Chers amis,

La médecine est l’une des plus belles aventures humaines qui soient.

Prendre soin de son prochain, tenter de comprendre ce qui le fait souffrir, ce qui menace sa santé et son bien-être, et essayer de le soulager voire d’éloigner le mal qui l’accable, est l’expression d’un dévouement à la racine même de l’humanisme.

Y consacrer ne serait-ce que quelques heures de son temps est un geste altruiste d’une inestimable valeur.

Y consacrer sa vie, sa carrière, est d’autant plus admirable. Médecins, infirmières, aide-soignants et tous ceux qui ont fait ce choix méritent notre reconnaissance.

Mais rien n’est jamais tout noir ou tout blanc dans la vie.

Des médecins au-dessus de tout soupçon… et d’autres, sujets à caution

Comme toute entreprise humaine, l’exercice de la médecine est entaché de dérives qui au mieux la détournent de son but premier, au pire la dévoient complètement.

Ces dérives ont toujours existé. Oui, depuis qu’Hippocrate a posé les bases de la médecine moderne il y a 2500 ans, les médecins ne sont pas tous des anges.

Inutile de chercher bien loin les racines de ces dérives : c’est la nature humaine, avec sa part de quête égoïste de gloire, de pouvoir, de profits.

Parfois ces passions s’accommodent bien de la mission de soin et des règles de la médecine ; d’autres fois elles s’en servent cyniquement, trichent avec elles et les bafouent.

N’oublions pas que médecins, soignants et chercheurs sont avant toute chose des hommes et des femmes, avec leurs qualités et leurs défauts, leurs forces et leurs faiblesses.

Certains sont héroïques, beaucoup font ce qu’ils peuvent, et, malheureusement, quelques-uns sont véreux.

Les uns sont droits, quand d’autres ont une éthique plus… élastique.

L’ignorer serait croire qu’ils sont au-dessus du commun des mortels.

Il existe heureusement des règles et des garde-fous pour empêcher, ou à tout le moins, limiter ces dérives.

La « nouveauté », c’est le poids pris par une certaine tendance de la médecine, qui s’est d’abord structurée en institution, puis en citadelle. Celle-ci se voit en état de siège permanent, pour ne pas dire en état de guerre. Et elle conquiert, elle attaque.

Au sein de cette citadelle, plus vous êtes proche du sommet, du pouvoir, plus vous êtes puissant et pouvez dissimuler ces dérives. Voire les ériger en système.

Et c’est ce qui se passe dans les pays occidentaux depuis environ un siècle : la médecine est devenue un système économique et idéologique, qui s’est approprié la santé de ses concitoyens.

Ce système, qui a pour piliers les Ordres (ordre des médecins, des pharmaciens), l’industrie pharmaceutique et le pouvoir politique, sert malheureusement de caisse de résonnance à des dérives très marquées.

On peut en identifier sept, qui sont tout autant de péchés capitaux récurrents, systématisés et menaçant la mission première de la médecine : soigner.

Péché capital n°1 : la mercantilisation de la santé

Le premier de ces péchés capitaux, à la base des suivants, est la mercantilisation de la santé.

Entendons-nous : je ne suis pas en train de prétendre que la santé devrait être gratuite, ou être « vierge » d’argent.

Le laboratoire qui crée une molécule sauvant des milliers de vies, le médecin de famille qui porte à bout de bras des patients durant des années, l’infirmière qui côtoie quotidiennement la souffrance et la détresse des patients, méritent ÉVIDEMMENT une juste rétribution.

Mais, pour certaines franges de la médecine, nous avons depuis longtemps dépassé cette notion de juste rétribution.

Les infirmiers, justement, ne sont plus reconnus ni rétribués à la juste mesure de leur engagement.

À l’inverse, certains laboratoires sont devenus d’éhontées usines à profit, parfois en trafiquant les règles de la recherche médicale.

Le chiffre d’affaires hallucinant de 100 milliards de dollars de Pfizer – dont un bénéfice net de 31 milliards[1] – ne doit pas seulement nous interpeler par son exubérance, mais par le décalage avec le bienfait réel qu’apporte cette entreprise à nos vies.

La santé n’est plus leur objectif. Leur objectif, c’est le profit.

