling and Function in the Central Nervous System. Int J Mol Sci. 13;19(3):833. doi: 10.3390/ijms19030833. PMID: 29533978; PMCID: PMC5877694.

[24] SudOuest.fr avec AFP. (29.06.2020). « Enfants Dépakine » : quelle est la part de responsabilité de l’État dans le scandale ? https://www.sudouest.fr/justice/enfants-depakine-quelle-est-la-part-de-responsabilite-de-l-etat-dans-le-scandale-1909465.php

[25] Paitraud D (19.01.2012). Les Français et les benzodiazepines. Vidal. https://www.vidal.fr/actualites/18167-les-francais-et-les-benzodiazepines.html

[26] Vidal. Gamme de medicament Zolpidem EG. https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/zolpidem-eg-22917.html

[27] Stines Y (06.12.2021). CBD and Erectile Dysfunction: Are There Benefits? Verywellhealth. https://www.verywellhealth.com/cbd-for-sex-and-erectile-dysfunction-facts-types-dosage-5200774

[28] CBDTech France (21.11.2021). CBD et arthrose, comment soigner? https://cbdtech.fr/blogs/douleurs-et-cbd/avis-huile-cbd-arthrose

[29] L’Indépendant (30.11.2021). CBD, cannabidiol et cannabinol, comment s’y retrouver. https://www.lindependant.fr/2021/11/30/cbd-cannabidiol-et-cannabinol-comment-sy-retrouver-9961488.php

[30] Lci.fr (23.11.2021). Cannabidiol : que sait-on des effets thérapeutiques et des risques du CBD pour la santé ? https://www.lci.fr/societe/video-cannabis-legal-que-sait-on-des-effets-therapeutiques-et-des-dangers-du-cbd-2202561.html

[31] Facebook, Brut. Témoignage: atteinte d’une hernie discale, Aurélia utilize le CBD pour soulager sa hernie discale. https://www.facebook.com/watch/?v=486614632531598

[32] Gasnier M (05.07.2021). TEMOIGNAGES. Consommateurs de CBD à Saint-Malo, ils trouvent le remède “contre les douleurs”. Ouest-France. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-malo-35400/temoignages-consommateurs-de-cbd-a-saint-malo-ils-trouvent-le-remede-contre-les-douleurs-74a0cfae-d59f-11eb-8505-6750ce5b83e2

[33] Essai : il faut réglementer les produits au cannabidiol ! 28 produits testés », 60 millions de consommateurs, n°565, janvier 2021