Il n’y a plus de patients, pour ces entreprises pharmaceutiques cotées en bourse, mais des clients, et des parts de marché à conquérir : les malades d’Alzheimer sont un marché, les vaccins contre le Covid sont un marché, le cancer est un marché.

Péché capital n°2 : la corruption

Pour protéger ses intérêts, l’industrie pharmaceutique n’hésite ni à bafouer le premier principe de la médecine hippocratique (« d’abord, ne pas nuire »), ni à acheter les instances de régulation censément chargées de surveiller leurs dérives.

Cette corruption s’exerce à tous les niveaux du système : d’abord par la « promotion » des « produits » des industriels auprès des médecins, et des employés de l’Agence française du médicament. Cela commence dès les études de médecine !

Ensuite, par le placement de personnalités amies au sein même du pouvoir : les liens des différents ministres français de la Santé avec les industriels sont notoires, et « l’amitié » de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avec Albert Bourla, PDG de Pfizer, est publique (contrairement au contenu des SMS échangés entre ces deux larrons avant le plus gros contrat jamais passé par l’UE… que la justice tente d’obtenir[2]).

Enfin, et c’est le pire, par la dissimulation organisée des effets secondaires de certains médicaments, pour protéger les intérêts des laboratoires qui les ont créés.

La journaliste Anne Jouan, qui a révélé le scandale du Mediator, décrit en détail tout ce système de corruption en France – et en Europe – dans son livre-enquête La Santé en bande organisée. Je vous en avais parlé dans une lettre, il y a quelques mois[3].

Les affaires de dissimulation et de corruption qui ont été traduites devant la justice sont hélas trop peu nombreuses : on se souvient du sang contaminé, du Mediator.

Mais verra-t-on un jour les responsables des effets secondaires et des morts record des vaccins anti-Covid face à un juge ?

Péché capital n°3 : le bafouement du consentement éclairé

La crise du Covid a précipité un phénomène croissant ces deux dernières décennies : le bafouement du consentement éclairé.

Pour rappel, le consentement éclairé en médecine est censé être sanctuarisé depuis la promulgation du Code de Nuremberg, en 1947.

Le Code de Nuremberg[4] est le fruit du « jugement des médecins » nazis – l’une des plus sinistres expression des dérives médicales, dont je vous parlais au début de cette lettre, du XXème siècle. Ces médecins avaient pratiqué sur différentes populations – juifs, handicapés – des expériences ignobles.

Ce code sert de jurisprudence à tout participant à une expérimentation médicale : la personne doit être informée des tenants et aboutissants de l’expérience, et rester libre d’accepter ou non ou non d’y participer.

L’injection en masse des vaccins anti-Covid est la plus vaste expérimentation médicale jamais opérée : les produits qui ont été administrés à des centaines de millions de personnes de fin 2020 à aujourd’hui étant toujours en phase expérimentale.

La phase 3 de l’essai du vaccin de Pfizer est en effet prévue pour le 2 mai 2023[5] (l’essai de Moderna s’est achevé en octobre 2022).

Or, vous le savez, pour pratiquer ces injections de facto expérimentales en masse, de nombreux gouvernements ont eu recours à une obligation vaccinale déguisée. Ou, pour le dire autrement, au chantage.

Pour la population générale, ce chantage a pris la forme du pass sanitaire puis vaccinal.

Pour les soignants et les pompiers, celle d’une suspension professionnelle, sans contrepartie financière ni possibilité de chômage.

A ce jour, les soignants suspendus sont toujours empêchés de faire leur métier en France. La HAS est censé se prononcer sur leur réintégration en mars prochain[6].

Péché capital n°4 : l’oubli du soin

En termes politiques, la médecine contemporaine se détourne de plus en plus du soin.

Le nouvel intitulé du ministère français de la Santé – devenu ministère de la Santé et de la prévention – est d’ailleurs éloquent.

La prévention, entendons-nous, c’est non seulement très bien, mais nécessaire.

Le problème est que la « prévention » prônée par le ministère n’est pas de la prévention… mais de la prédiction.

Il s’agit de vous traiter pour une pathologie que vous n’avez pas encore développée : je vous ai récemment parlé de ce phénomène, au sujet de l’hypertension et de l’ostéoporose[7].

Autrement dit, vous n’êtes pas encore malade, mais vous êtes déjà un patient et donc un client de l’industrie pharmaceutique.

On ne soigne plus : on traite et on prescrit des médicaments.

Le médecin est de moins en moins à l’écoute de son patient, mais de plus en plus un distributeur de produits pharmaceutiques correspondant aux symptômes que son patient lui a décrit pendant les 5 à 10 minutes que dure sa consultation.

Si le gouvernement voulait vraiment faire de la prévention, il éradiquerait les sodas et se décarcasserait pour limiter la malbouffe. Le problème c’est que cela nuirait à d’autres industriels !

Pire, cette réorientation stratégique de façade cache deux choses :

  • Le désinvestissement de l’État dans les hôpitaux publics – qui, justement, soignent (et on en a une démonstration désolante avec la crise des services d’urgence) ;
  • L’investissement massif dans les « medtech » qui coupent encore plus le médecin de la réalité du terrain, et du patient.

De quoi s’agit-il ? Du développement tous azimuts de la télémédecine, de la gestion algorithmique des patients et des traitements, de la préférence transhumaniste.

Le Dr Louis Fouché a, sur cette question, consacré un livre précieux[8]. Il y dénonce le développement d’une médecine industrielle, coupée des attentes et des besoins des patients.

Une médecine qui se pratique de plus en plus derrière un écran et à distance, au détriment justement du soin.

Péché capital n°5 : l’aveuglement sur le « progrès »

Ce péché-là touche davantage l’opinion publique et son principal relai, la presse, que la médecine elle-même, hormis quelques apôtres publicitaires.

Les défenseurs de la médecine conventionnelle participent complaisamment à la diffusion de cette idée que la médecine et la science seraient sur la voie droite et immaculée du « progrès ».

C’est sans doute vrai d’un point de vue technologique. On a, en chirurgie ou encore en analyse (imagerie cérébrale, lecture d’ADN), fait des progrès spectaculaires.

Mais c’est tout simplement faux du point de vue médical.

La recherche médicale n’a pas découvert de nouveaux antibiotiques depuis des décennies.

La « guerre contre le cancer » déclarée par Nixon dans les années 1970 n’a jamais été gagnée, au contraire : le nombre de cas ne cesse d’augmenter. Même rapporté proportionnellement à la croissance démographique, vous avez plus de chance de souffrir aujourd’hui d’un cancer qu’il y a cinquante ans !

Nous n’avons trouvé aucun traitement pharmaceutique permettant de guérir Alzheimer, Parkinson, et bien d’autres maladies neurodégénératives ; et je ne parle même pas des maladies auto-immunes.

La vérité, chers amis, est que la médecine conventionnelle reste impuissante face à de nombreux maux.

Impuissante, parce que bloquée dans ces vieux schémas, et de vieilles croyances.

Car oui, il est possible d’inverser Alzheimer… et ce, sans médicament, comme l’a montré le Dr Bredesen, un neurologue américain qui a mis au point un protocole global fondé sur l’hygiène de vie, la nutrition, l’exercice physique et la supplémentation [9] !

Le « progrès » de la médecine est une fiction proclamée par des escargots se prenant pour des jaguars !

Et encore, des escargots faisant parfois du sur-place, voire demi-tour !

Cet aveuglement et cet entêtement pour la fiction du progrès est une manifestation de l’hubris de la médecine conventionnelle. Autrement dit, c’est un péché d’orgueil, une volonté de toute-puissance.

Les médecins qui sont restés humbles, ou qui gardent les pieds sur terre, savent pertinemment que ce soi-disant « progrès » est entaché d’erreurs, et surtout perclus de croyances – dont certaines sont hélas dangereuses, comme le discours selon lequel un fort taux de cholestérol mène immanquablement aux maladies cardiovasculaires, etc., etc.

Doit-on s’étonner que cette dernière croyance (celle sur le cholestérol) a été savamment entretenue pour vendre… des médicaments (les statines) ?

Ces dernières années, cette fiction – le progrès inéluctable de la science et de la médecine – est devenue une religion à part entière.

Nous avons vu se succéder sur les plateaux de télévision, aux micros des radios, dans les colonnes des journaux, médecins et chroniqueurs défendant cette nouvelle religion : une forme de scientisme aussi béat et aveugle que déconnecté de tout bon sens médical.

Il fallait défendre les vaccins anti-Covid, parce que c’était le progrès.

Toute personne réfutant leurs arguments, ou souhaitant les discuter, était relégué au rôle d’obscurantiste, d’hérétique, et finalement exclu des plateaux de télévision.

Ces prosélytes ne ferment pas seulement les yeux sur les erreurs et les dérives de la médecine conventionnelle : c’est aussi un aveuglement sur les alternatives à cette médecine conventionnelle, qui n’ont plus le droit de cité à leurs yeux.

Péché capital n°6 : l’oubli de la nutrition

L’une de ces « alternatives », c’est la nutrition.

Parler d’alternative est d’ailleurs une erreur, et c’est précisément un signe des temps : la nutrition n’est pas une alternative, c’est la base de la santé, au même titre que l’hygiène de vie et l’équilibre mental.

J’en reviens une fois encore à Hippocrate : « Que ton aliment soit ton médicament ».

Cette prescription d’Hippocrate, la majorité des médecins l’ont aujourd’hui oubliée.

Quand on entend « médicament », on entend « molécule chimique ».

Or l’alimentation a, durant des siècles, été la pierre angulaire de la santé.

« An apple a day keeps the doctor away », disent les Anglais (« une pomme par jour tient le médecin éloigné »).

Mais l’alimentation est devenue le parent pauvre de la médecine ; déjà durant les études de médecine, qui ne proposent, sur 10 ans, qu’une demi-journée en moyenne de cours de nutrition.

Et en pratique : la nutrition est ramenée à de la diététique, une façon au mieux de perdre du poids, de se battre contre les calories, alors que, ne serait-ce que par le travail sur une alimentation anti-inflammatoire, il est déjà possible de prévenir voire d’inverser de nombreuses maladies dites de civilisation.

J’ai récemment créé une lettre sur ce sujet fondamental, intitulée « Votre santé, votre alimentation ».

Péché capital n°7 : l’intolérance inquisitoriale

Cet aveuglement sur la toute-puissance des progrès de la médecine, et cet oubli des « alternatives » comme la nutrition ont conduit une partie des médecins, mais aussi des chercheurs et des politiciens, à s’organiser en faction combattante.

En France, le principal organe des « gardiens du temple » est l’Ordre des médecins.

La raison d’être de cet Ordre est simple : éviter les abus et les dérives.

Mais cette mission, noble au départ, est de plus en plus dévoyée par le concept d’« exercice illégal de la médecine ».

Exercer illégalement la médecine, c’est très grave.

Le problème est que le concept est flou ; aujourd’hui l’Ordre des médecins en profite pour poursuivre quiconque s’éloigne de leur ligne autoritaire et conventionnelle.

Cela se traduit par des procès et des plaintes – le souvenir de celle posée par l’Ordre à l’encontre du Pr Perronne, heureusement rejetée, est encore dans toutes les mémoires[10].

Ce sont là des méthodes ressortant de l’inquisition : tout médecin dont le discours s’écarte de la « sainte parole » de l’Ordre des médecins est réprimandé, voire interdit d’exercer s’il persiste dans son hérésie.

(L’« hérésie » du Pr Perronne ayant consisté, rappelons-le, à défendre l’hydroxychloroquine et à émettre des doutes sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins anti-Covid)

Cette inquisition a pour principaux relais la presse : voyez comment le Pr Montagnier, pourtant prix Nobel de médecine, a été du jour au lendemain vilipendé pour ses positions jugées « antivax ». L’affront de la presse est allé jusqu’à mettre en doute l’annonce de son décès !

Cette intolérance et cette inquisition se traduisent par le rejet de toutes les autres approches de la santé.

Le monde de la santé connaît lui aussi des charlatans. Aussi bien, précisons-le, dans la santé naturelle que dans la santé conventionnelle.

Le tour de force de l’Ordre des médecins, avec l’appui d’une partie de la presse, de l’industrie pharmaceutique et des politiques, a été de marginaliser, puis de criminaliser ces alternatives et leurs praticiens.

Comment se manifeste cette intolérance puis cette exclusion ? Le système est bien rôdé.

La phase « soft », c’est la raillerie et le mépris : « Se soigner avec des tisanes, c’est bien gentil, mais… bon, au moins, ça ne peut pas vous faire de mal ».

La phase intermédiaire, c’est la mise au ban, avec la complicité des politiques : ainsi, le déremboursement par la sécurité sociale de l’homéopathie décrété par Agnès Buzyn.

La phase finale, c’est la censure et l’interdiction. Le cas le plus célèbre est l’interdiction – toujours en vigueur – du diplôme d’herboriste promulgué par le gouvernement de Vichy.

Ce système est toujours en vigueur, c’est celui qui a conduit à l’interdiction de la prescription et de la vente d’hydroxychloroquine, une molécule connue depuis des décennies, mais qui avait le tort de faire de l’ombre aux traitements et aux vaccins potentiellement bien plus rémunérateurs, développés par l’industrie pharmaceutique.

Cette criminalisation de toute méthode, de toute solution s’écartant du canon officiel de l’ordre des médecins, a évidemment pour appui les partis politiques, et fait le jeu des géants de l’industrie pharmaceutique.

Le gros hic, c’est qu’elle maintient les patients dans une dépendance aux approches et aux médicaments conventionnels, sans leur donner la chance de prendre en charge leurs problèmes de santé autrement.

Autrement dit, la médecine conventionnelle, dans son exercice le plus radical, exerce un monopole sur la santé, régi par des méthodes totalitaires.

C’est particulièrement vrai en France ; dans des pays voisins comme l’Allemagne, l’Espagne ou la Suisse, les approches complémentaires et alternatives sont mieux acceptées, et même remboursées !

Que faire ?

Que faire, face à cette organisation sectaire, recourant à des méthodes mafieuses ?

Résister, tout simplement.

Rester maître de sa santé et sensible au bon sens.

Réaffirmer à quiconque prétendant régenter votre santé, que celle-ci vous appartient.

Et continuer à vous informer, à rester ouvert, tout en gardant votre esprit critique.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet

[1] « Pfizer s’attend à une chute des ventes de son vaccin anti-Covid en 2023 », Ouest-France (avec AFP), 31 janvier 2023, https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/pfizer-s-attend-a-une-chute-des-ventes-de-son-vaccin-anti-covid-en-2023-af12af42-a166-11ed-b727-95140ec04a42

[2] « La Commission européenne bientôt contrainte de publier les SMS d’Ursula von der Leyen au PDG de Pfizer ? », Marianne, 14 février 2023, https://www.marianne.net/politique/union-europeenne/la-commission-europeenne-bientot-contrainte-de-publier-les-sms-dursula-von-der-leyen-au-pdg-de-pfizer

[3] Rodolphe Bacquet, « Pourquoi les leçons tirées du Mediator n’ont pas été apprises (au contraire) », Alternatif Bien-Etre.com, 5 octobre 2022, https://alternatif-bien-etre.com/maladies/pourquoi-les-lecons-tirees-du-mediator-nont-pas-ete-apprises-au-contraire/

[4] Code de Nuremberg, consultable en anglais et français sur le site de l’Inserm : https://www.inserm.fr/wp-content/uploads/2017-11/inserm-codenuremberg-tradamiel.pdf

[5] Application du règlement (UE) nº 536/2014 aux vaccins contre la COVID-19, site du Parlement européen, 7 décembre 2021, https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/P-9-2021-005425_FR.html#:~:text=D’apr%C3%A8s%20les%20donn%C3%A9es%20de,le%2027%20octobre%202022%5B2%5D

[6] Tifenn Clinkemaillié, « Covid : la HAS ouvre la voie à la réintégration des soignants non vacciné », Les Echos, 20 février 2023, https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/covid-la-has-ouvre-la-voie-a-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines-1908288

[7] Rodolphe Bacquet, « Comment l’hypertension, l’ostéoporose et Alzheimer sont devenus épidémiques », Alternatif Bien-Etre.com, 15 février 2023, https://alternatif-bien-etre.com/maladies/comment-lhypertension-losteoporose-et-alzheimer-sont-devenus-epidemiques/

[8] Dr Louis Fouché, « Agonie et renouveau du système de santé », Exuvie éd., 2022

 Alternatif Bien-Être n°196 de janvier 2023

[10] « Covid-19 : la plainte de l’Ordre des médecins contre le Pr Christian Perronne rejetée », L’Express.fr avec AFP, 24 octobre 2022, https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sante/covid-19-la-plainte-de-l-ordre-des-medecins-contre-le-pr-christian-perronne-rejetee_2182435.html